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J’ajoute que si certains aspects ufologiques sont abordés ici, il n’est nullement question d’y voir une quelconque atteinte à qui que ce soit, ou à quoi que ce soit. Mais plutôt un regard totalement neutre sans pour autant laisser de côté la perspective objective des choses. Vous avez été nombreux à réagir positivement aux précédents articles, plusieurs d’entre vous ont commencé de leur côté à s’intéresser de très près au sujet en me faisant part de leurs découvertes et je vous en remercie vivement. Je vous encourage donc à lire avec une grande subtilité le fruit d’une recherche de la compréhension sans pour autant prétendre détenir la vérité sur quoi que ce soit. Ce rapport est une constatation des faits, et non un compte rendu destiné à rendre public des choses sur lesquelles nous n’avons à ce jour aucune certitude, mais seulement un faisceau de présomptions sur lesquelles s’appuie notre document. Certaines erreurs d’interprétations peuvent d’ailleurs être dues au fait que nous n’avons pas toutes les explications au moment de la rédaction de ce rapport. Toutefois gageons que celles-ci seront vite mises en lumière afin d’avancer humblement vers une connaissance plus accrue des choses. Avant de vous lancer dans la lecture de cet ouvrage, je souhaite souligner qu’une très grande partie de celui-ci repose sur la libre interprétation que vous en ferez. Il vous appartient à vous, et à vous seul(e), d’interpréter selon vos convictions, vos croyances, et vos motivations personnelles, les différentes facettes de ce sujet qui, s’il ressort que tout ce qui y est montré est exact, pourrait bien changer une certaine vison des choses en chacun de nous. A la lumière de ce qui pourrait apporter une compréhension nouvelle, voire publique, je vous livre ces quelques lignes, accompagnées de photos qui ont depuis un moment suscité beaucoup d’intérêt et un grand nombre de questions auprès de beaucoup de monde. Un échantillon de ce sujet a déjà été publié dans plusieurs revues afin de sensibiliser MISE EN GARDE Je remercie Google Earth pour la mise à disposition de cet utilitaire et de sa base de donnée totalement gratuite sur internet. Toutes les photos de lieux géographiques présentés dans cet ouvrage sont crédit Google Earth. Je vous invite à télécharger ce merveilleux programme a l’adresse suivante : http://clubic.com/telecharger-fiche14783-google-earth.html Je remercie vivement toutes les personnes qui de près ou de loin ont contribué aux diverses enquêtes et analyses des échantillons recueillis aux quatre coins du monde. Je précise que ce document n’est pas à but commercial. Le prix de vente est fixé à 40 € par exemplaire. Ce tarif correspondant aux frais engagés pour la sortie de cette présentation Collector. Avant d’entrer dans le vif du sujet nous allons ensemble considérer quelques notions de base afin de bien comprendre certains paramètres qui nous seront fort utiles par la suite. Quelle position la Terre occupe t-elle dans l’Univers ? C’est en tournant sur elle-même que la Terre se déplace avec une vitesse qui au niveau de l’équateur est mesurée à 1670 Km/h. Pour la France qui est donc située plus au nord, celle-ci est mesurée à 1100 Km/h. Faisant partie de tout un ensemble qui constitue notre système solaire, notre planète parcoure donc une orbite qui est elliptique, en tournant autour du soleil à la vitesse de 108 000 Km/h. Notre système solaire lui, appartient à la voie lactée et se déplace majestueusement à la vitesse fulgurante de 830 000 Km/h à travers elle. Tout ceci bien entendu engendre un grand nombre d’énergies, dont les énergies cosmiques. Il n’y a donc pas que les vents solaires qui peuvent atteindre notre planète, mais aussi les énergies dites cosmiques. Certaines d’entre elles sont des particules de hautes énergies, connues et appelées par les physiciens des « rayons cosmiques ». Ce sont précisément de ces rayons là, que doivent se protéger les spationautes lors de leurs sorties dans l’espace. En Géobiologie, ces énergies sont connues sous le nom d’énergies positives involutives car elles descendent vers la Terre. Elles sont aussi liées à l’électricité. Ces énergies sont aussi appelées « énergies de l’âme ». Nous considérons que la Terre fait tout son possible pour maintenir en état, les conditions nécessaires à la vie. C’est le principe de l’homéostasie, plus connu sous le terme de la théorie « Gaïa ». Depuis fort longtemps, la Terre semble toujours avoir été favorable à la manifestation