Nom : Fziyen Rajae Histoire et Theorie de la Ville. S6 2019/2020 ECOLE NATIONAL
Nom : Fziyen Rajae Histoire et Theorie de la Ville. S6 2019/2020 ECOLE NATIONALE D’ARCHITECTURE DE TETOUAN SYNTHESE HISTOIRE ET THEORIES DE LA VILLE Introduction Lors de cette rédaction, je vais essayer de résumer l’histoire de la ville depuis l’anti quité, jusqu’à la ville contemporaine, en passant par les différentes phases et théo ries qui ont le plus marqué cette notion assez complexe, pour afin arriver à la ville du futur, souvent désignée comme la ville émergente. Ci dessous les sujets élavorés en ordre (Surlignés en jaune dans la redaction) La notion de la vile La théories des lieux centraux La théories des villes Burgess et Homer Urbanisme et trames urbaines La théorie sociales de la ville Densité, compacité et intensité La ville comptemporaine La ville émergente Yves Chalas Jean Samuel Bordreuil Francois Ascher Developpement Il faut tout d’abord comprendre que La Notion de La Ville se laisse diffici lement enfermer dans une définition simple. La plupart des définitions disponibles sont statistiques ou descriptives et saisissent mal le caractère complexe, multidimensionnel et changeant du phénomène urbain. Il faudra faire appel aux trois types principaux de défini tion : - Le premier type : la ville et l’urbanisation et sa croissance résulteraient de la nécessité économique et fonctionnelle -Le second type : les villes découlent des besoins d’interactions (échanges économiques) -Troisième type : l’impératif politique, institutionnel et administratif Si on veut parler de ville, on nécessairement parler de La Theorie des Lieux Centraux qui apporte les villes, que je considère comme une des plus belles théories et qui est considérée comme la première grande théorie synthétique de la ville. Elle s’efforce de rendre compte de l’espacement et des inégalités de la taille des villes (leur organisation spatiale et hiérarchique) par leurs fonctions économiques (commerce et services). Le concept-clef en est là centralité : l’offre et la demande de biens et de services se ren contrent et s’échangent dans des «lieux centraux» privilégiés par leur accessibilité. Une position centrale permet de minimiser les coûts : les activités qui ne sont pas liées à des ressources localisées recherchent de telles situations. La centralité n’est pas seulement fonctionnelle : elle explique le rôle symbolique que tiennent les villes. Un débat contemporain porte sur les effets, à moyen et plus long terme, que pourraient avoir les progrès des communications à distance, de la dématérialisation de nombreux échanges, des processus de mondialisation. Mais malgré son grand apport, elle permet d’avoir une disposition dispersée des villes par rapport aux autres mais en même temps une organisation interne. Mais elle n’a pas pu expliquer la ville moderne que par des hypothèses douteuses. Et c’est la que d’autres Theories gagne de l’importance, comme : le schéma de Burgess qui se réfère à un modèle abstrait suggéré à Park par l’étude de la sociolo gie végétale, il décrit une série d’étapes dans l’utilisation de l’espace urbain et permet de prévoir ce que sera l’évolution dans chacune des zones. Certains auteurs lui opposent un autre schéma, celui de Homer, Il reprend un certain nombre de thèmes que l’on trouve déjà abordés par les premiers spécialistes des valeurs foncières. Après avoir cerner la notion de la ville, on peut commencer de parler d’Urba nisme qui est considéré comme un terme récent et renvoie à l’époque contemporaine. De l’Antiquité et du Moyen-Âge, malgré qu’on ne parler toujours pas d’urbanisme, nous avons hérité de deux formes principales de Trames, le damier et la forme radio-centrique. Avec la Renaissance, la ville sortit de ses remparts et s’affranchit des contraintes spatiales antérieures. Les Trames Urbaines sont mises en valeur, et ne subissent des modifications qu’avec la révolution industrielle. Les projets d’urbanisation de Cerdà et d’Haussmann sont marqués l’un et l’autre par leur forte cohérence. Pour Cerdà, les îlots en U, les carrefours à pans coupés, la trame en da mier, et pour Hausmann, les immeubles de rapport, les places, les « percées » des grands boulevards, font « système ». C’est cette cohérence, associée à une maîtrise de l’occupa tion des sols, qui a assuré la pérennité et l’exemplarité de leurs démarches, très au-delà des contingences politiques dans lesquelles elles se sont inscrites. Et puis vient Le Corbusier, qui on peut dire est : le plus illustre représentant du courant progressiste, il vient pour reprocher à la ville existante de ne pas avoir été animée d’un esprit de géométrie et affirme avec force la nécessité de principes fondamentaux auxquels il faut se tenir. Après avoir abordé le sujet de la ville de cote soi-disant ‘’urbain’’ et ‘’écono mique’’, Les sociologues