Exposé Littérature comparée. Sujet : Dans son article « Roman-Essai de typologi
Exposé Littérature comparée. Sujet : Dans son article « Roman-Essai de typologie » de L’Encyclopédia Universalis, Jean Cabriès écrit : « En apparence, une œuvre romanesque est un discours suivi ????. En fait, un roman est une forme littéraire construite à partir d’une réalité elle-même structurée, ou du moins que le romancier perçoit comme organisée. Un groupe social, un problème ou cas psychologique, un évènement historique, un fait divers, une biographie peuvent être les matrices d’une œuvre de fiction ». Dans quelle mesure ce propos éclaire-t-il votre lecture des trois œuvres au programme ? 1. Pourquoi l’œuvre romanesque est un discours suivit. Dans quelle catégorie est le livre Chercher le nouveau roman : Introduction : Le roman : c’est un miroir que l’on promène le long du chemin. Le Rouge est le Noir, Stendhal. Cet extrait du roman de Stendhal correspond à l’idée émise par Jean Cabriès, qui nous dit (le sujet). Notre sujet, est un extrait de l’article Roman-Essai de typologie de Jean Cabriès disponible sur le site internet Encycolpédia Universalis, publié en 1985. Jean Cabriès est le pseudonyme de Jean Monnier. Il est né en 1929 à Marseille. Jean Monnier est écrivain, journaliste et animateur de la revue La Réforme qui publie en 1954 son célèbre roman Saint-Jacob. Par la suite il anima en 1955 au côté de Marcel Gosselin l’émission « Présence Protestante » sur la chaîne de télévision France 1. Un peu plus tard en 1968, il écrit Le Caravansérail. Dix-neuf ans plus tard il rédige un nouvel article Qu’est-ce qu’une présence chrétienne sur une radio ? Qu’est-ce qu’une bonne radio chrétienne. (qui est disponible sur Cairn) En tant qu’écrivain, Cabriès s’est penché sur la question de l’hybridité du genre romanesque. La citation, déclarative et à forme affirmative permet à l’auteur de nous « déclarer » (en quelque sorte) ce qu’est le roman selon lui. Nous pouvons remarquer la présence de l’illusion dans cet extrait : on peut la repérer avec des synonymes comme l’adjectif « en apparence », ou bien le verbe « apercevoir » conjugué au présent de l’indicatif. Mais aussi l’importance de la réalité, démontré grâce au verbe d’état « être », (qui étant conjugué au présent de l’indicatif représente une vérité générale). La citation met donc en évidence l’opposition qu’il y a entre l’illusion et la réalité. Puis, il met en avant l’aspect organisée et structurée du roman, grâce à des procédés stylistiques : la comparaison et la métaphore (« une œuvre romanesque est un discours suivi » « le roman qui est perçu par le romancier COMME une forme organisée. ») Cabriès lie le roman a des notions comme le discours suivi, le réel, décrit comme quelque chose qui existe, que l’on peut toucher ou dont on a démontré l’existence. L’adjectif « structurée »définit le roman comme étant quelque chose d’organisée grâce à un plan bien précis. Tandis que l’adjectif « organisée » illustre la pensée de l’auteur comme étant préparée, qui a pensé au moindre détail. Notre corpus est composé de trois œuvres. Pour commencer une oeuvre mélangeant la biographie et la fiction Odile de Raymond Queneau. Puis le roman satirique et d’aventure de Jose Cela. Et pour finir à la fois fictionnel et biographique Le Rêve d’une chose de Pier Paolo Pasolini. Nous pouvons donc nous demander, en quelle mesure ces trois œuvres au programme peuvent-elles être considérées comme des romans structurés et organisées comme nous le décrit le littéraire Jean Cabriès ? II. Une structuration remise en cause. Claude Simonet Queneau déchiffré Le roman n’est pas dès le début organisé. IL l’est une fois qu’il y a eu un premier jet. Ce n’est pas essentiel pour Queneau . Les choses se font naturellement pour lui, comme l’exemple de la tragédie (unité de lieu de temps …) Zazie dans le métro a été écrit spontanément. Simone explique cela par son côté surréaliste. Queneau approuve cette idée Mais il n’aime pas trop se laisser aller quand même. L’organisation préalable était un moyen de se justifier en tant qu’écrivain. Conclusion D’autres romancier ont fabriqué leur roman de manière construite. C’est ce qu’on appelle le feelding ex Tom Jons, Phil Ting, Fokner ? Henry James, Proust (les echos) Rime de situation, une rencontre, une scène des hommes se parlent et la scène se répètent dans chaque chapitre. Le roman est construite de tel manière que les personnages reviennent à une certaine fréquence. I. Le rapport à la réalité 1. La guerre comme arrière-plan romanesque. a.Ex : Odile : La guerre p. ; l. les effets stylistiques. -Le traumatisme de la guerre (perte de mémoire ; l’enfance gâchée) B. Le Rêve d’une chose : Sortie de la seconde guerre mondiale. -Fin de la guerre donc fête de Pâques, renaissance. C. Lazarillo : Dictature Franco, 2. Des idéologies politique omniprésentes. a. Odile : Le communisme anti-surrélisme. b. Le rêve d’une chose : idéologie communiste. (les passages qui montrent l’engagement) c. Lazaro : Critique de la dictature franquiste. 3. a. Une construction poétique. (Odile) II. Une structuration remise en cause. uploads/Litterature/ expose-litterature-comparee.pdf
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- Publié le Mai 31, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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