Roberto ZAMPERINI Avec la collaboration de Sonia Germani LES ÉNERGIES SUBTILES

Roberto ZAMPERINI Avec la collaboration de Sonia Germani LES ÉNERGIES SUBTILES Et la Thérapie énergo-vibrationnelle Traduction : Jacqueline Legrand Éditions Médicis 204, boulevard Raspail 75014 PARIS TABLE DES MATIÈRES Chapitre premier. Mes débuts......................................................................................... 5 Chapitre 2. Une connaissance ancestrale : de la préhistoire à aujourd’hui.............. 15 Chapitre 3. Introduction à l’énergie subtile................................................................ 23 Chapitre 4. À la découverte du corps éthérique ......................................................... 41 Chapitre 5. Les énergies nocives qui nous entourent................................................. 63 Chapitre 6. Les énergies subtiles dans l’univers holonomique.................................. 74 Chapitre 7. Les fréquences subtiles............................................................................. 86 Chapitre 8. Vitalité et congestions............................................................................... 98 Chapitre 9. La communication subtile entre les cellules ......................................... 105 Chapitre 10. Les énergies à ordre de cohérence élevé.............................................. 112 Chapitre 11. Les chakras et leurs fonctions .............................................................. 120 Chapitre 12. La circulation énergétique dans l’organisme...................................... 131 Chapitre 13. Les corps subtils de l’homme............................................................... 140 Chapitre 14. Les appareils naturels et les thérapies de décongestion ..................... 162 Chapitre 15. Soigner l’habitat afin de soigner ses occupants .................................. 174 Appendices ................................................................................................................. 186 Bibliographie ............................................................................................................... 210 REMERCIEMENTS Je remercie tout d’abord Sonia Germani (Master TEV, responsable didactique de l’IRES) pour le travail intelligent, créatif et infatigable qu’elle exerce dans la Thérapie éner- go-vibrationnelle ainsi que pour ses précieux conseils et enseignements. Sans sa présence et son apport scientifique, la Thérapie énergo-vibrationnelle aurait été différente et surtout plus pauvre. Je la remercie également d’avoir rassemblé et catalogué les témoignages pour la rédaction des Appendices. Un remerciement spécial va à Filippo Daniele (président de l’IRES et Master TEV), pour toute l’aide et l’amour qu’il me prodigue depuis tant d’années et pour son multiple soutien dans la diffusion de l’IRES. Je remercie les Master TEV : Francesco Bucchini et Mara Montobbio, mon grand ami Gianluigi Pol, Pietro La Camera, toujours très patient et Laura Perati, Adriana Argenti, Floriano Germani, Sabrina Mirti, pour avoir été les premiers à croire à la Thérapie énergo- vibrationnelle et pour leur travail infatigable auprès de moi toutes ces années. Merci au Dr David Schweitzer et au Dr Masaru Emoto pour leur aimable collaboration. Merci enfin aux Maîtres K, ML, M et CKS. Titre original en italien : Energie Sottili e la Terapia Energo-Vibrazionale Graphisme : Ramona Tolu, Studio 77 © Roberto Zamperini Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre, texte et images, ne peuvent être reproduits sans au- torisation écrite de l’auteur. © 2007 Édition française : Éditions MÉDICIS 22, rue Huyghens, 75014 PARIS ISBN : 978-2-85327-323-7 contact@editions-medicis.fr 5 CHAPITRE PREMIER Mes débuts Je suis un statisticien et non un médecin. Ma formation universitaire est celle d’un statisticien, dans les disciplines des mathématiques, du calcul des probabilités, de la métho- dologie statistique, de l’informatique et autres matières qui n’ont rien à voir, du moins en apparence, avec celles traitées dans ce livre. Et pourtant, l’intérêt que je porte aux énergies subtiles a commencé, à bien y réfléchir, il y a fort longtemps. J’avais douze ou treize ans quand, pour la première fois, je fus en contact avec un livre qui appartenait à mon père et qui traitait de radiesthésie. Mon père était un ingénieur civil, fier de sa mentalité concrète et scientifique. Malgré cela, sur les chantiers qu’il dirigeait, il prenait souvent en main sa ba- guette de radiesthésiste pour détecter ainsi les nappes phréatiques, ce qui lui était utile dans son travail. Je suppose qu’il utilisait aussi le pendule, mais il ne m’en a jamais parlé ouver- tement. En outre, il était un excellent hypnotiseur et sans avoir jamais étudié le mesmérisme il pouvait enlever certaines douleurs, en mettant son patient en transe. Mon père est mort quand j’étais très jeune et il n’a pu répondre à mes questions, dont la principale aujourd’hui est celle de comprendre comment il pouvait concilier son scientisme et ses étranges pouvoirs ! En repensant à ces lointaines années, je comprends que sa passion pour la radiesthésie eut un effet très profond sur moi et sur mes intérêts futurs. Je me souviens de ma période scolaire, je jouais souvent avec mes compagnons en utilisant le pendule de mon père pour retrouver des objets cachés dans la maison, comme par