ont aussi élaboré de leur côté des Theories Sociales de la Ville : Il est difficile de tracer une limite précise entre la sociologie et les autres sciences de l’homme. Pour Marx et Pirenne, la ville est originale par la composition de sa population. Mettant l’accent sur la classe bourgeoise et son statut économique, on peut bien remar quer le rôle de cette couche dans le développement de la cité. Cette dernière se présen tant tel un tout, se trouve en opposition totale avec la compagne, chose qu’on ne peut reprocher à Marx vu son origine issue de l’idéologie allemande. La ville apparaît sous la forme d’une machine complexe et familière aux hommes qui prennent part au jeu social, elle instaure les différentes bases sur lesquelles se font les échanges sociaux, ce qui crée des réflexes psychologiques et des motivations communes qui varie d’une ville à l’autre. D’après M. Rémy, interrelation sociale se révèle être l’outil le plus apte à expliquer les activités urbaines et l’évolution contemporaine des centres. L’Interrelation est en quelque sorte le cheminement de l’information, et d’après la théorie de l’information, on apprend que le fonctionnement de ce système de communication est soumis et des conditions de fonctionnement, il est aussi commun qu’il s’instaure au centre ce qui explique l’apparition des quartiers de plaisir, d’affaires, car le centre et générale ment là où l’interaction social peut se développer dans les meilleures conditions. Mais tout a changé quand 3 notions ‘sociales’ qui ont eu naissance, le pre mier étant La Densite qui est le résultat du rapport entre une quantité et une surface, a un premier regard on se demande : Qu’elle est le lien entre une notion plutôt physique a la sociologie ? C’est à partir de cette question que La Notion d’intensite soit intégrée dans discours, tout simplement car La Densite n’est plus suffisante pour caractériser la ville diffuse, elle est souvent substituée à La Notion de Compacite qui implique la juxtaposition et exprime une autre morphologie urbaine. Plusieurs architectes viennent par la suite intégrer des chartes afin de mieux exploiter ces notions on peut parler par exemple de la Charte d’Athènes du Le Corbusier “la densité, rapport entre les chiffres de la population et de la superficie”, ou d’Emile Durkheim qui considère toute condensation de la masse sociale, surtout si elle est accompagnée d’un accroissement de la population, détermine les progrès de la division du travail. On arrive au présent, ou à La Ville Contemporaine, une expression sou vent entendue dans plusieurs discours, mais qu’est-ce qu’o veut vraiment dire par la ville contemporaine ? Les chercheurs en sciences sociales, en sociologie et en études urbaines rivalisent d’ingé niosité pour capter d’une manière imagée la forme en devenir des villes contemporaines. En dépit des nouvelles formes d’organisation de l’espace qu’elles revêtent, les villes contemporaines demeurent les héritières des villes modernes. La ville contemporaine est diffuse soit de manière continue, soit de manière ségréguée et fragmentée. Les espaces périphériques constitutifs de la ville contemporaine échappent à tout exercice de classification et de désignation raisonné d’un côté la réalité et de l’autre l’idée que nous nous en faisons et d’autre part émet des idées, des hypothèses sur sa réa lité La ville contemporaine est « fractale », une de ses modes d’intelligibilité Elle n’est plus structurée sur la base d’un mode. La figure de la fragmentation renvoie à une conception topologique de l’espace, de la différence et de la spécificité des lieux d’organisation unique suivant une logique de pro cessus qui encourage la construction. Une ville est un système spatial composé de plusieurs fragments, désignant ainsi une unité de l’« aire urbaine », une portion de territoire qui au cours du temps et des évènements acquiert des caractéristiques qui lui sont propres, ayant chacune des caractéristiques définies. Après avoir longuement parler de l’histoire de la ville, du présent de la ville, il est évident que les chercheurs vont s’interroger sur le futur de celle-ci, souvent désignée comme LA VILLE EMERGENTE. Il fait tout d’abord comprendre : Qu’est-ce que la Ville émergente ? -La Ville émergente est la ville non encore constituée, -La Ville émergente prend en compte les changements de fond. -La ville d’aujourd’hui – et encore moins celle de demain – ne se constitue plus sur le mo dèle de la ville d’hier. -L’émergence est aussi une dynamique et un processus lié à cette innovation. Afin de mieux cerner le sujet, on passera par 3 points de vue sur celle-ci : Pour Yves uploads/Geographie/ synthese-htv.pdf
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- Publié le Dec 18, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
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