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Amir Biglari & Geneviève Salvan (dir.) Figures en discours 31 ge@gmail.com ip:109.128.23.47 Figures en discours Licence accordée à Lettre 13 Liège lttr13.liege@gmail.com - ip:109.128.23.47 Au cœur des textes Collection dirigée par Claire STOLZ (Université Paris-Sorbonne) Parutions récentes : 30. Dominique MAINGUENEAU, Trouver sa place dans le champ littéraire, 2016. 29. Anne-Marie PAILLET (dir.), Albert Camus, l’histoire d’un style, 2014. 28. Geneviève SALVAN, Jean Rouaud, L’écriture et la voix, 2012. 27. Marianne ALPHANT et Marie-Françoise LEMONNIER-DELPY (dir.), Jude Stéfan. Une vie d’ombre(s), 2012. 26. Véronique MONTÉMONT et Catherine VIOLLET, Archives familiales : modes d’emploi. Récits de genèse, 2013. 25. Jean-Jacques QUELOZ, Philippe Soupault : écriture de soi et lecture d’autrui, 2012. 24. Anna JAUBERT, Juan Manuel LÓPEZ MUÑOZ, Sophie MARNETTE, Laurence ROSIER et Claire STOLZ, Citations II. Citer pour quoi faire ? Pragma- tique de la citation, 2011. 23. Anna JAUBERT, Juan Manuel LÓPEZ MUÑOZ, Sophie MARNETTE, Laurence ROSIER et Claire STOLZ, Citations I. Citer à travers les formes. Intersé- miotique de la citation, 2011. 22. Geoffrey ZUFFEREY (dir.), /·DXWRÀFWLRQ YDULDWLRQV JpQpULTXHV HW GLVFXUVLYHV, 2012. 21. Claire BADIOU -MONFERRAN (dir.), Il était une fois l’interdisciplinarité. Ap- proches discursives des “contes” de Perrault, 2010. 20. Olga ANOKHINA (dir.), Multilinguisme et créativité littéraire, 2011. 19. Samia KASSAB-CHARFI (dir.), Altérité et mutations dans la langue. Pour une sty- listique des littératures francophones, 2010. 18. Françoise SIMONET-TENANT, Journal personnel et correspondance (1785-1939) RXOHVDIÀQLWpVpOHFWLYHV, 2009. 17. Jean-Michel ADAM et Ute HEIDMANN, Le texte littéraire. Pour une approche interdisciplinaire, 2009. 16. Salah OUESLATI, Le lecteur dans les Poésies de Stéphane Mallarmé, 2009. 15. Ridha BOURKHIS et Mohammed BENJELLOUN (dir.), La phrase littéraire, 2008. 14. Véronique MONTÉMONT et Catherine VIOLLET (dir.), Le Moi et ses mo- dèles. Genèse et transtextualités, 2009. 12. Françoise RULLIER-THEURET, Faut pas pisser sur les vieilles recettes. San-Anto- nio ou la fascination pour le genre romanesque, 2008. 11. Lucile GAUDIN et Geneviève SALVAN (dir.), Les registres. Enjeux stylistiques et visées pragmatiques, 2008. 