1 Approche pratique d : un coup d’œil à GRAOUA RAPPORT DE SORTIE Choukri Ahmed
1 Approche pratique d : un coup d’œil à GRAOUA RAPPORT DE SORTIE Choukri Ahmed Responsable de Module : Pr. Ahmed Qaddoury 2 I. Introduction II. Présentation de l’exploitation, les cultures concernées, et l’infrastructure. III. Les modalités d’irrigation : approche pratique. IV. Les modalités de la fertilisation : approche pratique. V. Les modalités de la fertigation : approche pratique. VI. Les techniques de vérification et la mesure d’uniformité. VII. Irrigation Monitoring avec l’utilisation des logiciels « AGRIDATA » VIII. Post irrigation mesures IX. Raisons du changement des plans d’irrigation/fertilisation selon 2 modèles : Marocaine et celle d’Espagne X. Les méthodes proposées pour la lutte XI. L’efficience d’utilisation de la lutte biologique : cas d’insectarium I. Introduction Un approvisionnement en eau adéquat est important pour la croissance des plantes. Lorsque les précipitations ne sont pas suffisantes, les plantes doivent recevoir de l'eau supplémentaire provenant de l'irrigation. Diverses méthodes peuvent être utilisées pour fournir de l'eau d'irrigation aux plantes. Chaque méthode a ses avantages et ses inconvénients. Ceux-ci doivent être pris en compte lors du choix de la méthode la mieux adaptée aux circonstances locales, Au début du XXIe siècle, le monde contenait 1.5*109 hectares de terres cultivées. De cela, 74% étaient pluviaux et produits 60 à 65 % de l'approvisionnement alimentaire mondial (Biradar et al., 2009 ; Do¨ll et Siebert,2002). Au cours des 50 dernières années, la superficie irriguée a augmenté de façon remarquable, notamment dans les pays en développement, et représente désormais 87 % des consommation mondiale d'eau (Shiklomanov, 1999). Les rendements des cultures poussant sur des terres irriguées et pluviales privilégiées approchent désormais 80% du rendement sur stations d'expérimentation. Le Rapport sur le développement dans le monde 2008 conclut qu’il y a peu de possibilités de combler davantage l'écart de rendement sur ces terres (WorldBank, 2008). Les futures allocations d'eau pour l'irrigation seront de plus en plus concurrence des villes, des industries manufacturières et des besoins de l'environnement. Les cultures pluviales produisent principalement des céréales pour l'alimentation humaine et animale considérant que l'irrigation produit des cultures à haute valeur ajoutée telles que les légumes, ainsi que céréales. Les ressources d'irrigation en baisse sont susceptibles d'être affectées à des cultures plutôt que des céréales/agrumiéres . L'amélioration de la productivité des cultures céréalières pluviales, en particulier ceux cultivés dans les environnements pluviaux moins favorables devront augmenter pour répondre aux besoins alimentaires mondiaux croissants. Les terres cultivées pluviales varient des régions semi-arides où l'approvisionnement en eau ne parvient pas à répondre à la demande d'évaporation dans la plupart des saisons, dans les régions humides où l'approvisionnement en eau est suffisant pendant la plupart des saisons. L’objectif de cette sortie ce de plutôt de visualiser les opérations de pilotage précis des cultures au sein d’une exploitation commercial. II. Présentation de l’exploitation, les cultures concernées, et l’infrastructure : L’exploitation se rencontre contre la face dorsal d’ourika envers 140 km De la FST, il recouvert des cultures de clémentine commercialisée internationalement et nationalement, la superficie est de 264 ha qui renferme des secteurs inégaux chacune et sa variétés culturales, l’exploitation pourvu d’un bassin et un système de drainage développé semi automatisé, une chambre technique de conduction de l’irrigation sélectifs des secteurs. (a)-schématisation des secteur (b)la protection électrique de système de drainage (C) culture de la clémentine (d) Pompe principale de système de drainage (le débit principale) III. Les modalités d’irrigation : approche pratique. Principalement l’irrigation se faite selon un modèle très précis permettent d’une distribution exacte d’eau, le pompage se faite à partir d’un bassin rempli d’eau, un risque relatif au colmatage des instrument (e)1ere niveau des filtres avec des stock des déchets à pouvoir colmatantes est en apparition, dans laquelle cette station pourvu des filtres semi automatisée conduites par la différence de pression, s’est-il est arriver à 0.3 bars de différence, un processus de contre-lavage sera effectuer pour éliminer les débris colmatantes dans le courant inverse pour que le lavage finale (dans le bassin) sera effectuer. Un deuxième niveau de filtrage a été visualisé, des trois bacs de filtrations pour assurer l’élimination des impuretés en coordination avec un système automatique de régulation de durée d’irrigation. (f) deuxième niveau de