Yvonne do Amaral Pereira À LA DÉCOUVERTE DE L'INVISIBLE Étude sur les phénomène

Yvonne do Amaral Pereira À LA DÉCOUVERTE DE L'INVISIBLE Étude sur les phénomènes et les faits transcendantaux découverts par la médiumnité, sous l'orientation des Esprits guides de la médium 1 À LA DÉCOUVERTE DE L'INVISIBLE Que font les Esprits après la mort de leur corps physique ? Où et comment vivent-ils, comment s'habillent-ils, comment se communiquent-ils ? Yvonne Pereira nous narre ses contacts avec le monde spirituel, et captive notre attention en décrivant les phénomènes et les faits transcendants qu'elle a vécus grâce à sa médiumnité. Elle explique comment les Esprits viennent raconter leurs expériences et leurs incarnations passées et comment les romans médiumniques sont mis à la portée des médiums psychographes. Elle montre comment identifier les Esprits trompeurs, les redoutables mystificateurs. Elle nous dévoile également ses échanges émouvants dans le monde spirituel avec Fréderic Chopin, l'admirable compositeur et pianiste polonais. Sous l'orientation de ses amis spirituels Bezerra de Menezes, Léon Denis, Charles et Léon Tolstoï, les faits que nous relate Yvonne Pereira nous démontrent à quel point les mondes matériel et spirituel de la vie sont profondément imbriqués l'un dans l'autre. 2 Edition originale 3 Yvonne do Amaral Pereira 1900- 1984 Yvonne do Amaral Pereira fut un des plus respectueuses médiums brésiliennes, auteur de romans psychographiés, suffisamment connus chez les spirites. Elle se dédia durant de nombreuses années à la désobsession et à l’ordonnance médiumnique homéopathique. Fille de Manuel José Pereira, un petit commerçant et d’Elizabeth do Amaral, elle a été le premier enfant du couple. La mère avait déjà eu un enfant de son premier mariage. Nouvellement née, 29 jours après sa naissance elle fut prise d’un accès de toux qui la suffoqua, la laissant dans un état de catalepsie, dans lequel elle se maintint six heures. Le médecin et le pharmacien de la localité constatèrent le décès par suffocation. La famille prépara le corps du bébé pour la veillée, le revêtant de blanc et de bleu ciel, l’ornant d’une couronne de fleurs, alors qu’ils attendaient la petite caisse blanche. A ce moment sa mère se retira vers l’intérieur de la résidence de la famille pour prier. Quelques moments, après le bébé se réveilla, pleurant. Yvonne grandit dans une famille spirite. Le père subit la faillite commerciale trois fois. Postérieurement il devint fonctionnaire public, charge qu’il occupât jusqu’à la fin de sa vie en 1935. Il était commun dans la famille d’abriter des personnes nécessiteuses, vécus qui marquèrent, selon des dires d’Yvonne, sa vie pour toujours. 4 A quatre ans, la petite disait voir et entendre les esprits, qu’elle considérait comme des personnes normales. Deux de ses amis invisibles apparurent assez fréquemment : Charles qu’elle considérait comme son véritable père, en raison des souvenirs qu’elle aurait eu d’une incarnation antérieure, dans laquelle l’entité aurait été son père. Roberto de Canalejas, qui aurait été un médecin espagnol du milieu du XIX siècle. Les visions la perturbèrent, et venaient avec une immense nostalgie qui aurait été une incarnation antérieure, en Espagne, qu’elle disait se souvenir avec clarté. Elle considérait ses actuels parents, principalement le père et les frères, comme des personnes étrangères, ainsi comme elle ne s’adaptât pas à la maison ni à la ville ou elle habitait. En raison de ces conflits, jusqu’à dix ans d’âge elle passa la plupart de son temps dans la maison de sa grand-mère paternelle. A huit ans, la petite vécut un nouvel épisode de catalepsie. Une certaine nuit, durant son sommeil, elle se vit devant une image du Senhor dos Passos, demandant secours, car elle souffrait beaucoup. L’image qui alors s’anima, lui dirigeât les paroles suivantes : Vient avec moi, ma fille, ce sera l’unique recours que tu auras pour supporter les souffrances qui t’attendent. La petite accepta la main qui lui était tendue à travers l’image, monta les marches d’un autel, et elle ne se rappela de plus rien. A cet âge, elle eut le premier contact avec un livre spirite. Postérieurement à douze ans elle gagna comme présent de son père : L’Evangile selon le Spiritisme et le Livre des Esprits. A treize ans elle commença à fréquenter les sessions pratiques de Spiritisme. Yvonne alla à l’école, ou elle compléta l’école primaire, mais en raison des difficultés financières de la famille elle ne put aller au collège. Pour aider sa famille et son propre maintient, elle se dédia à la couture et à la broderie et ensuite à l’artisanat de dentelles et de fleurs. Ayant cultivé depuis l’enfance le gout de la lecture, elle compléta sa formation comme autodidacte, par la lecture de livres et de journaux. Elle seize ans elle avait déjà lu les