DEVOIR 1 413212-59 FRENCH LITERATURE FROM THE 19TH CENTURY TO THE PRESENT Lisez
DEVOIR 1 413212-59 FRENCH LITERATURE FROM THE 19TH CENTURY TO THE PRESENT Lisez le poème intitulé « Souvenir » d’Alfred de Musset et répondez aux questions suivantes sous forme rédigée : Ce poème composé par Alfred de Musset, qui contient sept strophes, parle du souvenir nostalgique du poète avec sa bien-aimée déjà morte. Commençons par la première strophe. Alfred de Musset, lui, montre, sans tristesse, son retour à celle qu’il aime, surtout la dame morte qui est enterrée dans la tombe pour qu’il évoque son souvenir ancien et son amour perdu : « Ô la plus chère tombe et la plus ignorée », et « Où dorme un souvenir ! ». En outre, il s'interdit de ne pas regretter la perte de son amante : « J’espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir ». Quant à la deuxième strophe, la solitude que ce poète met en valeur après avoir perdu sa bien-aimée sous la forme d’une question : « Que redoutiez-vous donc de cette solitude ». De plus, il se met au milieu de la nature familière où il la considère comme son amie, la forêt par exemple, gardant son souvenir du passé : « Alors qu’une si douce et si vieille habitude », « Me montrait ce chemin ? ». La description de la nature et des lieux auxquels le poète et son amante, eux, se sont habitués en y passant du temps ensemble apparaît dans la troisième strophe : « Ces sentiers amoureux, remplis de causeries », « Où son bras m’enlaçait ». On part à la quatrième strophe. Alfred de Musset décrit encore la nature, le paysage aux alentours, ainsi que la vieille ambiance passée : « Les voilà ces sapins à la sombre verdure », « Cette gorge profonde aux nonchalants détours ». D’ailleurs, il se submerge dans le souvenir du passé qui lui rend heureux et qui lui fait sentir comme de bonnes journées par son amie intime – la forêt – : « Ces sauvages amis dont l’antique murmure », « A bercé mes beaux jours ». Concernant la cinquième strophe, le poète est nostalgique de sa jeunesse et de sa mémoire amoureuse jusqu’à ce qu’il songe aux endroits splendides auxquels son amante et lui se sont rendus plusieurs fois avec bonheur : « Les voilà ces buissons, où toute ma jeunesse », « Comme un essaim d’oiseaux, chante au bruit de mes pas », et « Lieux charmants, beau désert où passa ma maitresse ». Les larmes mouillées sur ses paupières sont un point essentiel dans la sixième strophe car le poète révèle sa mélancolie et sa douleur au cœur à travers le souvenir souffrant du passé : « Ces larmes que soulève un cœur encor blessé ! », et « Ce voile du passé ! ». En finissant par la septième strophe, Alfred de Musset revient à nouveau à la tombe de sa bien-aimée, non pas pour lui montrer tout son regret futile, mais pour ranimer de nombreux souvenirs enterrés avec sa chère compagne, en particulier un bonheur perdu. Même si ce n'est qu'un corps immobile et sans âme, ceci est une chose de valeur très sentimentale pour ce poète : « Je ne viens point jeter un regret inutile ». Comprenant également la nature qui est témoin du bonheur du poète, il la prouve donc dans ce ver « Dans l’écho de ces bois témoins de mon bonheur ». Ce poème construit par l’alexandrin dans la première strophe, surtout les vers 1 à 3 et le ver 4, considéré comme l’hexasyllabe, ainsi que toutes les strophes étant des quatrains, suit encore les règles de l’ère classique pour créer des œuvres poétiques du Romantisme. En plus, Alfred de Musset opte dans son poème pour un principe du mouvement « Affirmer l’expression de l’émotion et du lyrisme » et pour deux thèmes du mouvement « l’expérience de la solitude » et « la communion avec la nature ». On commence d’abord par un seul principe littéraire. Il est clair que ce poète se met dans son œuvre poétique en impliquant le pronom de 1ère personne du singulier « Je », afin d’exprimer à la fois son soi et sa tristesse : « J’espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir », et de montrer son retour à la tombe de sa bien-aimée avec un regret moins précieux qu’il a envie de retrouver son bonheur passé résidant au corps sans âme de sa compagne enterré : « Je ne viens point jeter un regret