7 1 NEXUS n°43 mars-avril 2006 E X O P O L I T I Q U E D ans le cadre du SETI (
7 1 NEXUS n°43 mars-avril 2006 E X O P O L I T I Q U E D ans le cadre du SETI (Search for Extra Terrestrial Intelli- gence), le radiotélescope d’Arecibo à Porto Rico envoya, en décembre 1974, un message radioélectrique en binaire à desti- nation d’une galaxie voisine, en vue de communiquer avec une possible intelligence extraterrestre. Cette bouteille dans l’espace fut envoyée par la plus grande antenne parabolique du monde en direction de l’amas d’étoiles M13 située à 22 800 années- lumière dans la constellation d’Hercule. Le message d’Arecibo, écrit sous la direction de Frank Drake, professeur d’astronomie de la Cornell University, codifia les numéros atomiques des principaux éléments constitutifs de la vie sur Terre (H = 1, C = 6, N = 7, O = 8, P = 15). Il décrivait également les sucres et les bases qui entrent dans la composition de l’ADN, le nombre de nucléotides, un schéma stylisé de la double hélice de l’ADN, présentait une silhouette humaine, en précisant sa taille, indi- quait le nombre d’habitants terrestres en 1974, la composition du système solaire, en distinguant la Terre comme l’origine du message, et les caractéristiques de l’antenne radar émettrice. Vingt-sept ans plus tard, le 20 août 2001, à proximité de l’antenne parabolique géante de Chilbolton (Angleterre) ap- paraissent gravés dans les champs deux agroglyphes géants rec- tangulaires. L’un représente un visage humanoïde non terrestre (d’après des études morphologiques) et le second une réponse au message radioélectrique envoyé d’Arecibo en 1974. Que dé- voile le décryptage de cet agroglyphe ? La réponse est codifiée, cryptée rigoureusement de la même manière que le message émis en 1974. L’ADN décrit est plus court que le nôtre, le silicium ayant pris la place du phosphore, ce qui provoque un crépissage de l’hélice d’ADN précisément représentée dans les champs de Chilbolton. À la place d’un homme stylisé mesu- rant un mètre soixante seize, ressort une silhouette classique de « Gris » [une espèce d’extraterrestre désigné ainsi d’après la des- cription fournie par de nombreux témoins à travers le monde], un être de petite taille, un mètre environ, macrocéphale, dont on identifie clairement les bras, les jambes et les yeux. Cet être est originaire d’un autre système planétaire. Sa planète totalise 17 milliards d’habitants, et se place en cinquième position depuis un petit soleil, égal au 4/9e du nôtre, accompagné de neuf planètes. Dans ce système, les planètes 3 et 4 sont dési- gnées comme étant habitées. Le message représente également le schéma d’une antenne parabolique avec le symbole de la planète émettrice associée à un chiffre signifiant la puissance électromagnétique utilisée pour répondre. Silence radio des autorités L’observatoire de Chilbolton appartient au gouvernement britannique. Il a été construit en 1965 dans le but d’étudier les émissions d’ondes radios en provenance de l’espace et des satellites. Son accès est interdit au public. La première réaction des chercheurs britanniques comme Paul Vigay a été naturel- lement de comparer la formation de code binaire de 2001 à la transmission radiotélescopique de 1974 à Porto Rico. Malgré des photos, le décryptage du code binaire et toutes les corres- pondances relevées avec le message d’Arecibo par des chercheurs indépendants, aucune explication officielle n’a été donnée. Les astronomes de Chilbolton ont déclaré qu’ils ne s’étaient pas aperçus de l’apparition des glyphes, ceux-ci n’étant pas complè- tement visibles, même du point le plus élevé de l’antenne (sic !). Un an plus tard, toujours dans un champ de Chilbolton, une Les survols d’installations militaires par des ovnis ou les apparitions de crop circles sont les manifestations les plus spectaculaires d’une intelligence extraterrestre qui tente d’entrer en contact avec nous par tous les moyens. Christel Seval décrypte et réunit dans son livre Le Plan pour sauver la Terre, ces modes d’approches et l’intention qui s’en dégage : empêcher l’irréparable et neutraliser notre force de destruction, notamment nucléaire. Ce que les gouvernements, États-Unis en tête, refusent d’entendre… Par Christel Seval, © 2005 Le 20 août 2001, sont apparus à proximité de l’antenne parabolique de Chilbolton (Angleterre) un agroglyphe représentant un visage humain et, dans l’axe du téléscope, la réponse en code binaire au message envoyé du radiotélescope d’Arecibo (Porto Rico) vingt-sept ans plus tôt (en 1974). Leur présence enfin décryptée OVNIS 7 2 NEXUS n°43 mars-avril 2006 EXOPOLITIQUE silhouette d’alien tramée dans un gigantesque rectangle nous présente un disque rond d’une cinquantaine de mètres de diamètre dont la moitié sort du cadre (voir Morphéus n° 8). L’intérieur du cercle végétal comporte