filtration (g) agent automatisée de démarrage d’irrigation (h) le relai principal (i) régulation en termes de pression IV. Les modalités de la fertilisation : approche pratique. Apres un mélange préliminaire des engrais dans un bac en respectant la solubilisation des macroéléments et des microéléments, chaque bac y aura un mélange précis afin d’organiser une solution mère plutôt diluée à la fin, l’injection se faite une instrumentation sophistiquée qui se compose d’un souffleur et un régulateur de pression avec un régulateur automatisée de taux d’injection par rapport le débit d’injection. (k) système d’injection des engrais en bypass IV. Les modalités de la fertigation : approche pratique. Le principe de la fertigation c’est de combler les technique et avoir an drainage en commune de tout, dans ce station la fertilisation se faite en même temps que l’irrigation ,mais ça dépende de l’état de la culture et le stade de développement , l’initiation des engrais via le relai principale n’est pas strictement déclencher mais avec un temps de delay pour que l’irrigation prend place en première après le système automatisée va procéder de calculer la durée post irrigation nécessaire pour freiner la fertilisation et le drainage des conduits des résidus des fumiers. V. Les techniques de vérification et la mesure d’uniformité. Dans ce station , l’entretien relatif à des erreurs qui touche l’uniformité de distribution est rare, les système de drainage est développé avec des puces de communication satellites installée au champ pour détecter des types de pertes d’eau ; parfois en trace le profil hydrique afin d’obtenir un information mensuelle a propos les différentes secteurs, des baromètres est installée au début chaque système de gout a gout afin de maintienne le débit par l’augmentation de pression pour avoir un profil hydrique qui est même pour tous les secteurs et les horizons. VII. Irrigation Monitoring avec l’utilisation des logiciels « AGRIDATA » (l) logiciel AGRI-DATA Cette station renferme plusieurs ingénieurs et techniciens chacune responsable d’un secteur, en fait ce logiciel présente une intégrité des fonctions assurer par chaque technicien pour donner a la fin un bilan adéquaté qui sera envoyer vers le système automatisée de pompage et le pilotage de fertigation ,les données locaux de pluviométrie et l’ET0 métrer localement aussi avec les donnes de la culture pour établir la Kr et aussi la Kc ,la durée de l’irrigation est obtient par la division de ETM en pluviométrie. VIII. Post irrigation mesures Besoin en eau d’irrigation sa change au cour de temp,après un échantillonnage successif des rameaux fructifiantes, les mesures de teneur relatif en eau et les mesure de NPK vont forcer la comité de gestion de l’irrigation a orienté les plans d’irrigation un peu et aussi de la KC vis-à-vis le stade de développement. IX.Raisons du changement des plans d’irrigation/fertilisation selon 2 modèles : Marocaine et celle d’Espagne Cette station établie une modèle hybride de la fréquence d’apport de fumiers selon le stade de développement et la saison Le modèle espagnol propose qu’a la durée de la germination a l’hiver il faut fertiliser même si les valeurs de ETc et faible se qui va lessiver les engrais mais en fait c’est une bonne stratégie puisque les graines ou les plantules sont au cours de germination donc ils vont requérait une grande quantité de fumiers, d’autre part le modèle marocain proposée par l’assasma empêche cette action là au cours de l’hivers La culture de la clémentine âpres des analyses faites a le Mohammadia il a été déjà proposé qu’il est meilleur de travailler autant d’hybridisme entre ces modèles. X. Les méthodes proposées pour la lutte / XI. L’efficience d’utilisation de la lutte biologique : cas d’insectarium Les méthodes les plus utilisées et qui est efficient c’est celle des méthodes chimiques, contre les types de couchnaille, et de puceron, les méthodes chimiques généralement sont destructif de sol mais comme même il sont considérer la plus fiable de point de vue efficience et économique, donc par rapport les méthodes biologiques ils sont très meilleure, l’UN des exemples la plus simple c’est celle d’insecte qui parasite la couchneille noire , il sera donc une forte innovation à haute performance de point de vue nutrition et l’habitation « insectarium ». Remerciements : Tout d'abord, j'adresse mes remerciements à mon professeur Pr. Ahmed Qaddoury pour l’organisation efficace de cette sortie agréable, remerciement a monsieur SSAIDI Abdlmjid pour la bonne explication au sein de la station et la bonne conduction de la discussion . uploads/Geographie/ rapport-de-sortie.pdf
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- Publié le Dec 12, 2022
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
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