exemple, des photographies que l’un d’entre nous avait cachées à un endroit précis sous le tapis. Mes études successives me por- tèrent à m’intéresser à l’Histoire naturelle : je savais tout sur les petits animaux, les insectes, particulièrement ceux qui vivent en société, comme les fourmis, les abeilles et les termites. Un petit microscope, qui me fut donné à Noël, m’ouvrit les portes de l’infiniment petit, c’est du moins ce que je croyais : diatomées, colopodes, paramécies et autres protozoaires me fascinèrent pendant quelques années. L’usage que je réservais à cet instrument n’était, je crois, pas très scientifique. Je me rappelle avoir fait d’étranges expérimentations qui combi- naient les propriétés du pendule de radiesthésiste à celles du microscope. J’étais également fasciné par les étoiles et l’Univers. Ne disposant que de peu d’argent, je construisis en un premier temps une lunette astronomique incroyable et ensuite, vers mes vingt ans, un vrai réflecteur de 15 cm avec lequel je passais de nombreuses nuits sur Mars et Saturne. Un autre élément qui eut une grande importance durant les années de mon adolescence fut un autre cadeau de mon père : un coffret du « Petit chimiste », de fabrication anglaise. En réalité, c’était plutôt un petit laboratoire chimique. Je crois que mon père avait dépensé, à l’époque, une petite fortune pour pouvoir m’acheter ce jouet compliqué, avec lequel je passais de nombreuses heures à me passionner aux réactions chimiques, à la possibilité de construire des petites piles électriques et tant d’autres expériences. Les sels, les acides, les bases me fascinaient et je n’en finissais pas de m’étonner lorsqu’en mélangeant deux com- posés la solution changeait de couleur ou bien quand j’obtenais des petits cristaux rouges ou bleus. Mon astrologue ésotérique a peut-être raison lorsqu’elle dit avoir vu dans mes vies passées celle d’un alchimiste ! J’ai toujours été un étrange élève à l’école : les matières qui 6 sont obligatoires m’intéressaient peu, tandis que je passais des journées entières à étudier des thèmes très spéciaux, qui, malheureusement, ne faisaient pas partie de mes études. Ce comportement ne m’attira certes pas la faveur de mes professeurs et ma vie d’étudiant fut un calvaire ! Comme cela arrive souvent dans la vie, le choix de la faculté universitaire fut, en appa- rence, dû au hasard. Je m’inscrivis à la faculté de statistique où l’on forme une mentalité assez rigoureuse, mais non rigide. Comment pourrait-il en être autrement quand les sujets d’étude sont aussi abstraits, comme le concept des probabilités ou celui d’un Univers multi- dimensionnel ? Vers les vingt-cinq/trente ans, je recommençai à cultiver les intérêts de mon adolescence. Je dévorai tous les livres que je trouvai dans le commerce sur le yoga, le raja yoga et sa dy- namique mentale, discipline qui commençait à se répandre, ainsi que d’autres sujets similai- res. Le point faible de ma santé, qui par ailleurs était très bonne, a toujours été mes dents et ceci généra deux effets : de longues et coûteuses visites chez les dentistes et la découverte qu’avec certaines techniques de concentration mentale et de respiration, je pouvais soulager ou faire disparaître la douleur, en envoyant de l’énergie vers la partie malade. Ce fut ainsi que je découvris les énergies subtiles, bien qu’à l’époque je ne les appelais pas ainsi. Mes premières expériences de thérapie avec les énergies subtiles s’effectuèrent auprès de mes amis et parents, avec des résultats mitigés, qui, toutefois, me démontrèrent que les énergies subtiles fonctionnaient, même si elles n’étaient pas toujours positives, vu l’expérience que j’en avais alors. Malgré les insuccès, je m’y intéressai toujours davantage jusqu’à ce qu’elles devinrent mon unique et vraie passion. Je me mis à fréquenter un cercle spirituel qui s’inspirait des fameux guérisseurs philippins, où l’on pratiquait aussi la prano- thérapie sous une forme très similaire à ce qu’on appelle aujourd’hui le reiki. Le principe de base était de devenir, à travers la prière et le jeûne, un canal d’énergie spi- rituelle et de laisser celle-ci agir de la manière la plus appropriée pour guérir le patient. Cer- taines fois cela fonctionnait et d’autres fois cela échouait complètement. Cependant je sen- tais que, bien que le principe de base n’était pas erroné, ma connaissance des énergies de guérison était insuffisante pour déterminer des résultats toujours positifs. À part les succès, qui me semblaient alors miraculeux, je me trouvais souvent confronté à des insuccès dont je ne comprenais pas le sens. Je commençais alors, de plus en plus fréquemment, à expérimen- ter, dans mes tentatives de thérapie, de nouvelles techniques que j’inventais. Les résultats s’améliorèrent peu à peu, mais pas aussi rapidement que je l’aurais voulu. Un voyage aux Philippines et une initiation déplaisante. Grâce à mon groupe de guérison spirituelle, je fis la connaissance d’extraordinaires chirurgiens psychiques, comme Alex Orbito et feu Joséphine Sison. Joséphine surtout me parut un vrai phénomène. Elle réussissait à matérialiser et dématérialiser sous mes yeux incrédules, avec une simplicité dé- concertante. Mon uploads/Litterature/ roberto-zamperini-les-energies-subtiles-spiritualite-hie-masaru-emoto-wilhelm-mystic-is-me 1 .pdf

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