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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUP

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE L’ARBI BEN M’HIDI INSTITUT DE GESTION DES TECHNIQUES URBAINES Mémoire de fin d’étude Pour l’obtention du diplôme : Master en gestion des villes et développement durable. VERS UN ECO QUARTIER Cas Cité L’Arbi Ben M’hidi Réaliser par : Sous la direction de : Mr. Issam Eddine khellil Mr. Kadri Taoufik Membres de jury : …………………………………………………………………………………………………………………………………............................. ................................................................................................................................................................... ................................................................................................................................................................... Promotion Juin : 2016 Remerciements : Ce travail est les résultats de la recherche de plusieurs mois. En préambule, je souhaite adresser tous mes remerciements aux personnes qu’ont apportés leurs soutiens et qui ont ainsi contribué à l’élaboration de ce mémoire. Tout d’abord de grandes remerciement à Monsieur Kadri Toufik encadreur de ce mémoire pour ces conseils et sa disponibilité et à Monsieur Mazouz Toufik pour sa gentillesse son aide précieux, et pour le temps qu’il a bien voulu me consacrer. Je remercie également les professeurs de l’institut GTU, Monsieur Maza Nouredinne, Monsieur Gouzeh Nouredinne, Monsieur As Lazhar, Madame Kaleb Dhebih N, pour ces cours précieuses ainsi que leurs conseils. J’exprime ma gratitude à toutes les personnes rencontrées lors de la recherche que j’ai effectuées. Enfin sans oublier tous les camarades du GTU et les amis, qui ont contribué beaucoup du soutien moral à l’achèvement de ce mémoire. ET AVANT TOUT ET APRES TOUT... DIEU MERCI. Dédicace : Avec un énorme plaisir, un cœur ouvert et une immense joie que je dédie mon travail : À Mon père que j’aurais tant aimé qu’il soit là, pour contempler l’étincelle de la fientée dans ces yeux, pour son soutien et motivations continues dans mes études ainsi que pour les valeurs qu’il m’a enseignées et qui m’a fait de moi la personne que je suis aujourd’hui, et pour tous les sacrifices, qu’il a du faire afin que je puisse effectuer de longues études, paix à son Âme , À Ă toute ma famille, du plus petit au plus grand. À Ă mes condisciples du GTU, et aux enseignants qui ont participé à ma formation. 2 INTRODUCTION : Le monde aujourd’hui s’urbanise à un rythme sans précédent et confronte à des grands problèmes environnementaux. La vie sur terre s’avère en danger du au déséquilibre écologique. Les villes au monde, centres de populations et de richesse sans plus qu’avant des points de conflits et divergence socio-spatiale. Aujourd’hui toutes les études menées par les scientifiques dans différents domaine et surtout celles faites par des nations unies ou l’organisation mondiale de la santé démontrent que la seul façon de s’en sortir le développement durable. Bien entendu la durabilité dans tous ces sens ; économique, environnemental et social. Ceci , fait que le concept de développement durable soit un objectif éminent recherché par tous pour une vie meilleur sur cette planète pour l’humanité mais surtout pour les générations à venir, auxquelles on va lisser cette héritage dont on ne peut être fier et qu’on essaie de rétablir par justice, ou peut-être par fierté car on veut pas être ce qui on détruit on cent ans – avec l’industrialisation – les acquis de l’humanité à travers quelques dizaines de siècles . Le problème écologique est l’échelle mondiale, mais les solutions ne peuvent qu’être local au niveau de chaque ville appart, le principe « penser globalement et agir localement » pour pouvoir respecter les spécificités de chaque ville, sa culture, son système économique, son site, son climat … etc. Mais il ne faut surtout pas sous- estimer n’importe quelle action cherchant à rendre l’environnement meilleur, aussi modeste qu’elle soit ; car, si chacun de nous pense à réduire sa consommation d’énergie, ou à trier ces déchets ou seulement à planter un arbre, la terre ira surement mieux. Malgré l’urgence qui marque ce constat, l’Algérie fait partie de ces pays qui ne voient pas la nécessité d’agir dans l’immédiat. Cela fait seulement quelques années que des institutions et des lois ont était créer, mais leur application reste assez timide et on demande encore du temps pour assimiler ces concepts, se rendre compte de leur impacts négatif sur la planète et donc pouvoir leur trouver des solutions. Toutefois l’institution de lois ne suffit pas, il faut qu’il est une conscience générale de la part des décideurs, les gestionnaire de la ville, les architectes, les urbanistes et surtout les citoyens pour pouvoir faire face aux nouveaux défis, et de dessiner un avenir meilleur pour nos enfants et futur