L'HOLOCAUSTE AU SCANNER de Jürgen GRAF Ouvrage interdit en France En effet, par

L'HOLOCAUSTE AU SCANNER de Jürgen GRAF Ouvrage interdit en France En effet, par arrêté du 19 décembre 1994 pris par le ministre de l'Intérieur français, L'Holocauste au scanner est interdit de circulation, de distribution et de mise en vente en raison du danger qu'il serait susceptible de causer pour l'ordre public. L'auteur, Jürgen GRAF, né en 1951, est suisse. Il est professeur de lettres. Le présent livre, qui est une version abrégée d'un ouvrage beaucoup plus vaste du même auteur, Der Holocaust Schwindel [La Fraude de l'Holocauste], est une récapitulation de l'ensemble des arguments révisionnistes tels qu'ils se présentent à la fin de 1992. Mais l'auteur comble aussi une lacune : les nombreux livres et articles de presse révisionnistes existants ne traitent pour ainsi dire que d'aspects isolés de l' « Holocauste » : J. Graf apporte aujourd'hui une vue globale sur la question. C'est l'ouvrage qui manquait jusqu'ici. L'HOLOCAUSTE AU SCANNER témoignages oculaires ou lois naturelles (Traduit et adapté de l'allemand) GUIDEON BURG VERLAG 2e édition revue et corrigée (septembre 1993) 1re édition : juin 1993. L'édition originale en allemand, parue sous le titre Der Holocaust auf dem Prüfstand, peut être obtenue auprès de Guideon Burg Verlag, Postfach 52, CH-4009 Bâle (Suisse). Pour toute commande de l'édition française : J. Colson, Oude Baan 33, B-1653 Dworp (Belgique). Tous droits de reproduction, de traduction et d'adaptation réservés pour tous pays. Du même auteur et chez le même éditeur : Der Holocaust Schwindel. A Robert Faurisson et Wilhelm Stäglich, en souvenir de notre rencontre des 20 et 21 septembre 1992 à Badenweiler –––––––––––––– Et si tous les autres acceptaient le mensonge imposé par le Parti – si tous les rapports racontaient la même chose – le mensonge passait dans l'histoire et devenait vérité. George Orwell, 1984 Chapitre 1 Préface Ce livre est le condensé d'un ouvrage beaucoup plus vaste du même auteur. Il traite des crimes nationaux-socialistes et de leurs séquelles. De tous les crimes du nazisme, c'est le génocide des juifs, l' « Holocauste », qui a engendré dans la conscience de l'humanité le bouleversement le plus profond. La génération actuelle ne comprend pas qu'à l'époque le monde se soit comporté en spectateur silencieux, se rendant ainsi coupable de complicité. Ce sont les procès des criminels de guerre qui, les premiers, ont mis en lumière la dimension véritable de ces crimes atroces. Les déclarations des témoins et les aveux des coupables ont dévoilé un scénario de l'horreur qui a choqué l'humanité. Les faits constatés grâce aux enquêtes judiciaires et à l'administration des preuves ont été si explicites que les tribunaux allemands actuels rejettent catégoriquement toute proposition de prouver la non-existence des chambres à gaz au motif que « les faits sont de notoriété publique ». L'Holocauste a marqué l'après-guerre sur le plan moral et sur le plan politique ; tous les manuels scolaires le présentent comme un fait avéré. Des millions de gens se rendent en pèlerinage sur ses hauts lieux (Auschwitz, Dachau, etc.) pour manifester leur consternation. Pourtant, il ne cesse de s'élever des voix qui expriment des doutes quant à la présentation officielle de l'histoire et mettent en cause la fiabilité des sources utilisées. Se pourrait-il que, en ce qui concerne l'Holocauste, des éléments aient été négligés ? Serait-il possible que ceux qui se sont penchés sur le sujet jusqu'ici se soient laissé influencer par la prétendue notoriété des faits au point de renoncer à vérifier une chose que les livres d'histoire ont déjà fixée comme incontestable et intangible à jamais ? Tout bien considéré, des doutes sont-ils encore possibles ? Offenseraient-ils par hasard le sens commun ? Compte tenu des « innombrables preuves » à disposition, il devrait être facile de réfuter les arguments des sceptiques. Pourquoi craint-on un débat public avec les révisionnistes sur l'Holocauste comme le diable craint l'eau bénite ? Certains États ont promulgué des lois spéciales limitant la liberté d'expression – dans le seul domaine de l'Holocauste. La [loi] muselière doit-elle par hasard suppléer à la carence des arguments ? Qui peut avoir intérêt à ce que l'Holocauste – et lui seul en tant qu'événement historique – devienne tabou et soit soustrait à la recherche historique critique ? Ne savons-nous pas que les processus historiques ne peuvent être appréciés avec le recul émotionnel nécessaire et l'exactitude scientifique convenable qu'après des décennies, parfois même des siècles ? Les exemples ne manquent pas. Ce n'est qu'au cours de la dernière décennie que l'aspect romantique de la fondation de la Confédération [helvétique], qui