10. Aurèle CRASSON (dir.), L’édition du manuscrit. De l’archive de création au scripto- rium électronique, 2008. Licence accordée à Lettre 13 Liège lttr13.liege@gmail.com - ip:109.128.23.47 Amir Biglari et Geneviève Salvan (dir.) Figures en discours n° 31 Licence accordée à Lettre 13 Liège lttr13.liege@gmail.com - ip:109.128.23.47 D/2016/4910/7 ISBN : 978-2-8061-0267-6 © Academia-L ’Harmattan s.a. Grand’Place, 29 B-1348 Louvain-la-neuve Tous droits de reproduction, d’adaptation ou de traduction, par quelque procédé que ce soit, réservés pour tous pays sans l’autorisation de l’éditeur ou de ses ayants droit. www.editions-academia.be Ouvrage publié avec le soutien de l’UMR 7320, Bases, Corpus, Langage de l’Université Nice Sophia Antipolis, membre de l’Université Côte d’Azur. Licence accordée à Lettre 13 Liège lttr13.liege@gmail.com - ip:109.128.23.47 93 Figures de l’énonciation : les gestes discursifs du savoir Dans le commentaire qu’il consacre au traitement de la métaphore dans la Rhétorique d’Aristote, P. Ricœur insiste sur la vertu GH©ÀJXUDELOLWpªDWWULEXpHSDUOHSKLORVRSKHJUHFjFHWWHUHVVRXUFHGH la lexis (terme grec pour elocutio, désormais préféré) : « “Placer sous les \HX[µQ·HVWSDV>«@XQHIRQFWLRQDFFHVVRLUHGHODPpWDSKRUHPDLVELHQ OHSURSUHGHODÀJXUHª 5LF±XU ©3HLQGUHª©IDLUHYRLUª ©IDLUHLPDJHª OLWW ©PHWWUHVRXVOHV\HX[ª VRQWHQHIIHWOHVWHUPHV employés par Aristote (Rhétorique,,,DE SRXUMXVWLÀHUODSODFH GHVÀJXUHV²DXSUHPLHUFKHIGHODPpWDSKRUH²SDUPLO·DUVHQDOGHV techniques de mise en forme du discours persuasif. ,OHVWIUDSSDQWGHFRQVWDWHUjTXHOSRLQWFHVFKRL[WHUPLQRORJLTXHV SODoDLHQWG·HPEOpHO·pWXGHGHVÀJXUHVGDQVXQHSHUVSHFWLYHSUDJPD- WLTXHSOXW{WTXHVW\OLVWLTXH/DUDLVRQG·rWUHG·XQHÀJXUHGDQVXQGLV- cours persuasif est qu’elle participe pleinement du projet énonciatif JOREDOGXGLWGLVFRXUV ©IDLUHYRLUª SOXW{WTXHG·rWUHXQRUQHPHQW périphérique de son énoncé. C’est un constat que le tournant pragma- WLTXHGDQVO·DQDO\VHGHVÀJXUHV DXPRLQVGHSXLV%RQKRPPH D déjà bien acté. Il nous semble cependant que le déport de la probléma- WLTXHVW\OLVWLTXHYHUVXQFDGUHSUDJPDWLTXHDSHXWrWUHFRXSpWURSUDGL- calement les amarres rhétoriques ;; pour le dire autrement : en voulant WRXUQHUOHGRVjODWUDGLWLRQG·XQHUKpWRULTXHGHVÀJXUHVTXLHQOLPLWDLW la portée au domaine de l’elocutioRQDSHXWrWUHXQSHXYLWHRXEOLpTXH avant de connaître son drastique resserrement sur la mise en forme GHO·pQRQFpÀJXUDOODUKpWRULTXHLQWpJUDLWGpMjO·pWDSHGHO·elocutio dans XQSDUFRXUVÀQDOLVpSDUO·KRUL]RQSUDJPDWLTXHG·XQHSHUVXDVLRQ&H SDUFRXUVREOLJHjOLUHOHVÀJXUHVFRPPHWRXWHDXWUHWUDFHYHUEDOLVpH dans l’énoncé produit par l’elocutioHQUDSSRUWDYHFO·LQWHQWLRQH[SUHV- VLYHG·RHOOHVSURYLHQQHQW ©IDLUHYRLUªSDUH[HPSOH &·HVWGHFHWWH liaison retrouvée entre énoncé et énonciation dont veut rendre compte le glissement terminologique que nous proposons, de la ÀJXUH au geste. Licence accordée à Lettre 13 Liège lttr13.liege@gmail.com - ip:109.128.23.47 94 FIGURES EN DISCOURS 1. De la