Project Avalon – Paul Hellyer – De la lumière au bout du tunnel – Juillet 2010

Project Avalon – Paul Hellyer – De la lumière au bout du tunnel – Juillet 2010 1. Paul Hellyer De la lumière au bout du tunnel Toronto, juillet 2010 Traduction : The Avalon Translation Project http://projectavalon.net/lang/fr/paul_hellyer_light_at_the_end_of_the_tunnel_fr.html Bill Ryan (BR) : Je suis Bill Ryan, de Project Avalon, et nous sommes le mardi 20 juillet 2010. J’ai le grand honneur de parler à Paul Hellyer, que beaucoup de nos auditeurs reconnaîtront comme étant le très courageux ancien ministre du gouvernement canadien, ministre de la Défense de 1963 à 1967, qui s’est exprimé en 2005 sur la réalité de la présence extraterrestre. Par ses déclarations qui font autorité, et en tant que figure gouvernementale très haut placée et très respectée, Paul Hellyer a créé un important précédent. Et, comme d’habitude, je n’ai été que modérément surpris de constater que ses déclarations n’ont en fait pas été plus répercutées que cela dans les grands médias. C’est d’ailleurs là, bien sûr, un des sujets que j’aimerais aborder avec vous, Paul. Paul Hellyer (PH) : Je suis heureux de vous parler. BR : Absolument. Et pour compléter ma petite introduction, j’aimerais ajouter que vous êtes un auteur prolifique et que vous avez récemment terminé et publié deux livres à mon avis extrêmement importants. L’un s’appelle Light at the End of the Tunnel (De la lumière au bout du tunnel) et l’autre [A] Miracle in Waiting (Miracle en attente), et je recommande à tous de se procurer et de lire ces ouvrages. Ils sont très agréables à lire. Ils couvrent une grande quantité de matière, et leur point commun est l’enjeu que constitue l’avenir de la race humaine. Trouvez-vous cette brève introduction fidèle à la réalité ? PH : On ne peut pas faire faire mieux en étant bref. Les deux livres ont été récemment publiés. L’un est tout récent et l’autre, le Miracle in Waiting, est en réalité la réimpression d’un ouvrage originellement publié en 1996, dans les deux premiers paragraphes duquel je prédisais la crise financière de 2008-2009, en disant qu’elle était absolument inévitable. Donc il a été republié avec seulement quelques altérations très mineures et [l’expression de] ma bienveillance envers le système bancaire. L’autre est entièrement nouveau. Il s’agit en fait de mon treizième livre. Son sujet, comme vous l’avez suggéré, est De la lumière au bout du tunnel, avec pour sous-titre A Survival Plan for the Human Species (Un plan de survie pour le genre humain). Et j’y expose plusieurs choses que j’estime absolument essentielles si nous voulons continuer à faire de la planète Terre un habitat accueillant pour l’espèce humaine, pour nos petits-enfants et leurs enfants. Premièrement, nous devons nous occuper du réchauffement climatique. Deuxièmement, il nous faut modifier le système bancaire qui contrôle actuellement le destin du monde et, troisièmement, que les gens de différentes religions, qui se combattent les uns les autres depuis des milliers d’années, cessent de le faire, qu’ils cessent de croire que la leur est la seule manière d’atteindre le ciel, qu’ils commencent à œuvrer ensemble à la construction d’une planète où chacun aurait suffisamment à manger, de l’eau potable, un toit pour s’abriter, des vêtements et la possibilité de s’instruire. Tous ces éléments sont liés et je commence par traiter dans ce livre le problème du réchauffement climatique. C’est une question que j’ai trouvée très intéressante et j’ai fait, très récemment, partie d’un groupe qui a écrit au Président des Etats-Unis, au Premier Ministre du Canada et à celui, tout nouveau, de Grande-Bretagne, pour tenter de les convaincre de transformer radicalement et fondamentalement les systèmes bancaire et monétaire mondiaux, parce que c’est là une des choses absolument primordiales à faire si nous voulons sauver la planète pour qu’elle demeure l’écosystème dont nous bénéficions nous-mêmes. Et au cours de cette campagne de rédaction de lettres, j’ai découvert à quel point l’industrie pétrolière avait brouillé les pistes au niveau scientifique. Ils nous font maintenant le même coup que l’industrie du tabac avant eux. Ils nous affirment : « Eh bien, la science n’en est pas certaine. Il y a des gens qui disent que le tabac est cancérigène, et d’autres que non. Et, à moins d’en avoir la preuve formelle, pourquoi…, toutes nos activités sont légales et nous allons les poursuivre. » Et bien sûr, comme nous le savons maintenant a posteriori, ils avaient dans leurs dossiers la preuve que Project Avalon – Paul Hellyer – De