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www.pressesduchâtelet.com Si vous souhaitez recevoir notre catalogue et être tenu au courant de nos publications, envoyez vos nom et adresse, en citant ce livre, aux Presses du Châtelet, 34, rue des Bourdonnais 75001 Paris. Et, pour le Canada, à Édipresse Inc., 945, avenue Beaumont, Montréal, Québec, H3N 1W3. eISBN 978-2-8459-2464-2 Copyright © Presses du Châtelet, 2013. DU MÊME AUTEUR Les Eaux florales : un nouvel art de vivre, avec Jean-Charles Sommerard, Presses du Châtelet, 2012. Le Guide de l’olfactothérapie, avec Guillaume Gérault, Jean- Charles Sommerard et Catherine Béhar, Albin Michel, 2011. Le Thé vert, Marabout, 2011. Maca, la plante sacrée du Pérou, Trédaniel, 2011. Je teste les plantes détox et dépolluantes, avec Guillaume Gérault, Alysse, 2011. Le Petit Livre des huiles essentielles, avec Guillaume Gérault, Albin Michel, 2010. Le Guide de l’aromathérapie, avec Guillaume Gérault, Albin Michel, 2009. SOMMAIRE Page de titre Copyright Introduction Première partie Acides aminés Algues Angélique chinoise Arginine Ashwagandha Astragale Bacopa Baies, fruits et superfruits Basilic Chlorelle Coenzyme Q10 (ou coQ10) Cordyceps1 Créatine Cystéine Damiane ou Damiana Eau Hydroxydase Éleuthérocoque Épices Epimede ou Epimedium Gelée royale Germe de blé Gingembre Ginkgo biloba Ginseng Gotu kola Guarana Klamath Kola (noix de) Lait de jument Levure de bière Maca Magnésium Maltodextrine Maté Miel et gelée royale Minéraux Muira puama Oligo-éléments Renouée Rhodiole Romarin Sarriette Schisandra Spiruline Suma Taurine Tribulus Tryptophane Tyrosine Vitamines Warana Yerba maté Seconde partie Pour un « coup de fouet » Pour un tonus durable Pour résister au stress et tordre le cou à la fatigue nerveuse Pour retrouver un sommeil réparateur Pour booster les neurones Pour un bon équilibre de la femme Pour une forme physique et psychique au top Pour une périménopause tout en douceur Pour une sexualité au féminin Bientôt maman ? Pour stimuler le désir et le plaisir Pour doper naturellement les sportifs Pour des enfants toujours au top Pour le tonus des seniors Annexe Glossaire ___________________ 1. De l’oxyde nitrique (NO). AVERTISSEMENT Les informations délivrées dans ce livre, ainsi que les produits présentés, ne remplacent pas l’avis d’un médecin en cas de trouble et ne se substituent pas aux traitements éventuellement prescrits. L’auteur et son éditeur ne peuvent être tenus pour responsables au cas où une mauvaise utilisation en serait faite. INTRODUCTION Se surpasser, voilà un désir largement répandu dans notre société. Certains l’entendent comme une volonté d’aller au bout de soi-même et même au-delà, au risque d’épuiser ses ressources, dans le but de dépasser tous les autres. Mais cette notion possède une autre dimension, moins agressive. Il s’agit alors de profiter au mieux de ses propres moyens, d’optimiser ses ressources dans le but de réussir, bien sûr, mais aussi de s’épanouir. Désirer se surpasser, c’est alors vouloir aimer : s’aimer soi et sa vie, aimer son époque et son monde, aimer l’espoir et le devenir de sa propre existence. Loin du fléau instauré peu à peu par la société (notamment la publicité), les magazines (plutôt féminins) ou le monde du travail, qui placent le diktat de la « performance individuelle » au rang de norme et non d’exception. Cette notion de performance, qui se rapporte à l’exploit, ne devrait être associée qu’aux sportifs, aux artistes ou au monde des affaires ; et toujours à un nombre limité d’individus consentants. Or, nous sommes aujourd’hui intoxiqués par une pensée dominante : nous devons (et c’est souvent perçu comme une injonction) être performant dans toutes les sphères de notre vie. Les « je n’ai pas envie », « ce n’est pas pour moi » ou « ce n’est pas possible » ne sont guère de mise. « Il suffit de le vouloir pour l’avoir », nous dit-on. Avec ce sous-entendu très culpabilisant : si vous n’y parvenez pas, vous faites partie des « faibles » et des « ratés ». Ce n’est pourtant qu’un piège ! Chacun reste libre de vivre comme il l’entend, en suivant ses propres valeurs. Ce qui n’exclut pas, bien entendu, d’essayer de se sentir « au mieux » et de tirer le meilleur parti de ses possibilités, dans le cadre de ce qu’on considère comme sa « juste vie ». « Ce qui m’intéresse, c’est la vie des hommes qui ont échoué car c’est le signe qu’ils ont essayé de se surpasser », disait Georges Clemenceau1. Suivons son conseil : efforçons-nous de nous surpasser sans pour autant viser une excellence inatteignable. La seule limite de ce principe est celle que chacun se donne à soi-même. Point de règle absolue, point de cadre valable pour tous. Nous verrons ainsi que les produits et suggestions de ce livre s’adressent aux personnes qui désirent se surpasser selon leurs propres règles, et