figure au geste 1.1. Archéologie conceptuelle Cet ajustement terminologique consiste en réalité à renouer avec l’antique concept de VFKrPDWD6DQVrWUHYpULWDEOHPHQWFRQFHSWXDOLVpOH geste discursif se trouve plus souvent employé dans le commentaire philosophique, et plus particulièrement dans le commentaire des phi- losophes de l’Antiquité pour lesquels la rhétorique et la philosophie entrent en étroit rapport l’une avec l’autre1. Une traduction littérale (par Zangara, 2007 : 259, n. 4) d’un passage du Brutus ou Dialogue sur les orateurs illustres de Cicéron donne ainsi à paraphraser les ƳƷƞƬơƴơ des *UHFVSDU©VRUWHGHJHVWHVGHGLVFRXUVª quasi aliquos gestus orationis), FHVPrPHVVFKrPDWD que L’Institution oratoire de Quintilien, dans la tra- GXFWLRQGH-HDQ&RXVLQGRQQHjOLUHVRXVOHV\QWDJPH©ÀJXUHVGX GLVFRXUVª/HVFKrPD d’Aristote tient en effet, selon P. Sauvanet (1998 : DXWDQWGXJHVWHFRUSRUHOTXHGHODÀJXUHGHVW\OH2. Les VFKrPDWD SHXYHQWrWUHVDLVLVVHORQOHVGHX[FRQVWLWXDQWVGHWRXWGLVFRXUV OH WH[WHpQRQFpRVHUHSqUHQWOHVÀJXUHVHWODSUDWLTXHpQRQFLDWLYHGp- SHQGDQWHG·XQH©DWWLWXGHªJpQpUDOHjODIRLVGHVVHLQHWFRPSRUWHPHQW que l’on peut articuler en gestes discursifs3. Ainsi qu’on peut le voir, la conception du geste discursif que nous proposons peut se réclamer d’une tradition large, quoique pSDUVH/HJHVWHGLVFXUVLIHVWO·DXWUHIDFHGHODÀJXUHGHVW\OHHWSOXV SDUWLFXOLqUHPHQWGHFHW\SHGHÀJXUHVTXLVHGpSORLHQWVXUSOXVG·XQ V\QWDJPHVXUXQHSKUDVHSOXVLHXUVSKUDVHVYRLUHXQWH[WHHQWLHUHW TX·RQDSSHOOHSDUIRLV©ÀJXUHVGHSHQVpHª4. La conception du geste 1 4XHOTXHVH[HPSOHVGDQV3LFKpHW/DÁHXU *XpULQ Coulon (2004 : 38), Schiaritti (2013 : 163). 2 Conception que l’on retrouve également dans le concept de geste verbal proposé MDGLVSDU$-ROOHV HQWUHFRUSVHWWH[WHOHJHVWHYHUEDOGpÀQLWXQH©SRVWXUH GHFRPSRVLWLRQª 3XJOLD O·LQFRUSRUDWLRQG·XQSULQFLSHGHFRPSRVLWLRQ dans le discours. 3 ,OQ·HVWSDVVDQVLQWpUrWGHQRWHULFLTXHGDQVVRQHVVDLFigura, Auerbach (1993) insiste d’emblée sur le fait que le latin ÀJXUD « est dérivé directement du radical [ÀQJHUH@HWQRQSDVGXVXSLQ>«@&HWWHIRUPDWLRQVSpFLÀTXHH[SULPHTXHOTXHFKRVH de vif et de mouvant. […] Le sens de forme dynamique n’est en aucun cas étranger à skhèma, mais ÀJXUDaccentue bien autrement cette composante de mouvement et GHWUDQVIRUPDWLRQª/HWHUPH©ÀJXUHªSDUDvWGRQFpJDOHPHQWLQWpJUHUab initio XQHIRUWHGLPHQVLRQFRQFHSWXHOOH©DFWLYHª2QWURXYHG·DXWUHVFRQFHSWLRQVGH ODÀJXUHFRPPHpPDQDQWGXFRUSVHWGHVHVJHVWHVFKH]%DUWKHV SDU DLOOHXUVF·HVWHQFRUHOHWHUPHGHJHVWHTXLHVWFKRLVLSDU-&DYDLOOqVDÀQGHUHQGUH compte du travail mathématique alliant des signes à des idéalités (Cavaillès, 1938). 