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http://donquijotedelamancha.free.fr/resume.html#Secode_partie PREMIÈRE PARTIE Deuxieme partie Chapitre 1 : « De la condition et des occupations du fameux gentilhomme don Quichotte de la Manche » Don Quichotte, un hobereau de village qui frise la cinquantaine, se passionne pour les romans de chevalerie et finit par en perdre le jugement. Un beau jour, il décide de partir à l’aventure et d’imiter les héros dont il a lu les aventures. Comme eux, il adopte un surnom « Don Quichotte de la Manche », nettoie de vieilles armes poussiéreuses qui ont appartenu à ses ancêtres, et sort de son village sur le dos de sa monture, Rossinante, une rosse maigre et efflanquée, qui lui semble le plus beau des coursiers. Chapitre 2 : « De la première sortie que fit l’ingénieux don Quichotte de la Manche » Don Quichotte chemine de longues heures durant, sous un soleil de plomb, à l’affût d’une aventure, mais rien ne lui arrive qui soit digne d’être raconté. Le soir venu, il aperçoit une auberge qu’il prend pour un château et dîne en compagnie de l’aubergiste et de deux femmes de mauvaise vie, qu’il prend respectivement pour un châtelain et deux princesses. Chapitre 3 : « Où l’on verra de quelle plaisante manière don Quichotte se fit armer chevalier » Comme tout chevalier errant digne de ce nom, don Quichotte doit être armé chevalier pour devenir un authentique défenseur des veuves et des opprimés. Pour cela, il doit choisir un parrain d’armes. L’aubergiste narquois de l’auberge où il séjourne accepte de jouer ce rôle et don Quichotte entame un simulacre de veillée d’armes qui tourne à la mésaventure. Chapitre 4 : « De ce qui advint à notre chevalier quand il sortit de la taverne » Le chevalier novice, persuadé d’avoir accompli le rite avec succès, reprend son errance sur les routes de la Manche. Il entend alors des cris d’enfant venant d’un endroit ombragé, situé non loin du chemin : excité par ce qu’il considère comme les prémices d’une fabuleuse aventure, don Quichotte s’approche et aperçoit un berger qui fouette sévèrement un adolescent du nom de Andrés. Malgré les plaintes du berger, qui explique à don Quichotte que chaque jour une nouvelle brebis manque au troupeau, le chevalier prend la défense de l’enfant et tente d’intercéder en sa faveur. Mais le remède sera pire que le mal, comme on l’apprendra au chapitre 31. Le chevalier croise ensuite un groupe de marchands de Tolède qu’il met au défi suivant le mode des livres de chevalerie : jurer que Dulcinée est le plus belle princesse qui soit au monde ou périr. Cette bravade a des conséquences funestes pour l’hidalgo, qui est rossé par un valet qui accompagne les marchands et laissé à demi-mort sur le bord de la route. Chapitre 5 : « Suite de la disgrâce de notre chevalier » Heureusement, don Quichotte est reconnu par un laboureur de ses voisins, un certain Pedro Alonso, qui le ramène dans son village. Le chevalier est alors recueilli par sa nièce et sa gouvernante. Chapitre 6 : « De l’exacte et plaisante enquête que le curé et le barbier firent en la librairie de notre ingénieux gentilhomme » Craignant une nouvelle rechute de don Quichotte, due à ses mauvaises lectures, les deux femmes appellent à la rescousse le curé et le barbier, qui se proposent d’expurger la riche bibliothèque du gentilhomme pendant que celui-ci, plongé dans un profond sommeil, se remet de ses blessures. Ce chapitre donne lieu à des commentaires à la fois esthétiques et éthiques sur les œuvres de divertissement en vogue en Espagne dans la seconde moitié du XVIe siècle, en particulier les romans de chevalerie (Amadis, Bélianis, Palmerins, etc.). L’examen de la bibliothèque de l’hidalgo se termine par l’adoption d’une solution radicale : la plupart de ses livres sont brûlés et la porte d’entrée de sa bibliothèque murée, ce que don Quichotte attribue, à son réveil, à la malice l’enchanteur Friston, son ennemi. Chapitre 7 : « De la seconde sortie de notre bon chevalier don Quichotte de la Manche » Malgré ses premiers déboires, don Quichotte est bien décidé à repartir pour de nouvelles aventures. Il décide cette fois d’engager un fidèle écuyer à son service. Son choix se porte sur un paysan de ses voisins, nommé Sancho Pança, homme simple au premier abord mais qui possède en réalité un solide bon sens. Une nuit, juste avant le lever du jour, les deux hommes s’éclipsent en cachette et s’élancent sur les routes de la Manche. Au désir de défendre les veuves et de combattre les géants se superpose désormais une deuxième quête pour don Quichotte : instruire Sancho des usages et des règles de la chevalerie errante, ce qui ne s’annonce pas chose facile. Chapitre 8 : « Du beau succès que don Quichotte eut en l’épouvantable et jamais imaginée aventure des moulins à vent, avec d’autres événements d’heureuse ressouvenance » Alors que les deux compagnons devisent paisiblement, don Quichotte aperçoit soudain « trente ou quarante » moulins à vent qu’il prend immédiatement pour des géants. L’hidalgo, impressionné par ces monstrueuses créatures, met sa lance en arrêt et se jette contre elles, sous les yeux ébahis de son écuyer. Le rôle de Sancho, lors de cette première aventure commune, se limite à avertir son maître de sa méprise, puis à panser ses plaies et à ramasser les morceaux de sa lance brisée. Le jour suivant, don Quichotte et son écuyer prennent la route de port Lápice, et rencontrent un groupe de moines bénédictins, suivis d’un riche carrosse qui transporte une dame dont le mari part pour les Indes. Croyant que cette dame a été faite prisonnière et qu’elle est emmenée par ces hommes contre son gré, don Quichotte attaque les religieux mais se heurte à la résistance d’un valet biscaïen qui accompagnait le carrosse. Alors que les deux hommes brandissent leurs épées, le récit s’interrompt brutalement et le narrateur explique qu’il n’a pu trouver la suite de ce récit avant de longues semaines de recherche. Chapitre 9 : « Fin de l’étonnante bataille qu’eurent ensemble le brave Biscaïen et le vaillant Manchèque » Le narrateur explique qu’il n’est pas le « premier auteur » de l’histoire. Il n’est en réalité qu’une sorte de compilateur de diverses sources préexistantes. La source principale du récit serait un vieux manuscrit rédigé en arabe par un historien – en réalité totalement fictif – du nom de Cid Hamet Benengeli. À ce stade de l’histoire, le narrateur devient donc un personnage à part entière : il raconte comment il a trouvé un jour, par hasard, la suite des aventures du chevalier errant, qu’il s’est efforcé de faire traduire en castillan. Le récit reprend alors là où il avait été interrompu : don Quichotte assène un coup tellement violent au Biscaïen qu’il l’assomme et se considère comme vainqueur. Chapitre 10 : « Du gracieux entretien qui se fit entre don Quichotte et Sancho Pança, son écuyer » Malgré leur victoire commune, don Quichotte et Sancho ne manquent pas de ressentir la vigueur des coups qu’ils ont reçus, mais le gentilhomme promet à son écuyer que ses souffrances seront bientôt soulagées. Don Quichotte compte utiliser pour cela le précieux baume de Fierabras, un fameux remède utilisé par les chevaliers errants, et dont il a l’immense privilège de connaître la composition. Chapitre 11 : « De ce qui advint à don Quichotte avec des chevriers » Don Quichotte et Sancho, à court de provisions, reçoivent l’hospitalité d’un groupe de chevriers. À la surprise générale, le chevalier errant, qui jusqu’ici s’était montré en proie à une succession d’accès de folie parsemés d’intermèdes lucides, entame un discours sur l’âge d’or digne des plus grands sages. Chapitre 12 : « De ce que raconta un chevrier à ceux qui étaient avec don Quichotte » Un berger raconte alors à don Quichotte et à son écuyer l’histoire tragique de la bergère Marcela. L’attitude hautaine de cette belle jeune fille, qui dédaigne tous ses amants, a conduit l’un d’eux – l’étudiant berger Chrysostome – au suicide. Chapitre 13 : « Fin du conte de la bergère Marcelle avec d’autres événements » Le jour de l’enterrement de Chrysostome, auquel don Quichotte et son écuyer sont conviés, le chevalier de la Manche fait la connaissance du berger Vivaldo auquel il expose son projet de ressusciter la chevalerie errante. Chapitre 14 : « Où l’on rapporte les vers désespérés du défunt pasteur, avec certains inespérés événements » Durant l’enterrement de Chrysostome, Marcela est aperçue par un ami du défunt, Ambrosio, qui la couvre de reproches. Mais à la stupéfaction générale, celle-ci, loin d’exprimer des regrets, se défend et dénonce le statut injuste que les hommes ont de tout temps cherché à imposer aux femmes. Marcela, pour sa part, refuse ce statut et revendique le droit de choisir le genre de vie qui lui convient : une vie libre et oisive plutôt qu’une existence d’épouse soumise qu’elle rejette parce qu’elle fera à coup sûr son malheur. Chapitre 15 : « Où l’on raconte uploads/Litterature/ resume-du-quichotte.pdf
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- Publié le Nov 07, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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