Préface : Avant-mot de l’auteur-copywriter Bonjour à vous, lecteur ou lectrice.
Préface : Avant-mot de l’auteur-copywriter Bonjour à vous, lecteur ou lectrice. Merci beaucoup d’avoir téléchargé votre ebook gratuit Copywriting Cash ! Les 10 Conseils des rédacteurs pros… pour faire vos premiers euros. Je suis un vieux monsieur de 36 ans au moment où j’écris : je vais donc vous vouvoyer. Je suis un peu vieux jeu, j’ai du mal à tutoyer immédiatement, parce que j’estime que je vous dois le respect : en effet, j’aime ceux qui aiment apprendre, et vous êtes là pour ça ! Si vous avez téléchargé ce guide pour débuter en copywriting, c’est probablement parce que : ● Vous voulez devenir rédacteur et gagner votre vie grâce aux mots et aux histoires ● Vous avez un business dont vous voulez améliorer la rentabilité, l’efficacité, le taux de conversion. Et c’est exactement le but, c’est tout l’enjeu du copywriting : vendre avec des mots. Les mots sont mes amis, mais surtout ma source de revenus depuis 2009, quand j’ai quitté le monde de l’industrie lourde (GE, Schneider Electric, puis Jaguar et Land Rover). Après une formation en PNL et en coaching, je me suis retrouvé comme vous probablement, à devoir vendre mon savoir, mon expertise, en utilisant le pouvoir des mots. C’est grâce à mon blog www.selimniederhoffer.com que je me suis fait connaître dès 2010, puis que j’ai rejoint le plus grand site de coaching en séduction en France, www.artdeseduire.com. C’est vraiment là que je suis devenu copywriter au quotidien (j’écris les articles, les newsletters, les pages de vente pour nos super formations). Avant, au début, j’étais auteur. J’étais écrivain. J’étais storyteller, si vous voulez. Mais je ne maîtrisais pas encore le copywriting : mon écriture il y a 10 ans n’était pas assez vendeuse. Mes lecteurs trouvaient que j’avais du style, ils aimaient bien ma plume, mais je ne vendais pas assez. Dès lors, mon mentor, un des meilleurs copywriters français, m’a pris sous son aile et m’a fait ingurgiter des dizaines de livres sur le copywriting. Puis j’ai investi dans des formations vidéo et audio sur le copywriting. En 10 ans, j’ai affiné mon utilisation des mots pour vendre, et j’ai eu la chance de passer encore un cap au moment où je suis devenu responsable éditorial de tout le site. Tout à coup, je devais gérer l’envoi des newsletters, les pages de vente, les vidéos de vente, les top articles, les quizz, les vidéos sur Youtube, les tweets : bref, tout le contenu du site… Avec un objectif moral : diffuser notre expertise au plus grand nombre de clients possibles, en utilisant les techniques d’influence et de copywriting. Je me permets de vous livrer immédiatement le conseil bonus, qui m’a permis de franchir un cap supplémentaire avant d’enseigner l’art du copywriting : devenez mentor de jeunes copywriters, et détaillez vos règles d’écriture, énoncez-les clairement, pour vous et pour les autres. J’ai la chance de m’occuper de quelques jeunes loups (et louves, d’ailleurs !) qui sont prêts à prendre la relève, qui aiguisent leurs plumes dans l’ombre de petits et moyens business et perceront prochainement sur la scène francophone. Grâce à eux, j’ai concocté au fil des ans un document Word contenant leurs pires erreurs. On y trouve les fautes d’orthographe récurrentes des débutants, mais aussi les fautes de construction, et tous ces ralentisseurs qui empêchent le lecteur de filer logiquement et de manière fluide vers le call to action désiré. Parce qu’il ne faut pas vous voiler la face : à la fin, vous n’attendez qu’une seule chose de votre écriture. Que vos mots mènent votre prospect du titre à l’action, de la lecture à la vente, et que votre prospect se transforme en client. Au-dessus de votre clavier, vous avez un grand pouvoir. D’un bon produit, vous pouvez faire un hit, une machine à cash, ou un flop total. Débarrassez-vous rapidement de votre ego et des règles si vous avez étudié la littérature au lycée ou à l’université. Dans le petit monde du copywriting, l’efficacité prime sur tout le reste : personne ne s’intéresse à votre style, personne ne vous demande d’être poète. Avant que vous ne pénétriez les arcanes du copywriting à la française, je vous quitte avec une citation qui résume ce que devrait être votre philosophie du copywriting, qui pourrait être un bon titre de newsletter… ou un tatouage de copywriter digital-nomade. PS : si j’ai quitté mon registre de blogueur-blagueur pour devenir copywriter-vendeur plus efficace et si j’ai réussi à multiplier mes revenus par 3, puis par 5, vous le pouvez aussi. Bonne lecture ! Préface : Avant-mot de l’auteur-copywriter 1 Conseil #1 : Écrivez un putain de bon titre ! 