4 ©0pWDORJLVPHVªVHORQ*URXSH ©ÀJXUHVPDFURVWUXFWXUDOHVªVHORQ 0ROLQLp VT 3RXUO·LGpHGH©ÀJXUHVVHGpSOR\DQWVXUODWRWDOLWpGH O·HVSDFHpQRQFLDWLIªYRLU%RQKRPPH Licence accordée à Lettre 13 Liège lttr13.liege@gmail.com - ip:109.128.23.47 95 GLVFXUVLIDFWLYHFHWWHGLVWLQFWLRQSURSRVpHDX[PDUJHVGHODUKpWRULTXH (par Lyotard, 1971, dans le champ de la philosophie, reprise plus récemment par Zilberberg, 2010, dans celui de la sémiotique) entre le ÀJXUDWLI et le ÀJXUDO7DQGLVTXHODÀJXUHSRVVqGHXQYHUVDQWÀJXUDWLIWUqV DIÀUPpOHÀJXUDOGRQQHIRUPHjODSHQVpHHWPRQWUHGHTXHOOHSHQVpH le geste est le soutien. Le geste discursif n’est en effet pas nettement circonscriptible dans l’énoncé, mais laisse saisir à travers des traces la PDQLqUHÀJXUDOHGRQWXQGLVFRXUVSURJUHVVH 1.2. Archéologie terminologique 4XDQWjO·H[SUHVVLRQPrPHGH©JHVWHGLVFXUVLIªRXFHOOHYRLVLQH GH©JHVWHGHGLVFRXUVªHOOHQRQSOXVQ·HVWSDVLQpGLWHHWO·RQHQWURXYH PrPHTXHOTXHVDWWHVWDWLRQVGDQVOHVVFLHQFHVGXODQJDJH-3H\WDUG l’utilise dans un commentaire sur Bakhtine au détour d’une phrase où le vocabulaire de la psychanalyse nourrit celui du linguiste5 ;; le geste dis- cursif\SRLQWHXQFRPSRUWHPHQWODQJDJLHU)5DVWLHUHPSORLHO·H[SUHV- VLRQSRXUGRQQHUjHQWHQGUHODVLJQLÀFDWLRQJOREDOHGHVProlégomènes à une théorie du langageGH+MHOPVOHYFRPPHXQ©JHVWHGHIRQGDWLRQª6. La dernière attestation que nous mentionnerons est aussi la plus élo- TXHQWHFDUHOOHHVWVXLYLHG·XQHSDUDSKUDVHH[SOLFDWLYH(OOHHVWGXHj C. Normand : […] appelons-le « geste de discoursªVRLWO·HPSORLGDQVO·pFKDQJH LQWHUVXEMHFWLI G·XQH IRUPH FRPPXQH VH SUrWDQW j GHV LQWHUSUpWDWLRQV YDULDEOHV H[SOLFDWLRQ SODLGR\HU RX VLPSOH FOLQ d’œil, dans tous les cas une adresse et une incitation à suivre, que suppose la co-présence des énonciateurs (Normand, 2006 : 19). C’est ici la concomitance entre production discursive et interpré- tation qui appelle la connotation comportementaliste présente dans cette conception du geste de discours. Ainsi qu’on l’observe, que l’on soit en situation de communication effective ou différée, il est fait appel au discours comme praxis dans les trois occurrences mentionnées, et cette pratique n’est pas réduite à sa dimension matérielle, orale ou scriptu- rale, mais est dirigée par des intentions générales, des schèmes d’action, des horizons d’attente7, des contraintes scéniques8, dessinant davan- tage un parcours qu’ils n’imposent une structure d’énoncés. C’est ce GHVVHLQSUD[pRORJLTXHGXGLVFRXUVTXHOHFRQFHSWGHJHVWHWHQWHGH 5 © >«@ HW IDLW TXH FH VRLW O·$XWUH TXL UpJLW VRQ JHVWH GLVFXUVLI ª 3H\WDUG HW Moirand, 1992 : 28). 6 ©/HJHVWHGH+MHOPVOHYHVWG·DERUGGLVFXUVLIRXGXPRLQV SHXWrWUHpWXGLp comme tel, car l’oratio commande la ratioª 5DVWLHU 7 Voir Jauss (1978). 