la lumière au bout du tunnel – Juillet 2010 2. c’était bien cancérigène, que le tabac était du poison et qu’ils fabriquaient en réalité un produit dangereux pour la santé humaine. Mais pendant des décennies ils ont réussi à brouiller les pistes en laissant se répandre certaines informations et en amenant des scientifiques à émettre des doutes et à remettre ceci en question, au point de pouvoir se permettre de poursuivre joyeusement leur chemin sans avoir à s’inquiéter de cette caractéristique dangereuse. Nous voyons donc maintenant l’industrie pétrolière faire pareil avec le réchauffement climatique. J’ai été surpris du nombre d’annonceurs et d’e-mails, particulièrement en provenance des Etats-Unis, affirmant que le réchauffement climatique n’est qu’un canular et les gens que je rencontre au hasard ici, au Canada, sont à mon avis tout aussi manipulés. Mon premier chapitre parle donc de cela et j’aimerais ajouter que, depuis ma publication de ce livre, j’ai lu un ouvrage du Dr. James Hansen, un scientifique de la NASA, que je considère comme le meilleur de tous les auteurs que j’ai lus. Et quiconque doute encore du problème, devrait essayer de se procurer un exemplaire de ce livre, intitulé The Floods of my Grandchildren [Note : titre réel : Storms of my Grandchildren - Les tempêtes de mes petits-enfants.] Bon, il n’est pas facile à lire, mais si, bien que prenant le sujet au sérieux, vous dites « Non, les scientifiques se trompent et il n’y a pas de quoi s’inquiéter », procurez- vous un exemplaire de cet ouvrage et parcourez-le. Je serais vraiment très surpris de constater qu’une fois le livre lu, vous n’êtes pas absolument convaincu que le Dr. Hansen dit vrai et qu’il nous reste très, très peu de temps pour agir. Quand je dis « peu de temps », lui pense que nous pourrions déjà avoir franchi la limite. Mais je suis plutôt optimiste dans le domaine et affirme que nous disposons d’une dizaine d’années, à un ou deux ans près, pour inverser la vapeur. Bon, bien sûr, comme vous le savez, la plupart des politiques du monde nous parlent d’un délai de 30, 40 ou 50 ans avant qu’ils réduisent les émissions liées à la combustion des carburants fossiles, cause de l’augmentation si rapide de la température de la Terre. Donc il s’agit vraiment ici de convaincre les gens de prendre la situation au sérieux et d’agir en conséquence. Le point suivant est bien évidemment : « Que peut-on faire ? » Nous avons cette gigantesque industrie pétrolière. Nous utilisons des autos, des camions, des tracteurs, des avions. Tous brûlent du pétrole en guise de carburant et les gens disent : « Eh bien, nous pouvons fabriquer de meilleurs moteurs, faire ci ou ça, construire des parcs éoliens pour produire de l’électricité ; avoir des panneaux solaires », etc. Mais rien de tout cela ne va changer la situation suffisamment rapidement pour inverser la donne en dix ans, ce qui devrait être à mon avis notre but, plutôt qu’un planning sur 30 ou 40 ans où, j’en suis convaincu, il serait déjà trop tard. Bon, et là nous arrivons au sujet que vous avez soulevé au départ : l’existence de carburants « exotiques ». Dans mon livre, j’affirme qu’ils existent déjà. Les gens au courant de ce qui se passe dans les entrailles de la Terre, au Nevada, en Arizona ou au Nouveau-Mexique, savent que quelque part là-bas, des scientifiques étatsuniens aux côtés d’aliens originaires d’autres systèmes solaires, ont mis au point des carburants exotiques. Il y a, je dirais, une dizaine d’années, le Dr. Michael Wolf, un des plus célèbres scientifiques qui ont travaillé dans les [bases] souterraines de là-bas, affirmait qu’ils avaient développé à la fois la fusion à froid, très connue dans les cercles scientifiques, et l’énergie du point zéro, qui consiste à utiliser l’énergie présente partout dans le cosmos. Il nous faut donc revenir en arrière de quelques années, je suppose, et nous demander : « Bon, comment en est- on arrivé là et comment se fait-il que personne ne soit au courant ? » Et vous avez soulevé le problème tout à l’heure. Quel est ce grand secret, et pourquoi nous le cache-t-on ? Eh bien, l’histoire remonte à des dizaines d’années et on dit généralement que tout a commencé avec le crash d’un OVNI à Roswell au début de juillet 1947. En fait, il y a eu d’autres crashes auparavant, mais il s’en est produit un là-bas et, à partir de ce moment-là, le gouvernement des Etats-Unis, par le biais de ses forces armées, a rétro-conçu la technologie découverte dans les engins des « visiteurs uploads/Geographie/de-la-lumiere-au-bout-du-tunnel.pdf

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