Chapitre 25 Partie 1 – Le Rouge et le Noir Il y a 2 mouvements, le premier c’es

Chapitre 25 Partie 1 – Le Rouge et le Noir Il y a 2 mouvements, le premier c’est le premier paragraphe, et l’autre c’est le reste 1 er mouvement (découverte du lieu) : - « croix de fer »  endroit chrétien o « croix de fer doré »  la religion est terrible grâce au substantif du fer qui est un metal dur et moche mais elle est recouvert d’hypocrisie comme la croix est « doré »  la croix essaye de paraître en or alors que ce n’est qu’une apparence - 3 juxtapositions  simultanéité des actions - Locution adverbiale « de loin »  peur de Julien - « lentement »  Julien a pas envie - Personnification « ses jambes semblaient se dérober » la peur le rends pas maître de ses jambes - Julien décrit le lieu comme un « enfer » alors que c’est littéralement l’opposé - « je ne pourrai sortir »  futur  destin inéluctable, Julien est présenté comme un héros tragique - « Enfin » comme si le temps s’était écoulé jusque-là, temps durant lequel il était immobile, bloqué par la peur - « solitaire » lieux isolé, accentue l’idée qu’il ne pourra jamais en sortir - « aussitôt »  stupeur de Julien - Champ lexical visage « yeux », « paupières », « lèvres », « dents »  accentue « physionomie singulière » - « home pale vêtu de noir »  sinistre comme le lieux - Longue description des yeux du portier avec voc réaliste « pupille », « contours immobiles » « paupières »  réalisme de Stendhal - Champ lexical du bruit « sonner », « bruit », « cloche », « retentit » Antithèse avec le silence du lieu, selon Julien le lieu est vide La cloche sonne comme pour en enterrement - Antithèse pale/noir rappelle le lieu sinistre - « Au bout de dix minutes » le portier met du temps à traverser le lieux  Le lieux est grands pas comme Verrières ce qui perds Julien - Proposition juxtaposés  enchainement de remarques - Portier vêtu en noir + chat noir  signe de mauvais augure - Périphrase « impossibilité de toute sympathie »  sans empathie - Les « paupières » sont « immobiles » comme un animal à l’affut - « des dents qui avançaient »  comme un chien qui montre les dents - « lèvres minces » lèvre = sensualité  le portier n’est pas sensible - « figure dévote »  montre ses croyances - « insensibilité parfaite » oxymore  confirme la cruauté  rappel enfance Stendhal (précepteur) - Antithèse inspire (quand on inspire quelque chose c’est généralement positif) / terreur  Pensée de Stendhal et non de Julien (va savoir pourquoi) - « regard rapide » + « deviner »  Julien a des préjugés sur les religieux - Pronom « on »  le narrateur fais des généralités  préjugés qui viendrait en réalité de Stendhal ? 2 ème mouvement (découverte de l’intérieur) : - « lui fit signe »  le portier ne prends même pas la peine de lui adresser la parole  mépris - « sans dire un mot » périphrase qui désigne silencieusement  silencieux comme le lieu - Pléonasme « sans dire un mot, lui fit signe »  accentue l’idée du silence - Champ lexical des sens « yeux », « voix », « battement de cœur »  il ne contrôle pas son corps - « Mr Pirard » nouveau personnage, son nom est composé du préfixe « pire » et du suffixe « ard »  en rapport avec le contexte (lieu et personnages) - « il expliqua qu’il désirait parler »  discours narrativisé pour accélérer la scène - Description réaliste du lieu : o Beaucoup de détail o Vocabulaire spécifique Volonté de Stendhal de présenter un lieu délabré pour monter chez Monsieur Pirard - « cimetière »  délabré  sinistre, Pirard vit pas dans le luxe - « bois blanc peint en noir »  rappel de la mort + « avec difficulté » rappel de l’obtention difficile de sa place au paradis - Antithèse « basse » avec la hauteur de la pièce  perturbe Julien - Antithèse « sombre »/ « blanchis »  paradis/enfer o Tout cela montre l’austérité de Pirard - « atterré »  Julien est perdu car il est en haut mais dans une chambre basse - Champ lexical de la pitié « laissé seul », « atterré », « pleurer », « battait »  registre pathétique - Antithèse « heureux » / « pleurer » + conditionnel passé  tellement malheureux que son seul bonheur serait de pleurer, il risque en revanche de donner mauvais impression mais cela n’a pas l’air de le perturber plus que ça - Personnification du silence « Un silence de mort régnait dans toute la maison »  toute la maison est en opposition avec Julien - Verbe paraitre au passé simple  Julien est perdu, le temps semble ralentis - « a figure sinistre »  a nouveaux sinistre comme le lieux - Pléonasme « sans daigner lui parler »/« lui fit signe »  encore cette idée de silence uploads/Litterature/ lecture-lineaire-le-rouge-et-le-noir-chapitre-25-partie-1.pdf

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