ouevres clasiques de Goethe , Bernardo Guimarâes, José de Alecar, Alexandre Herculano, Arthur Conan Doyle et d’autres… A partir de cet âge, phase de l’adolescence, la médiumnité devint un phénomène commun pour Yvonne, qui disait recevoir des informations de l’Au-Delà, des chroniques et des contes en dédoublement, dans les moments de sommeil. Sa faculté se présenta diversifiée, se dédiant à la psychographie, à l’ordonnance homéopathique, à l’incorporation, à la psychophonie, aux passex, et jusqu’à même, dans quelques occasions, aux connus effets physiques de matérialisation. Elle se dédia aux activités de désobsession. Elle travailla dans des maisons spirites dans les villes de Lavars (MG), Barra do Pirai (RJ), Juiz de Fora (MG), Pedro Leopoldo (MG) et Rio de Janeiro (RJ) où elle résida successivement Un des aspects les plus marquants de son activité médiumnique a été son indépendance, car elle se questionna sur les fondements des entraves bureaucratiques, de quelques maisons, imposées à leurs travailleurs. Espérantiste, elle travailla aussi pour la propagande et la diffusion, à travers de correspondance qu’elle maintint avec d’autres espérantistes, tout aussi bien au Brésil qu’à l’extérieur. 5 Il y a environ une vingtaine de livres écrits. Elle commença dès 1926, mais se décida à les publier que vers les années 1950, après une insistance des mentors spirituels Quelques titres parmi les plus connus en Brésilien Memórias de um suicida – 330.000 exemplares Mémoires d’un Suicidé (Traduit en Français) Nas voragens do pecado – 100.000 exemplares O Cavaleiro de Numiers – 105.000 exemplares O drama da Bretanha – 100.000 exemplares Amor e ódio – 110.000 exemplares Dramas da obsessão – 100.000 exemplares Sublimação – 95.000 exemplares Nas telas do infinito – 88.000 exemplares Ressurreição e vida – 100.000 exemplares Recordações da mediunidade – 110.000 exemplares Souvenirs de la médiumnité (Traduit en Français) Devassando o invisível – 115.000 exemplares A la découverte de l’invisible (Traduit en Français) A tragédia de Santa Maria – 100.000 exemplares À Luz do Consolador – 15.000 exemplares Cânticos do Coração – Vol. I e II – 3.000 exemplares O Vôo de uma alma – 4a edição – 10.000 exemplares Comme écrivain elle publia de nombreux articles dans les journaux populaires, production actuellement inconnue, qui manque d’un travail de recherche et de récupération. 6 Sommaire Introduction 8 Rien de nouveau 9 Comment se vêtent les Esprits 24 Frédéric Chopin dans la spiritualité 35 Dans les régions inférieures 46 Mystificateurs – Obsesseurs 56 Romans médiumniques 63 L'ami des belles-lettres 77 Subtilités de la médiumnité 92 Les vertus du Consolateur 105 Les grands secrets de l'au-delà 114 Annexe 124 Yvonne Pereira : De nobles suicides ? 124 Message 01 psychographié. 127 Message 02 psychographié. 129 Entrevue d’Yvonne Pereira O MARTÍRIO DOS SUICIDAS 133 (non traduit en français) 7 Introduction En présentant ces pages au public, nous ne faisons qu'obéir aux instructions de l'entité spirituelle Charles, cet ami dévoué qui est l'ange bon de notre vie. Aucun sentiment de vanité n'anime notre plume lorsque nous narrons les faits qui ont jalonné notre propre médiumnité, car de longue date nous savons que s'ils se sont déroulés ainsi, ce n'est pas parce qu'un privilège nous a été accordé, mais plutôt parce que notre faculté s'y prête à cause de nos prédispositions particulières pendant leur déroulement naturel. C'est de plus pour que nous puissions dire une fois de plus publiquement ce que d'autres adeptes du spiritisme ont également témoigné, car il est de l'intérêt de tous que soient confirmés les faits que l'au-delà concède aux hommes, de diverses manières, depuis des temps immémoriaux. Tout ce que nous écrivons ici fait partie des codes doctrinaires spirites. Il ne s'agit donc pas d'une œuvre personnelle, car lorsque le personnalisme s'infiltre dans la doctrine spirite, il le corrompt à l'image de ce qui s'est passé avec le Christianisme. Nous n'y présentons pas non plus le fruit de nos opinions, puisque les observations qui sont y notées ont été choisies par les instructeurs spirituels et nous n'avons pas même souhaité organiser le présent volume. Nous avons suivi les ordres de l'au-delà, puisque nous sommes l'outil d'amis spirituels comme Charles, Bezerra de Menezes, Léon Denis, Inâcio Bittencourt et Léon Tolstoï qui nous assistaient pendant notre travail, et nous ont fait compiler le souvenir d'épisodes de notre passé qui étaient endormis. Ceux-ci ont même indiqué les extraits des ouvrages d'Allan Kardec qui suivent le titre de chaque chapitre. En conséquence, nous ne nous accordons que le droit de confirmer les faits étudiés uploads/Litterature/ pereira-yvonne-do-amaral-fr-a-la-decouverte-de-l-x27-invisible-jys.pdf

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