6 Conseil #2 : Adressez-vous directement au lecteur ! 7 Commencez par vous mettre dans la peau du lecteur 7 Renseignez-vous sur vos clients 8 Conseil #3 : Utilisez la voix active ! 9 Conseil #4 : N’ayez pas peur de vendre ! 10 1/ La France n’aime pas vendre. 10 2/ Les introvertis n’aiment pas vendre. 10 Conseil #5 : Mais ne mentez pas ! 12 Conseil #6 : Lisez, lisez, lisez encore ! 13 Un bon copywriter lit des livres. 13 Conseil #7 : Recopiez à la main des pages de vente que vous aimez ! 14 Conseil #8 : Essayez d’améliorer les pages de vente de vos concurrents ! 16 Conseil #9 : Utilisez des phrases courtes ! 17 Conseil 9 comme 9 secondes d’attention. 17 Conseil #10 : Relisez-vous et éditez ! 19 Résumé des 10 Conseils des Rédacteurs Pros 21 Conseil #1 : Écrivez un p*tain de bon titre ! Votre job commence toujours par le fait de concevoir un bon titre ! Si vous voulez que votre lecteur soit accroché, vous devez écrire un bon titre. Et si je commence par ce conseil, c’est parce qu’il est essentiel, vraiment. J’aurais pu éviter le « put*in », c’est vrai, mais je voulais que vous ressentiez quelque chose. Du dégoût, de l’agacement, un sourire : un bon titre déclenche des émotions chez le lecteur. A l’époque, quand j’ai démarré, mon éditeur me demandait pour chaque article de produire entre 7 et 10 titres alternatifs, afin de sélectionner uniquement la crème de la crème pour plus d’impact. Aujourd’hui, je vous donne le même conseil : passez du temps sur votre titre. Ce n’est pas forcément la touche finale. Certains auteurs que je connais commencent par le titre, ça les aide à angler leur papier ou leur page de vente. Mais pour 80% des copywriters avec qui je travaille, le titre, c’est la cerise sur le gâteau, c’est l’élément sur lequel on tergiverse le plus. Votre titre doit être puissant, percutant, définitif, émotionnel, court, humoristique… mais avant tout, vendeur ! A force de me pencher sur l’importance d’un bon titre en copywriting, j’ai commencé à interviewer des auteurs, des journalistes, des chanteurs, des community managers pour recueillir leurs connaissances sur l’art du titre. Avec cette question permanente : « qu’est-ce qui selon vous fait un bon titre ? » Cette question, vous allez devoir vous la poser souvent : − Pour vos campagnes de publicité sur Facebook, Outbrain, Taboola, Google Ads… − Pour vos pages de vente… − Pour les objets de vos mails… − Pour vos livres blancs, vos ebooks gratuits, vos lead magnets… − Vos vidéos sur Youtube… Votre titre est essentiel : sans lui, votre lecteur ne lira pas votre copie. Pas de lecture, pas de vente : votre client sera mécontent, car vous n’aurez pas atteint votre objectif. Si votre titre est réussi et abouti, votre lecteur passe alors à l’étape 2 : il regarde la vidéo, il lit la copie, le texte, la pub, il est à vous, et votre mission va être de conserver son attention si chèrement acquise ! Conseil #2 : Adressez-vous directement au lecteur ! Les champions du marketing direct n’y vont pas par quatre chemins : ils s’adressent directement au lecteur, et vous devez faire pareil. Visez le cerveau, visez le cœur ! Chez les copywriters anglo-saxons, c’est très simple : c’est « YOU ». Chez nous, le choix est libre entre le « tu » et le « vous ». J’ai du mal avec ce « tu » très direct, que je n’emploie qu’avec mes proches, ma famille… et quand je m’emporte contre des inconnus (au hasard, mes voisins trop bruyants). Un des copywriters français les plus en vogue en ce moment utilises ce « tu » de copinage, ce « tu » presque condescendant parfois dans ses newsletters. Quand je le lis, je me dis « Mais mec, on n’a pas gardé les cochons ensemble, p*tain… » Mais c’est mon ressenti personnel Il arrive que le tutoiement soit par exemple très adapté pour du contenu en ligne à destination des plus jeunes. Mon amie Nadia Richard, qui vit des revenus de sa chaîne Youtube Utile-Futile traite les problèmes de cœur des jeunes, et elle joue la grande sœur qui a le tutoiement facile. Pour réussir votre écriture de page de vente, de newsletter, pour uploads/Litterature/ copywriting-cash-v1.pdf
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- Publié le Jul 24, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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