un sillon spiralé divisé en une multitude de paquets de blés couchés ou relevés : une suite binaire. Le code en est simple, il s’agit de l’ASCII (American Standard Code for Information Inter- change). Le message est le suivant : « Prenez garde aux porteurs de faux cadeaux et aux promesses non tenues. Beaucoup de douleur, mais il est tou- jours temps. Il y a du bon là-haut. Nous nous opposons à la tromperie. Fin de transmission… » Il n’y aura aucune déclaration officielle à propos de cette formation. Alors s’agit-il d’un authentique contact ou d’une manipulation de l’armée ? À quelle fin ? Après Nagasaki et Hiroshima, de très nombreux ovnis ont survolé les États-Unis et se sont positionnés avec précision au-dessus de tous les sites impliqués dans les activités mi- litaires atomiques, comme s’ils cherchaient à s’informer sur les développements des armes atomiques terrestres. Dès 1946, les sites du Manhattan Project, les sites d’essais d’explosions atomiques comme l’atoll de Bikini, le site de Trinity, Roswell et les bases du Nouveau Mexique en 1947, Albuquerque, Sandia en décembre 1948, Los Alamos en janvier 1949, Camp Hood au Texas en mars 1949. Toute la filière atomique est découverte : des sites de recherche et d’essais, jusqu’aux lieux de stoc- kage en passant par la chaîne de production des bombes. Pas un site secret n’est épargné. Les officiels de la Défense américaine sont aux abois. Leur pire cauchemar vient de prendre forme. Toutes les installations les plus secrètes du pays sont survolées par des ovnis. Il suffirait à un espion de relever la carte des apparitions d’ovnis de 1946 à 1950 pour obtenir avec précision la situation géographique de toutes les installations nucléaires de l’armée américaine. C’est la À gauche, le message original envoyé en 1974. À droite, la réponse en agroglyphe du 20 août 2001, qui comporte neuf différences avec celui envoyé par la Terre. Il suffi rait à un espion de relever la carte des apparitions d’ovnis de 1946 à 1950 pour obtenir avec précision la situation géographique de toutes les installations nucléaires de l’armée américaine. 7 3 NEXUS n°43 mars-avril 2006 panique dans les rangs américains. En juillet 1952, le Pentagone et la Maison Blanche sont survolés à deux reprises, en plein centre d’une zone névralgique strictement pro- tégée, interdite à la circulation aé- rienne. Rien n’échappe aux ovnis, de la filière militaire à la filière politique. Dès l’arrivée au pouvoir de D. Eisenhower en 1953, Nelson Rockefeller sera chargé de prési- der une commission de refonte du département de la Défense. À partir de cette date, l’empire Rockefeller, le CFR (Council on Foreign Relations), la Trilatérale et les Bilderbergs vont gérer le secret ovni dans tous ses prolongements, scientifiques, technologiques, mi- litaires, renseignements, désinfor- mation, jusqu’aux financements et infiltrations des associations ufologiques. En 1954, est survo- lée l’installation de Fort Meade, siège du NSA* (Natio- nal Sécurity Agency), qui plus tard mettra en œuvre le réseau mondial d’écoute électronique Echelon. En 1963 et 1964, les satellites mis en orbite par les États- Unis tombent systématiquement en panne, et, étran- gement, se remettent à fonctionner spontanément. Novembre 1965 : une gigantesque panne d’électricité affecte New York et le sud canadien [voir article page 74]. Un disque lumineux est aperçu au-dessus de la station de distribution électrique de Clay, point d’interconnexion de plusieurs ré- seaux haute tension. Décembre : une panne identique touche plusieurs États, le Nouveau Mexique, le Texas. Les bases mi- litaires Holloman, White Sands et Fort Bliss sont privées de courant. C’est le scénario que les responsables de la Défense craignaient le plus : des actions agressives paralysant à la fois l’économie de la Nation et les capacités des forces militaires. En 1967, la base de Malmstrom, Montana, qui abrite 120 missiles intercontinentaux du Strategic Air Command, est survolée par des ovnis. Le 16 mars, par une nuit glaciale, des lu- mières zigzaguent dans la nuit à des vitesses incroyables. L’officier de tir est alerté. Puis une soucoupe rougeoyan- te s’avance, survole la grille d’entrée au grand dam des gardes. En quelques secondes, ce sont huit silos de mis- siles qui sont déclarés hors service. Puis dix. Un commando chargé de s’approcher de l’ovni stationnaire a été légèrement blessé et évacué. Plusieurs commandos partis inspec- ter les silos signalent des ovnis à leur tour. Dans une autre unité de silos, plus au nord-est, un ovni évolue aux alentours de la zone interdite. Dix missiles sont à leur tour mis hors service. Il faudra plus d’une journée avant qu’ils ne soient déclarés uploads/Geographie/ nexus-43-ovnis-leur-presence-enfin-decryptee 1 .pdf
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