de toutes formes de vies. Que cette vie sur terre soit le fruit d’un résultat chanceux, est pur hasard, voir aussi peu probable que de penser sortir indemne d’une conduite les yeux bandés à une heure de pleine circulation. Il y a donc manifestement une explication quelque part... Les Energies Telluriques La Terre est composée : - D’une épaisseur de 4 à 40 Km appelée lythosphère, c'est-à-dire de la croûte et de la partie superficielle et solide du manteau supérieur. C’est aussi le cas sur Mars, Vénus, Mercure, etc... Elle est divisée en un certain nombre de plaques dites tectoniques. Sa limite inférieure se situe entre le manteau supérieur rigide et le manteau supérieur ductile, soit environ à 200 Km sous les plus vieux continents. En raison de la fusion très partielle des minéraux la constituant (1 à 5 %) les minéraux deviennent moins visqueux et il se produit une réaction qui transporte la chaleur par convection dans l’asthénosphère, alors qu’il se produit par conduction dans la lythosphère. - D’un manteau terrestre, qui est une couche intermédiaire entre le noyau planétaire et la croûte extérieure. Ce manteau représente à lui seul environ 80 % du volume total de la Terre, et environ 65 % de sa masse. Il est séparé de manière discontinue de la croûte extérieure. D’un point de vue minéralogique, la transition entre manteau supérieur et manteau inférieur est marquée par une transition de phase Olivine qui s’effectue à 670 km en profondeur soit environ 25 Giga Pascals ou 250000 atmosphères. Cette discontinuité est perceptible dans les ondes de type sismiques. Le manteau inférieur possède une épaisseur d’environ 2100 Km et s’étend ainsi jusqu’au noyau externe. - D’un noyau externe liquide, composé d’Uranium et fonctionnant comme un surgénérateur et d’un noyau central solide d’environ 8 Km. -D’un noyau central approximativement sphérique composé de fer presque pur. L’avancée actuelle en la matière, laisse à penser qu’il soit sous forme solide. A ce jour nous n’avons qu’une connaissance relativement partielle des mouvements de matières se produisant au cœur de notre Terre. Nous savons toutefois que ceux-ci engendrent des ondes dites « telluriques ». Pour éviter les confusions nous parlerons d’ondes pour tout ce qui sort de terre et de courants pour tout ce qui reste à l’intérieur. Un bel exemple de mouvement est l’inversion des pôles magnétiques qui se fait lentement et dont un demi cycle se produit tous les 270 000 ans. Un peu comme si cela était le système respiratoire de la Terre. Par oppositions aux forces dites cosmiques, les énergies telluriques sont dites négatives. Tout ceci formant une évolution, elles sont donc liées au principe magnétique de la Terre. Le champ magnétique peut parfaitement se mettre en évidence avec de la limaille de fer et un simple aimant. On peut donc dire de cette façon que nous percevons ce qui habituellement semble invisible. Intéressons nous maintenant aux champs dits « Cosmotelluriques ». La saturation incessante du champ électromagnétique à la surface de la Terre ne va-t-elle pas influer sur nos cellules et provoquer en nous une mutation plus rapide ? Certaines expériences faites sous des lignes à haute tension semblent assez révélatrices. Généralement une ligne HT en France ne dépasse pas 450 Kv. Les normes exigent qu’une personne ne doit pas être exposée plus d’une heure sous une telle ligne. Différents symptômes et risques pouvant générer une probabilité de cancer. Que penser alors d’une exposition constante même si le voltage est moins élevé ? Les habitants situés à proximité d’une ligne HT devraient en être écarté d’un mètre par Kv. Sachant que ces projets représentent des sommes très importantes, il est facile de comprendre pourquoi les études sur le sujet sont occultées. On peut penser qu’en France par exemple, presque 80 % des terrains habitables sont traversés par des cours d’eau souterrains. Très sensibles à ce phénomène, les végétaux semblent parfois en recul du bord des routes comme si elles les repoussaient. Nos bâtisseurs tenaient-ils compte de ces critères pour dresser leurs bâtisses ? Les phénomènes telluriques Les ondes liées à ce phénomène sont de type « scalaire ». Il arrive parfois que des personnes extrêmement sensibles en ressentent les effets. A ce jour, la science n’a pas encore pu prouver leur existence. Toutefois, on peut néanmoins mesurer ces phénomènes telluriques à condition de se uploads/Geographie/ monsieur-x-rapport-omega.pdf

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