générations 3 PROBLEMATIQUE : La ville d’Oum El Bouaghi à l’instar des autres villes algériennes, après l’indépendance a connu une véritable extension dans sa structure urbaine qui malheureusement s’est opéré de façon que jugent beaucoup de spécialiste comme non réfléchie et sans référence, générant plusieurs défaillances urbaines et des impacts sur le mode de vie et causant une dégradation de l’environnement ainsi que la pollution et les problèmes écologiques suite à une politique du « laisser-faire ». Cela abouti à une mauvaise situation sociale des habitants et une dégradation du cadre de vie qui s’influe négativement sur les plans des développements socio- économiques. La ville n’as pas était pensée comme un ensemble homogène mais beaucoup plus comme un ensemble de fragments hétérogènes dont de notre site d’intervention ZHUN L’Arbi Ben M’hidi réaliser en 1982 était une solution pour répondre aux besoins des citoyens en matière de logements suite au émeutes sociale. Notre problématique porte sur l’implication et l’utilisation des notions de développement durable et d’écologie dans l’aménagement urbain de notre qui souffre de multiples problèmes urbains que l’objectif étant d’aménager un éco-quartier. Cela nous amène à poser les questions suivantes : Quelles sont les problèmes dont il souffre notre quartier ? Comment gérer ces problèmes à travers une approche écologique ? Comment peut-on assurer un développement durable dans le quartier ? CHOIX DU THEME : Depuis quelques décennies, nous avons assisté à l’émergence de nouveaux concepts liés à la question du développement durable comme la ville durable, quartier durable, l’éco-quartier, Notre pays s’est engagé depuis la signature de la conférence de Rio dans une politique d’aménagement et de l’urbanisme dans le cadre de développement durable. A l’instar d’une majorité des pays en développement, nombreuses villes algérienne n’échappent pas à la situation alarmante en matière de dégradation progressive des quartiers. Cette situation a conduit à l’apparition de nouveaux problèmes à l’échelle urbaine, nous amène à démontrer la pratique du développement urbain durable et 4 l’environnement urbain à l’échelle du quartier à travers une projection d’un éco- quartier valorisant aussi une stratégie de gestion écologique durable. CHOIX DU SITE : Notre Choix de la ville d’Oum El Bouaghi et la cité ZHUN L’Arbi Ben M’hidi comme un cas d’étude né d’une bonne connaissance a ce lieu qui offre de nombreuses potentialités environnemental vu sa situation au pied de la montagne pour devenir un site durable respectent les principes du développement durable. Ainsi deux autres raisons ont motivés ce choix, le sentiment d’appartenance à cette ville d’une part, et la volonté d’apporter des recommandations en vue d’améliorer le cadre de vie des habitants de ce quartier marginalisé. Et ce qui m’as motivé de plus c’est que le quartier occupe un site pertinent au piment de la montagne ainsi que sa typologie de bâtiment en préfabriqué appeler par les habitants « carton » afin de projeter des idées dans le cadre du développement durable. Notre champs d’action dans ce quartier consiste à régler certains problèmes urbains très aperçue, donc on va réduire leur effets, et de sortir par une image nouvelle et belle pour ces habitants, par une conception d’’un éco-quartier qui assura la durabilité dent il offrira un cadre de vie agréable dans un environnement adéquat. METHODOLOGIE DE TRAVAIL : Par mesure méthodologique, et pour répondre à notre problématique notre travail s’est basé sur deux grandes parties essentielles : Partie théorique : Consiste à la collecte des données qui en une relation directe ou indirecte avec notre thème d’étude en s’appuyant sur des ouvrages, des thèses de magistère, des livres, des mémoires de fin d’études et aussi des sites d’internet. Partie pratique : Dans cette partie la plus importante, et la plus essentielle dans ce travail, un intérêt majeur a été accordé à l’analyse et l’interprétation de toutes informations recueillies à travers la recherche théorique, et les enquêtes sur terrains pour bien connaitre le quartier et cela nous a était nécessaire de collecter de maximum de données sur le site et cela en contactant les différents établissements et services suivantes : 5 - La Direction de l’urbanisme et de Construction (DUC) d’Oum El Bouaghi. - Bureaux d’étude techniques. - Sonal gaz. Pour mieux cerner les particularités de notre site, et donc pour une meilleure perception de ses atouts et carences, cette enquête a été concrétisée par la prise de photos et l’actualisation des donnés. A partir de là, et en fonction des résultats obtenus dans chaque partie de notre recherche, nous avons esquissé quelques recommandations qui résulte la compréhension de notre démarche adopté pour l’aménagement, tout d’abord, et la gestion par la suite dans le quartier vers uploads/Geographie/ vers-un-eco-quartier.pdf