8 Voir Maingueneau (1993). Figures de l’énonciation : les gestes discursifs du savoir Licence accordée à Lettre 13 Liège lttr13.liege@gmail.com - ip:109.128.23.47 96 FIGURES EN DISCOURS VDLVLUHQWDQWTX·LOFRQÀJXUHjODIRLVOHVSDUWHQDLUHVGHO·pFKDQJHHWOD VpPLRVHPrPHGXGLVFRXUV&RPPHOHVXJJqUH70DLDGDQVXQUHFXHLO dédié au geste de l’art, « un geste serait avant tout ce qui précède la diffé- rence entre un contenu et une forme. Un geste, essentiellement, donne forme jXQVHQVTXLpPHUJHª 0DLD 1.3. Pour une théorie du geste discursif 1.3.1. Situer le concept de geste : entre séquence textuelle et acte de langage Dans le but d’établir plus avant le concept de geste discursif, si- WXRQVOHHQFRUHHQIRQFWLRQGHGHX[DXWUHVFRQFHSWVODUJHPHQWUHoXV en sciences du langage, celui de séquence textuelle, d’une part, celui d’acte de langage, d’autre part. Le concept de séquence textuelle est introduit par J.-M. Adam en re- prenant à la sémiotique narrative le postulat du découpage d’un récit HQXQLWpVIRQFWLRQQHOOHVHQFKDvQpHVOHVXQHVDX[DXWUHVHWVXVFHSWLEOHV d’une hiérarchisation compositionnelle (en périodes et séquences). $GDP pWHQGFHSRVWXODWj O·HQVHPEOHGHVWH[WHVGHTXHOTXHQDWXUH TX·LOVVRLHQWHWGRQFjGHVWH[WHVpJDOHPHQWQRQQDUUDWLIV Le concept de geste discursifUHVVRUWLWGHODPrPHK\SRWKqVHFRP- positionnelle mais en l’appliquant non à l’énoncéWH[WXHOPDLVELHQjVRQ énonciation. Il ne s’agit pas de rendre compte du contenuGXWH[WHPDLV bien des processus par lesquels un discours est alimenté et ordonné, SURGXLVDQWOHWH[WHpQRQFpHWSHUPHWWDQWGHO·LQWHUSUpWHU1RQSDVOH récit, donc, mais l’énonciation narrative, c’est-à-dire la narration, avec les fonctions propres à l’énonciation d’un récit. Parmi ces fonctions, la narratologie, au moins depuis Genette (1972) et jusqu’à Rabatel (2008), a centré son attention sur la focalisation, en faisant essentiellement du narrateur une instance percevante. Or, comme tout actant, il ne fait pas que percevoir : en narrant, il agit. Il s’agira donc de décrire un com- portement selon lequel un narrateur procède au récit. Ce comportement se donne à voir comme un enchaînement de gestes, distinct de l’en- FKDvQHPHQWGHVVpTXHQFHVHWIRQFWLRQVGXUpFLW3DUH[HPSOHO·HQFKDv- nement suspense-curiosité-surprise, tel qu’étudié par Baroni (2007), relève de la narration, non des actions narrées. Qu’on pense également à la structuration en chapitres, quant à elle ordinairement peu étudiée par la narratologie classique (sauf précisément uploads/Litterature/ 16-lttr13-figures-de-l-x27-e-nonciation-badir.pdf
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- Publié le Nov 05, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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