nous raconte la conquête des citadelles et l'éviction des tyrans, a été relégué au royaume de la légende. Nous savons aujourd'hui que cette présentation des faits avait pour but de créer un mythe national au moyen d'un « endoctrinement d'intérêt public ». De même, l'histoire la plus récente est apparue sous un jour nouveau, grâce à une étude minutieuse des sources. Des généraux comme le général Guisan et le général Wille, des conseillers fédéraux comme M. Pilet- Golaz ont été rejugés. La recherche historique nécessite une mise à jour (une « révision ») constante de l'image qu'on se fait de l'histoire. Depuis la publication du journal de Gœbbels, nous savons que Van der Lubbe a mis seul le feu au Reichstag. La responsabilité du massacre de 4 000 officiers polonais à Katyn (1940) fut imputée autrefois aux nazis ; il est aujourd'hui démontré que ce fut Staline qui en donna l'ordre. Il n'est pas un sujet d'histoire qui ne puisse être discuté publiquement – excepté l'Holocauste ! Qu'adviendrait-il si toute recherche ultérieure et toute discussion publique sur les personnes et événements historiques évoqués plus haut étaient interdites sous peine d'une punition sévère ? Avec quel sérieux peut-on écrire l'histoire si des « travaux d'historiens » de la première heure, bâclés ou tendancieux, sont repris sans réflexion par les générations d'historiens postérieures et si l'on se contente de se copier et de se citer mutuellement ! Que faut-il penser d'historiens qui voudraient priver le public de nouvelles connaissances sûres, pour des « raisons de pédagogie populaire », parce que la version présentée jusqu'ici, et qui ne correspond pas à la vérité, permet d'étayer mieux la construction branlante de l'édifice idéologique ? Peut-on trafiquer l'histoire pour conserver une conception politique du monde ? L'auteur de ce livre n'est pas un historien professionnel ; il a simplement rassemblé les sources disponibles – en particulier les déclarations des témoins oculaires –, ce qui l'a conduit à des conclusions irréfutables. Les déclarations absurdes des témoins contredisent les lois de la nature et la logique humaine. Pour ajouter foi aux descriptions des témoins oculaires, il faut admettre que l'Holocauste constitue un MIRACLE, car il est incompatible avec les lois de la physique, de la chimie et de la technique. Ce « miracle » doit-il donc être érigé en dogme et soustrait à toute critique ? Le projet de « loi antiraciste » que le Conseil fédéral a soumis au Parlement prévoit que toute critique de la croyance en l'Holocauste sera punie d'amende ou de prison ! Nos idées doivent-elles être censurées et les non conformistes poursuivis pour « délit d'opinion »? Voulons-nous instaurer une Inquisition chargée de traquer les hérétiques ? Bonjour Orwell ! Livrez-vous à une lecture critique de ce livre bien documenté, afin de pouvoir forger votre propre jugement. Écrivez à l'auteur si vous avez des questions ou des remarques à formuler ; il sera heureux d'entamer avec vous un dialogue constructif. Arthur Karl Vogt 01 – L'unique tabou Dans une société pluraliste, l'historiographie n'est pas assujettie à la politique ; la libre recherche est garantie tout comme la liberté d'opinion. Il s'ensuit que notre perception des époques passées ne cesse de se transformer. De nouvelles connaissances historiques nous contraignent régulièrement à réviser nos opinions. Il est aussi parfaitement licite de s'attaquer aux erreurs historiques en recourant aux méthodes des sciences exactes. Il n'y a pas si longtemps encore, il était entendu en Suisse que c'était à la suite du serment du Grütli de 1291 qu'avait été entreprise la « destruction des châteaux », à savoir la prise d'assaut des citadelles habsbourgeoises. Toutefois, des fouilles ont montré que nombre de ces châteaux ne furent abandonnés que bien après 1291 ou l'avaient été bien avant. La « destruction des châteaux »est donc, au moins partiellement, un mythe. Nous n'avons jamais entendu dire que les historiens qui ont dirigé les fouilles aient été traduits en justice pour « outrage à nos ancêtres ». La mise en doute par certains chercheurs de l'authenticité du « saint suaire du Christ » a soulevé une vive émotion parmi les catholiques. Pourtant, là aussi, il y a recherche et débat. Une seule période échappe au principe de la liberté de recherche dans la société démocratique occidentale. Quiconque met en cause la conception traditionnelle de cette période risque des sanctions légales, la mise au ban de la société et la mort professionnelle. Pour cette période-là, on substitue à la pensée critique et à la libre recherche un dogme imposé par l'État ; l'utilisation des uploads/Litterature/ l-x27-holocauste-au-scanner-juergen-graf.pdf

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