à celles et ceux qui cherchent à s’armer physiquement et psychiquement pour lutter contre une éventuelle pression de la performance, afin que celle-ci ne se transforme pas en stress destructeur. Nous sommes les meilleurs… consommateurs de psychotropes ! Le résultat de cette contrainte du « toujours plus performant » est que la France est aujourd’hui (et depuis bien des années) le troisième pays du monde en termes de dépenses globales de santé, derrière les États-Unis et la Suisse. Nous sommes aussi les plus gros consommateurs de médicaments (550euros en moyenne par personne en 2010). Alors, tous hypocondriaques2, les Français ? Même si on sait que l’hypocondrie peut représenter une réaction de défense contre l’angoisse, cela n’explique pas pourquoi les psychotropes3 sont les médicaments les plus vendus : deux à quatre fois plus que dans les autres pays européens. Du point de vue de la souffrance humaine, ces produits, que certains qualifient d’outils de mieux- être, représentent plutôt le coût du mal-être ambiant. Quelques chiffres… Bon an, mal an, depuis une vingtaine d’années, 10 à 12% des Français se déclarent souvent fatigués, tristes et abattus : 14% de femmes contre 8% d’hommes. Une proportion similaire se sent profondément découragée (13% de femmes contre 7% d’hommes). Enfin, les malaises, les ennuis dans la vie sociale et les relations avec les autres concernent 7,5% des personnes (9% de femmes contre 6% d’hommes). Des différences existent selon les catégories sociales : ce sont les commerçants et les chefs d’entreprise qui paient le plus lourd tribut. Quant aux chômeurs, ils sont bien évidemment les plus touchés (20%), bien plus que les actifs. Pas étonnant, alors, que pour 84% de nos concitoyens, l’amélioration de l’état de santé physique se traduise par un renforcement de la santé psycho- émotionnelle. Peut-être est-ce là qu’il faut chercher la cause de cette surconsommation de psychotropes ? Plus que la réalité de leur situation, c’est la perception qu’ils ont de leurs problèmes et de leurs capacités à les gérer qui pousse les consommateurs à absorber des psychotropes. Les femmes déclarent plus souvent, et sans doute plus facilement, un mauvais état psychique et physique (58,6%) que les hommes. Elles sont également plus susceptibles d’être affectées par le mal-être (62,5%). Au bout du compte, les situations les plus favorables au bien-être se trouvent entre 23 et 33 ans, puis entre 55 et 80 ans. Les premières années de travail et celles précédant la retraite (puis la retraite elle-même) sont visiblement bien vécues. C’est donc chez l’adulte, quand les responsabilités sont les plus pesantes, que le mal-être est le plus sensible. C’est durant ces périodes que l’on a parfois besoin d’un petit « coup de pouce ». Au lieu de se tourner vers les molécules chimiques qui ne sont pas dénuées d’effets secondaires (notamment une accoutumance rapide), mieux vaut opter pour des produits naturels, plus faciles à doser, à intégrer dans la vie quotidienne, sans altération du comportement et surtout sans risques. Fatigue et mal-être ne sont pas des fatalités À l’origine du mal-être, on trouve généralement une forme de fatigue physique, et surtout nerveuse et psycho-émotionnelle. Cette fatigue est amplifiée par un mal largement répandu : les problèmes de sommeil. Le tout s’articule dans un cercle vicieux dont il est parfois difficile de sortir. Le manque de sommeil amplifie la fatigue, laquelle perturbe les capacités de réaction, diminuant la faculté de résoudre les difficultés, ce qui entraîne à nouveau fatigue et perturbations du sommeil… Les matins sont alors difficiles. Autre coupable : le stress (voir plus loin, p.18). Quand les soucis du travail ou du chômage, des enfants ou de la vie privée s’accumulent, on ne sait plus où tout cela a commencé. Ajoutons à cela une carence en vitamines, minéraux et autres nutriments essentiels à une bonne santé, et nous obtenons le cocktail idéal pour la vraie baisse de tonus, le sévère « coup de mou » qui s’installe sans prévenir. Pour celles et ceux qui veulent sortir du cercle infernal, il est important de faire une première distinction : s’agit-il d’une fatigue « normale » – après un effort intense (intellectuel ou physique), une mauvaise nuit de sommeil, ou encore une soirée animée – qui disparaît d’elle-même en quelques jours ? Ou est-ce une fatigue chronique qui se présente sans raison apparente et s’installe durablement ? Si vous êtes confronté à une fatigue permanente, mieux vaut consulter un médecin afin uploads/Litterature/ 280-produits-naturels-pour-se-surpasser-ronald-mary.pdf
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Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Jui 15, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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