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Notes du mont Royal Cette œuvre est hébergée sur « No tes du mont Royal » dans le cadre d’un exposé gratuit sur la littérature. SOURCE DES IMAGES Google Livres www.notesdumontroyal.com 쐰 o-îèflêc’ PARIS. TYPOGRAPHIE DE "Ean PLON IMPIIIMEUH me L’ennui-mu s. nua GARANCIÈRE flirte-0 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE HINDOU I ET HINDOUSTANIE PAR M. gARCIN DE TASSY nonsszun A licou»: "prunus: n anima. mas usons omniums unaus l manu Dr. L’Iss-rI-ru-r un "mon ne L’Acnnùxu: IIPÉRIAIJZ nm sommas m: SAINT-PÈTEIISBOURG au ACADÉMIES nouas m: nunc" , m: usnossn, un Toma DES soumis menus Dr. nonvEch, n’uvsJII. ET nejcoumucvn pas soumis AMATIQUFS DE Parus, un nommas, on: aucun-a, un nanans DE nanan, ORIENTALES ALLEIIAKDF. ET AMÉRICAINE DE 11- Aqumx n m: muon, un L’un-nm- n’aucnn CHEVALIER DE LA LÉGION n’nonsrzun n m: KIL-roux POLAIRE DE SUÈDE, ne. TIIe Hindi dialecu have a liter-nu": of Lheir own and ont of ver] area! inlcreu. H. H. WILson, Introd. la Hack. Couecl. SECONDE ÉDITION menus, CORRIGÉE, m CONSIDÉRABLEMENT AUGMENTER TOME SECOND N’x” 2A «fr-u m’*---- «A. PARIS ADOLPHE LABITTE LIBRAIRE DE LA SOCIÉTÉ ASIATIQUE 4, nm: DE une ’ I D006 DIX I ÇARPENTIER HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE HINDOUIE ET HINDOJISTANIE BIOGRAPHIE BIBLIOGRAPHIE ET EXTRAITS (SUITE) I ’IBADATl (le hâji MIRZA ’Anm ’ALi Bac ZAÏR), (le Lakhnau, fils de Mirzà Bakhsch ullah Beg, élève du snïyid Agi: Haçnn Amânat, est un poète hindoustani dont Muhcin cite des vers dans son Anthologie. l. IBRAHIM’ (le nabab ’ALî humain KHAN) occupait la charge de juge ou pour mieux dire de président du tribunal de Bénarès’, sous le gouvernement de lord Hastings. Il était né à Patna. Son nom in extenso est anàb ’Alî Ibràbîm Amin uddaula Nâcir Jung. et il avait le î A. a Adoration, service de Dieu a (’ibddal). 3 A. I Abrahamn. 3 Déroga-i ’addlat Banal-es. T. Il. l 436 e 2 BIOGRAPHIE, BIBLIOGRAPHIE double takhallus de Khalîl ’ et de Hâl 2. C’est sous le pre- mierde ces noms qu’il est mentionné dans le Tazkira des poètes persans de Yûçuf ’Alî et dans Schorisch, et sous le dernier dans ’Ischquî. Le grand-père de sa mère était le savantmau [à MuhamInad Nàcir, qui était élève d’Akhund Mania Schàh Muhammad Schiràzî, et qui mourut sous le règne de Muhammad Schâh". On lui doit une biographie anthologique des poètes hindousta- nis intitulée Gulzâr-i Ibrâlzïm, par une double allusion à I son nom et à une légende musulmane sur Abraham. Ce travail, commencé en 1186 (I772) et terminé en 1198 (I783), contient des notices sur environ trois cents poètes, avec des extraits de leurs ouvrages. Ibrahim est aussi auteur de deux Anthologies des poètes persans; la première, qui est intitulée Klzulâçat ul- kala’m «t Abrégé du discours», contient en un volume in-4’ (les morceaux choisis dans les masnawîs de soixante- dix-huit poètes; et l’autre, intitulée SuIqu-i Ibrahim cc les Feuilles d’lbràhîm n, contient des cacîdas, (les ga- zais, etc. La partie biographique (le ce dernier ouvrage est intitulée Bayâzi. Enfin on lui doit un article sur l’ordalie inséré dans les a Asiatic Ilesearches w , tome I, page 471, et très-probablement des poésies hindousta- nies, car les auteurs de Tazkiras des écrivains ardus en ont tous écrit. Il mourut en 1208 (1793-1794), ainsi que nous l’apprenons par une pièce de vers” dans la- quelle le célèbre poète hindoustani Jurat a fixé cette date. Voici la traduction de ce tarikh : l A. a Ami n. 2 A. a Elnt n. 3 Sprenfier. u A Catalogue n, p. 180. 4 N. Blaml, a Journal of die Huy. Asiat. Soc. n, t. 1X, p. 159. 5 Page 83 de mon exemplaire manuscrit des œuvres de .Inrul. ET EXTRAITS. a Hélas! cent fois hélas! le soleil de la justice, la lune bril- lante de l’équité est allée se cacher dans la citadelle de la mort. Y a-t-il une injustice qui par ses soins n’ait pas été éloignée du monde? Le jardin de l’équité était verdoyant par lui... j Cent Ibis hélas! de ce que cet homme, qui était si éloquent dans le palais de la justice, soit actuellement silencieux sous la terre. o Comment la chaleur du marché du discoursne se change- rait-elle pas en froideur, puisque cet éloquent défenseur de la justice n’est plus juge? Mais c’est assez de complainte, ô Jurat! songeons à faire connaître le tarikh de la mort de ce personnage recomman- dable : Hélas! elle s’est éteinte la flamme de