Louis Desplanche, Antonin Alves Capitale de la douleur, Eluard 1. Dans les poèm
Louis Desplanche, Antonin Alves Capitale de la douleur, Eluard 1. Dans les poèmes p. 15 (Max Ernst) et p.55 (L’Habitude), on ne comprend pas bien le sens, on peut cependant ressentir les émotions du poète pendant la période où il l’a écrit. Dans c’est deux poèmes, l’auteur fait appel à la technique de l’écriture automatique c’est-à-dire que les mots qui forment ces poèmes viennent directement de l’inconscient de Paul Eluard. Les mots sont forcément différent par rapport à si il avait été heureux. Puisqu’il utilise « inceste » ; « épines » ; « orage » dans Max Ernst. Il faut retenir que dans le surréalisme il n’y a pas vraiment de sens et cela est dû à l’écriture automatique. En comparaison avec la peinture surréaliste, un morceau d’un collage ne représente rien seul mais l’ensemble du collage est une œuvre d’art. 2. Les poèmes p.24 (Poèmes) et p.60 (Bouche usée) sont une preuve que Paul Eluard n’a pas rompu avec les formes de la poésie traditionnelle puisque qu’ils sont écrits soit en heptasyllabe (Bouche usée) ou en décasyllabe (Poèmes) cette forme d’écriture particulière est typique de la poésie classique et Paul Eluard y est particulièrement attaché. 3. Dans le premier poème, il n’est pas facile à trouver un sens, mais nous pouvons pensez que ce poème est un poème d’amour et de profonde douleur. Par exemple, dans le premier vers, Paul Eluard parle d’inceste, non pas pour désigner une relation entre un homme et une femme de même famille, mais plutôt pour introduire dans ce recueil la douleur que lui inflige la relation entre gala et Max Ernst qui est pour lui comme son frère. Gala serait représenté par la « petite robe ». Dans le deuxième poème intitulé « L’amoureuse ». Ce deuxième poème est entièrement dédié à gala. Eluard voit gala partout : « et ne me laisse pas dormir », ce qui signifie qu’elle le hante même dans ces rêves. Le poète à travers ce poème dégage plus d’amour envers gala. Il exprime tous les sentiments qu’il a pour elle. Par rapport au premier poème, il n’est pas question de Max Ernst mais seulement des deux amoureux. Ce poème est une déclaration et agit comme une lettre de reconquête du cœur de gala. Dans les deux derniers poèmes : « La courbe de tes yeux » et « Celle de toujours toute » Paul Eluard exprime sa tristesse en vue de leurs séparation : « et la brume de fond ou je meurs ». Eluard parle aussi plusieurs fois des « astres » dans les deux poèmes peut être afin de dissimuler son chagrin derrière leurs séparation inévitable. 4. Nous avons tous deux appréciés le poème Nudité de la vérité p.28 autant dans la forme que dans le fond ici Paul Eluard nous délivre un fort message de sa perception de l’amour et du désespoir qu’il compare et dont il trouve des similitudes évidentes et sa forme est également intéressante car il est court certes mais les vers sont minces mais très instructifs seul le dernier vers est plus long que les autres comme pour clôturer cet amour laissant place au désespoir. 5. Baudelaire est celui qui en quelque sorte ouvert la voie à Eluard car c’était avant tout son poète préféré il déclare même que sa poésie est une source de création et récréation. C’est l’influence de Baudelaire qui l’a lancé sur la voie du surréalisme. Du fait qu’Eluard durant sa jeunesse et ses études fit de Baudelaire son écrivain préféré on peut dire que Baudelaire lui a forcément ouvert la voie, il voulut suivre le chemin de son poète de cœur. uploads/Litterature/ capitale-de-la-douleur-guide-de-lecture 1 .pdf
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- Publié le Fev 10, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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