Mémoire de recherche La bibliographie : La bibliographie est à la fois l’intégr
Mémoire de recherche La bibliographie : La bibliographie est à la fois l’intégralité des documents utilisé mais il faut différencier celle des ouvrages scientifiques. Si j’utilise un document comme un exemple ou point d’appui c’est une source, si j’use de l’analyse qu’il fait c’est de la bibliographie scientifique. La bibliographie influe sur la note car on juge le fait de connaître ou non les sources, les lectures faites de ses sources (état de l’art) et aussi les grilles de lectures disponibles pour ses sources. Tout ce qui est cité en note de bas de pages doit figurer dans la bibliographie et vice-versa. Une question importante est : « est-ce utile de préciser que j’ai lu cet ouvrage ? ». La cohérence de la bibliographie est hyper importante : toujours écrire pareil. Cela prend du poids car le jury reçoit un PDF et permet de voir tous les problèmes. Il y a deux choix pour la bibliographie : à la française ou à l’anglo-saxonne. Il faut en discuter avec son directeur (aka Pillot le sang). Le système français (Blaudeau, P., « f », …, Paris : Belin, 2014, 380 p.) prend beaucoup de place et devient vite ingérable car doit être accompagné de ibid. p.12 (« au même endroit » cité exactement la même page dans une autre note de de bas de page : référence bibliographie avec p. ibid.), Blaudeau. P. op cit. n. (note) 32, 380 p. (« même ouvrage » pour une autre citation du même ouvrage). Cela oblige à mettre en place une table des abréviations cite on cite plusieurs fois des ouvrages (au moins 5 fois). Le problème avec le système du perfide Albion (Pillot, 2014, 112.) est que si un auteur écrit plusieurs fois une année et dans des revues différentes, il faut classer avec a/b/c dans l’ordre d’importance pas d’apparition dans le mémoire, cela implique de savoir tout ce que l’on va citer. Il faut environ une citation bibliographique pour 2 pages, plus c’est possible mais c’est juste qu’il faut tout citer. Au-delà de trois auteurs on met : et al. Un problème important est celui de la mise en ordre : la norme AFNOR Z 44-005. C’est une norme française qui répond à une norme internationale qui vise à standardiser la bibliographie. En réalité, elle n’est que peu respecter, mais il faut essayer de la respecter bien que ce soit déroutant. Sur le fond, qu’est ce qui est attendu ? TOUT. Tout ce qui a été écrit sur ce sujet doit y figurer, c’est l’état de l’art. Le problème est celui de la langue. On est censé lire toutes les langues, comprendre la langue de l’aire temporelle et géographique étudiée. Il y a aussi des langues d’études : pour l’Égypte il n’y a rien en arabe mais surtout en anglais et en allemand. On considère qu’il faut traduire les langues anciennes. Les manuels universitaires nous rien à faire, là on peut user d’ouvrage généraux, car on attends de nous de connaître les connaissances de culture générale. Il faut que ce soit des ouvrages qui comprennent la pensée personnelle de l’auteur. Comment la faire ? Il faut en discuter avec le directeur de mémoire pour savoir comment à la classe. S’il n’y a pas thèmes ce n’est pas forcément grave. Sources : Qu’est-ce qu’une source ? Il y en a trois types : primaire, secondaire et tertiaire. Les sources primaires sont des témoignages qui nous parviennent de manière directe, qui n’a pas été travaillé comme une inscription. C’est ce document qui sera notre source. Les sources secondaires sont celles qui nous parlent de sources primaires comme les articles scientifiques, les ouvrages spécialisés, elle a donc une production originale. Les sources tertiaires ce sont les dictionnaires et les ouvrages généraux qui mettent en forme ce qui a déjà été pensé. Notre état de l’art sera à la limite entre secondaire et tertiaire. Qu’est-ce que l’on considère comme un témoignage ? Les sources écrites car c’est à partir de ça qu’on fait de l’histoire, mais avec les Annales on considère que tout ce qui indique la présence de l’Homme permet de faire l’histoire. Selon la période on n’a pas tous les types de sources et surtout pas la même quantité, ce qui pose un problème de méthode : en ancienne on est obligé d’être exhaustif (tout trouvé). Qu’est-ce qu’une archive ? C’est selon la loi du 3 janvier 1979, « les archives sont l'ensemble des documents, quels que soient leur date, leur forme et leur support matériel, produits ou reçus par toute personne physique ou morale, et par tout service ou organisme public ou privé, dans l'exercice de leur activité ». Comment les étudier ? En histoire, la charge de la preuve nous incombe : on doit sourcer tout ce que l’on dit. Notre mémoire est fondé sur l’étude direct du document. On ne peut dire : « Yves Dénéchère a dit », on doit user du même document mais pas forcément en arrivé au même constations. C’est à partir du document que j’émet une réflexion et pas l’inverse. Critique externe : auteur, forme du document, support, contexte et mode de transmission / Critique interne : contenu du document, ce qui est sous-entendu ou tût, (3 questions : qu’a voulu dire l’auteur, a-t-il cru ce qu’il a écrit, a-t-il été fondé à croire ce qu’il a cru ? (est ce que votre croyance est porté sur des arguments rationnels : est-ce que l’auteur y croit car on lui a raconté ou car il s’est fondé sur des arguments…)). On doit mettre en place une grille de lecture pour nos documents (lieu, auteur, contexte…), cela peut permettre de faire des mises en séries afin d’observer les constantes et les ruptures. Dans notre argumentation on ne peut pas asséner une vérité sans la démontrer on doit pouvoir refaire le chemin logique depuis le document d’origine. Le document est la source de tout, on ne peut ne pas l’analyser. De cette analyse, je sors un raisonnement qui mène à une conclusion. Le but est de convaincre car découle d’une logique alors que persuadé est pathétique (sentiment). ALLER VOIR UN CATALOGUE NUMISMATIQUE Pièce : Métal (or = AV car nom en latin), poids, diamètre (idéal en mm), sens (indiqué avec une flèche pour indiquer orientation du revers (revers vers la droite…), lieu de découverte, monnaie de fouille ou trésor, date de découverte, lieu de conservation, publication (première apparition dans revue scientifique), description droit et revers avec vocabulaire ultra précis en classant les éléments selon l’importance. (étude statistique, plus matière…, se renseigner sur utilité de chaque monnaie (bronze : monnaie locale, argent = achat de valeur, or = propagande, instrument idéologique et de puissances). Établissement d’un type des Lagides avec une reproduction de ce modèle avec quelque différences (filiation modèle iconographique) (Etude statistique sur qui est représenté) uploads/Litterature/ cours-avec-la-camarade-berthelot.pdf
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- Publié le Jul 27, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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