inutile ». Il veut non seulement éprouver sa mélancolie et sa douleur sentimentale, mais également ressusciter la joie du DEVOIR 1 souvenir peu à peu disparue après que son amante a perdu la vie : « En osant te revoir, place à jamais sacrée », « Ô la plus chère tombe et la plus ignorée », et « Où dorme un souvenir ! ». D’ailleurs, il semble que le poète soit plongé par son vieux souvenir jusqu’à ce qu’entre sa bien-aimée et lui, il veuille retrouver sa jeunesse et ses moments heureux des amours une fois que tous les deux en profitent ensemble : « Les voilà ces buissons, où toute ma jeunesse », « […], chante au bruit de mes pas ». En plus, il existe aussi la « comparaison » qui reflète leur promenade inoubliable et merveilleuse : « Comme un essaim d’oiseaux, […] ». Alfred de Musset utilise encore le temps composé comme le passé composé dans le but de lui faire revivre le passé et ses jours exceptionnels « A bercé », à travers son amie familière telle que la nature environnante. Bien que cette joie et ce souvenir soient déjà transformés en le passé, il les fait à présent sembler être toujours à ses côtés. Particulièrement, c’est son amante qu'il pense toujours qu'elle est vivante dans ce monde. Et « Ces larmes », ce mot extrait, est un symbole mélancolique à travers lequel le poète veut présenter ses sentiments personnels et les considère comme une bonne chose qui ne doit pas être essuyée parce qu’elles méritent d'être laissées lorsqu’il est sous la perte d’une personne la plus importante de sa vie : « Ah ! laissez-les couler, elles me sont bien chères », « Ces larmes que soulève un cœur encor blessé ! », et « Ne les essuyez pas, laissez sur mes paupières ». Quant à la « personnification », apparue dans ce poème, le poète est disposé à rendre ces termes vivants concrètement « forêt » et « cœur », qui peuvent avoir un sentiment réel comme l’humain à partir de l’adjectif émotionnel « fier », suivi du mot « beauté tranquille », faisant résider la fierté forestière : « Fière est cette forêt dans sa beauté tranquille », et « Et fier aussi mon cœur ». On passe ensuite au premier thème du mouvement. La solitude de ce poète est cachée dans sa promenade toute seule vers la forêt où le corps de sa dame bien-aimée est enterré dans la tombe en vue d’emporter à lui-même le bonheur encore restant. Notamment, il évoque son souvenir de la promenade passée en mentionnant les « sentiers » par lesquels tous les deux passaient. Mais pour l’instant, ce n’est que le poète qui s’y promène solitairement afin de prolonger la durée de leur vieux souvenir : « Ces sentiers amoureux, remplis de causeries », et « Où son bras m’enlaçait ». Le mot « désert » pourrait également représenter la solitude du poète qui conduira à se rapprocher de la nature et qui s'accompagne de souffrance personnelle à cause du retour à sa compagne décédée dans la forêt la plus préférée pour la recherche du souvenir et du bonheur perdus. En ce qui concerne le dernier thème correspondant à ce poème, c’est « la communion avec la nature ». On voit ici que les héros romantiques réfugient et trouvent une source d’exaltation au contact avec la nature. Un paysage extérieur libère en lui une émotion qui l’emporte au-delà de lui-même. Ce poème contient ainsi des nombreux éléments de la nature qui aident le poète d’exprimer et libérer ses sentiments personnels. On voit par des exemples suivants : « Les voilà ces coteaux, ces bruyères fleuries, Et ces pas argentins sur le sable muet [...] », « Les voilà ces sapins à la sombre verdure, Cette gorge profonde aux nonchalants détours, Ces sauvages amis dont l’antique murmure [...] », « Les voilà ces buissons, où toute ma jeunesse, Comme un essaim d’oiseaux, chante au bruit de mes pas. », « Dans l’écho de ces bois témoins de mon bonheur. Fière est cette forêt dans sa beauté tranquille ». Chokchai PHUANGRAYA code 620510200 Peerapatch WONGSUKDEE code 620510205 DEVOIR 1 uploads/Litterature/ devoir-1-litterature-chokchai-200-peerapatch-205.pdf
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- Publié le Jan 19, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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