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L’analyse du texte « La dernière classe » d’Alphonse Daudet Frantz, notre narra

L’analyse du texte « La dernière classe » d’Alphonse Daudet Frantz, notre narrateur, se souviet du dernier jour qu'il pouvait étudier le français. Les Prussiens exigeaient que l'instructeur, M. Hamel, quitte son école et que les étudiants apprende seulement l'allemand. Ce jour- là, des adultes de ville sont venus à l'école pour prouver leur fidélité à la France et au français. Frantz est devenu tellement fier de son héritage ce fois sacre d'école, lorsqu'il ne savait jamais si sa culture vivra sous le poids allemand. "La dernière classe" se déroule après la Guerre Franco- Prussienne. Les Allemands ont demandé que la France cède tout l'Alsace et une grande partie de Lorraine. Les Français étaient furieux à cause de leur défaite contre ces étrangers. Les Alsatiens manquaient la libérté de la nouvelle T roisième République. Sous l'Allemagne, la région n'était pas gouvernée par elle-même jusqu'en 1902. "Quand un peuple tombe esclave, tant qu'il tient bien sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison." (17) Il faut qu'on garde sa culture, celle de la France, dit Daudet, pour bien se battre contre l'ennemi de la libétré. Être français, c'était être libre. Les gens du récit regrettaient qu'ils n'avaient pas assez étudié la langue française. Frantz exprime une grande honte de ne pas faire ses devoirs de grammaire. Son instructeur a dit à toute la classe, "Vous prétendiez être Français, et vous ne savez ni parler ni écrire votre langue!" La ville était si petite, mais l'enseignement était si important. C'est une qualité française aussi. Utilisé pour la plus grande partie du siècle, on comptait sur le savoir du peuple sous le système d'enseignement public. Ainsi il faut étudier pour être un vrai Français et un citoyen fidèle. La bienveillance de Daudet vit dans la voix du narrateur du récit. Frantz aimerait mieux jouer dehors que faire ses études. Mais quand M. Hamel lui a donné la nouvelle affreuse, il se sentait puni. Pendant les heures courtes de l'histoire, Frantz devient un étudiant travailleux et un Français fier. C'était un changement si noble, surtout pour un garçon négligent. C'est intéressant que Frantz avait pitié de M. Hamel, le "pauvre homme." Il pensait au futur noir de son instructeur. Ici on voit la psychologie de Daudet, et de plus son bon coeur. La compassion du garçon pour M. Hamel, comme sa fierté, est soudaine mais belle. Daudet pourrait écrire que Frantz n'a jamais changé; ça serait vraisembable. Mais le réaliste préfére une fin juste et pleine d'amour. Daudet pourrait demander la violence contre les ennemis, mais au contraire il demande l'étude. Et il n'y a aucun Prussien méchant qu'on renconte dans "La dernière classe." Comme les autres réalistes, Daudet comprennait l'homme; peut-être plus bien les les autres. Il cromprennait que malgré les coups étonnants et douloreux de l'époque, il reste à l'homme un coeur qui peut améliorer le monde Alphonse Daudet est né à Nîmes le 13 mai 1840. T oute sa famille a déménagé à Lyon lorsque son père a dû vendre son usine. Là, le jeune Daudet a étudié au lycée de 1850 à 1856. Sa famille n'avait pas de chance, et a perdu tout son argent en 1857. Donc il n'avait plus de possibilité d'étudier à l'université. Il fallait que Daudet soit annonceur d'une école à Alès. Son existence misérable là a contribué à son roman autobiographique, Le petit chose. Mais il l'a écrit à Paris. Après six mois horribles à Alès il est allé vivre là avec son frère. Il s'est joint à des groupes littéraires et intellectuels parisiens; ces groups étaient partie importante pour toute sa vie. Il a écrit pour des journaux en même temps qu'il a écrit de la fiction. Une grande partie de ses oeuvres évoquent aussi ses voyages nombreux. En 1860 il a été embauché comme secrétaire sous le Duc de Morny. Il a écrit au sujet des injustices de la bourgeoisie envers les pauvres et envers eux-mêmes dans Le Nabab. Le prototype pour T artarin, le héros de Les aventures prodigieuses de Tartartin de Tarascon, vient d'un voyage en Algérie pendant l'hiver de 1861. L'hiver suivant il a visité la Corse, où il reçu des impressions pour Lettres de mon moulin. En 1864 il est allé à Fontvielle, Provence, où les Ambroy se chargaient de lui. Il s'est fait de très bons amis au château de Montauban, près de Fontvielle. Daudet a servi dans l'armée pendant la Guerre Franco-Prusse, mais il s'est enfuit de Paris lorsque le terreur de la Commune a commencé en 1871. Son Contes du lundi expriment l'effet de la guerre sur lui-même. En 1884 Daudet avait un mal aïgu au vertébrale. Il a souffrait pour trois ans. Il est mort soudain. Daudet, comme le pays pendant ce siècle, habitait plusieurs mondes. Il était d'abord romantique, ensuite réaliste, et enfin naturaliste. Pourtant il n'était pas un naturaliste pure. En analysant la pensée de ses personnages, il trouvait la bonté d'esprit et d'âme chez chaque. Le registre de langue, niveau de langue ou moins précisément style, est l’utilisation sélective mais cohérente des procédés d'une langue afin d’adapter l’expression à un auditoire particulier. Certains choix, notamment lexicaux et syntaxiques, un ton et une plus ou moins grande liberté par rapport à la norme linguistique de cette langue permettent d’ajuster la communication à une situation d’énonciation donnée : on s’exprime de façon différente selon que l’on s’adresse à un familier, à un inconnu, à un enfant, à un supérieur hiérarchique, et selon son âge, son milieu social, son niveau culturel. Autrement dit, on ne parle pas toujours de la même façon et on adapte sa manière de s’exprimer aux circonstances. Dans l’histoire « La derniere classe » on rencontre le Registre Courant, parce Dauded utilise un vocabulaire usuel, absence de termes recherchés ou spécialisés, les règles de la grammaire sont respectées, les mots sont compris sans difficulte et les expressions font partie du lexique bref, il s’agit d’informer le lecteur de facon neutre et claire. uploads/Litterature/ l-x27-analyse-du-texte-derniere-classe.pdf