celle bougie; il a été effacé, le matla’ l du dtwân de la justice î l Je pense que c’est le même écrivain dont Mir, dans l’article de sa biographie sur Raquim, parle sous le nom de Mzïyân Ibrahim. Il était tout jeune a cette époque , et il était très-lié avec Mir. Il partageait son goût pour la poésie, et il avait la même manière d’écrire. Il. IBRAHIM (le càzî IBRAHÎM BALANDARÎ), fils du càzî Nûr Muhammad, de Bombay, a été , en compagnie de Nûr uddin, l’éditeur d’une traduction hindoustanie de morceaux choisis du masnawi de JalI’Il uddin Rumî par Schàh Musta’an, imprimée a Bombay en I277 (1860- 1861), petit in-folio de 180 pages (le 2] lignes, avec l c’est le nom qu’on donne au premier vers d’un poëme. Le Diwân est un recueil de poésies, et aussi un conseil; le malla’ d’un Dîwâu est donc le premier vers du recueil, et par métaphore a le président d’un conseil n. ’ 3 En additionnant les lettres qui forment ce tarîkb, c’est-à-dire le second hémistiche du dernier vers, on trouve le nombre 1208, qui indique l’année de l’hégire correspondant aux années 1793-179h de Jésus-Christ. I. Io BIOGRAPHIE, BIBLIOGRAPHIE les marges couvertes de vers en hémistiches. Il a aussi donné ses soins à ’édition du Dastân Amîr Hamzalz a Histoire de l’amîr HamzahI n , publié à Bombay en l 854-1 855 . III. IBRAHIM (’ADIL SCHAH),Sultan de Béjâpûr’, qui régna de 1579 à 1626, année de sa mort, est compté parmi les écrivains hindoustanis. On lui doit un ouvrage en vers sur la musique intitulé Nau ras a les Neuf sen- timents n , dont il existe deux exemplaires dans la biblio- thèque de la Société Asiatique de Calcutta. Ces neuf sentiments, exprimés par la musique et par la poésie, sont : 1° Le singar-ras « l’amour u g 2° Le [tans-ras a la gaieté » ; 3° Le [taraud-ras a la tendresse w ; 4° Le randar-ras fit la colère u ; 4" Le bir-ras (I l’héroïsme v ; 6° Le bizayânak-ras a la terreur a ; 7" Le bibhatas-ras a le dégoût v ; 8° L’adhbut-ras a la surprise n; 9° Le sânt-ras a le contentement v . Dans le poème dont il s’agit, ces ras sont développés par les râg a modes musicaux a . Le célèbre meula Zuhùrî a traduit en persan les trois Dibâja a Préfaces n de cet ouvrage sous le titre de Sil: nasr a les Trois proses n , et ce travail a été traduit et commenté par Karîm uddin sous le titre de Taschliir Z uhûrt’ a Manifestation de Zubûrî 3n . IBRAM’ KHAN (le munschî), de Pùna, est auteur l Voyez l’article Ascnx. 2 Ville et royaume du Décan, plus connus sous le nom de Vizapûr. 3 Voyez l’article 11min cooîa. l Si ce mot est bien écrit, car je ne l’ai vu qu’en caractères latins, il ET EXTRAITS. 5 d’un ouvrage religieux musulman imprimé à Ratna- gherry, et indiqué sous le titre de a Musalmani Work a dans le u Catalogue of native publications ofthe Bombay Presidency v , p. 152. I. ’IBRATl (Min ZIYA mais), de Dehli , élève du na- bab Muhabbat Khan, habita Râmpûr et y mourut. On lui doit un quart du poème de Padmâwat, qui fut terminé par Gulàm ’Ali ’Isclrat, la mort ayant empè- ehé ’Ibrat de continuer la tâche qu’il s’était imposée. Il. ’IBBAT (le nabab HUçAïN ’ALi KHAN), de Lakh- nau, connu sous le nom de Bare’” Mirzâ u le Grand Prince w , fils du nabab Muhammad ’Ali Khan , petit-fils du nabab Schujà’ uddaula Bahâdur et élève de Gulàm Ilamdanî Mashafî, est auteur d’un Dîwân dont M uhcin a cité plusieurs gazais dans son Anthologie. Il]. ’IBBAT (MUHAMHAD KHWAJA BADSCHAH) est un autre poète, rédacteur et éditeur du journal urdù de Madras a intitulé .IIazlzar-ialihbârA a la Manifestation des nouvelles n , qui parait tous les dix jours par cahiers de l2 pages , sur deux colonnes de 22 lignes , et qui est souvent accompagné d’un Zamima a Supplément n . IÇALAT5 (le saïyid FAZL ’ALi), de Lakhnau, fils du saïyid W’àris ’Ali et élève d’Amanat, est un poète hin- doustani dont Muhcin cite des vers dans son Antho- logie. doit être le substantif arabe signifiant n sollicitation , supplique, etc. n. Il peut être aussi une contraction d’Ibrâhîm. 1 A. u Exemplen. 2 Bure’ est un pluriel dit a respectueux I , pour bard. a Ville nommée, pour obtenir une rime, Maçarrat açâs a aux fonde- ments de joie uploads/Litterature/ cette-oeuvre-est-hebergee-sur-no-expose-gratuit-sur-la-litterature 1 .pdf
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- Publié le Jan 14, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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