رسالة في الرد على شبهة للمرجئة من كلم شيخ السلم ابن تيمية رحمه ال كتبه ناصر بن

رسالة في الرد على شبهة للمرجئة من كلم شيخ السلم ابن تيمية رحمه ال كتبه ناصر بن حمد الفهد - شوال1420 بسم ال الرحمن الرحيم Lettre en reponse à l'ambiguité des mourji'a sur la parole du Sheykh de l'Islam Ibn Taymiyya rahimahullah Ecris Par le Cheykh Naçir Ibn Hammad Al Fahd Ibn Taymmiya a dit dans Majmou al fatawa volum 14 page 120: "Ce qui consiste en une mécréance dans les actes extérieurs; comme se prosterner pour une idole ou insulter le messager ou les choses de ce genre : c'est une mécréance parce que cela implique fatalement la mécréance intérieure. Mais dans l'hypothése ou quelqu'un se prosterne devant une idole sans avoir l'intention dans son coeur de se prosterner pour elle, mais au contraire vise la prosternation pour Allah dans son coeur, ceci ne serait pas une mécréance; cela peut méme étre permis, et ceci lorsqu'il se trouve au milieu des idolatre et qu'il craint pour sa vie a cause d'eux, il s'accorde avec eux dans ses actes extérieurs mais dans son coeur il ne vise qu'Allah dans sa prosternation. C'est ce qu'il fut relaté de certains savants musulmans et certains savants des gens du livre qui agirent de laé sorte avec un peuple d'idolatre afin de les inviter a l'Islam, alors ils se convertir, sans leur avoir montrer d'hostilité au départ." Les hérétiques mourji'a utilisent cette parole d'Ibn Taymmiya pour prétendre les quatre égarement suivants: 1/ Poser l'Istihlal comme condition en cas de mécréance. 2/ Qu'on ne sort de l'Islam qu'a conditon d'avoire pour but de mécroire. 3/ Que les paroles et les actes de mécréance éxtérieurs ne sont pas une mécréance mais seulement un signe de mécréance intérieurs. 4/ Qu'il est permis de faire de la mécréance pour un intérét comme l'invitation a l'Islam. Réponse détaillée: 1/ Pour ce qui est de la condition de legaliser la mécréance: Le cheykh n'a nulle part dans ce texte parlé d'Istihlal ou de légalisation, de ce fait cette ambiguité s'éffondre a la racine méme. Cette mauvaise comprehension vient de l'expréssion: "c'est une mécrémance parce que cela implique fatalement la mécréance intérieure" mais ceci n'indique en rien la légalisation, comme nous allons le voire: 2/ L'expréssion "Implique fatalement" signifie que : L'intérieur et l'extérieur sont indissociable, et donc l'orsque Ibn Taymmiya dit: "Ce qui consiste en une mécréance dans les actes extérieurs; comme se prosterner pour une idole ou insulter le messager ou les chose de ce genre : c'est une mécréance car elle implique fatalement la mécréance intérieure" cela concorde tout a fait avec ses autres paroles se trouvant dans ses autres ouvrages. Et une foi qu'on connait le lien entre l'intérieur et l'extérieur que le cheykh Al Islam Ibn Taymmiya a démontré dans nombre de ses ouvrages, alors on comprend ce que signifie sa parole ici : il explique que la parole ou l'acte de mécréance éxtérieur implique forcément l'impiété intérieure, car les deux sont indissociables.[1] Mais le facteur du verdict de mécréance est uniquement la parole ou l'acte, et non pas la conviction du coeur ou son intention ; c'est juste que lorsqu'il y a une mécréance extérieure cela implique la mécréance intérieure.[2] La mécréance intérieure est donc une implication et non pas une condition pour prononcer le verdict d'apostasie sur la base de parole ou de l'acte, il y a donc une trés grande difference entre la parole d'Ibn Taymmiya et celle des Mourji'a qui disent : Il se peut qu'on insulte Allah ou Son messager tout en ayant la foi dans son coeur. Les Mourji'a ne considérent donc pas que la mécréance extérieure implique forcement la mécréance intérieure, leurs avis n'a donc rien a voire avec celui d'Ibn Taymmiya! 3/ Au sujet de l'intention: Cheykh Ibn Taymmiya ne met en aucun cas comme condition d'avoire l'intention de devenire mécréants[3], mais plutot d'avoire l'intention de commettre l'acte, or il y a une grande différence entre les deux: [4] Celui qui a l'intention de commettre l'acte ou de dir une parole de mécréance il devient mécréant extérieurement et intérieurement méme s'il n'avait pas l'intention de devenire mécréant en faisant cet acte, comme le constata cheykh Ibn Taymmiya comme nous allons le voire inchaAllah. Ibn Taymmiya a mis comme condition pour pouvoire appliquer le jugement, qu'il y ait l'intention de comettre l'acte en question. La mécréance, est le jugement que le Legislateur attribua a certains actes, la personne responsable ne décide pas de sentence octroyées au acte, il n'est maitre que de leur accomplissement ou pas et ne pourra en aucun cas dire : "Je n'avais pas l'intention de blasphémer en faisant cela! " 4/ Ibn taymmiya a ensuite donné un exemple d'une situation ou quellequ'un commet un acte sans avoire voulu le commettre: "Mais dans l'hypothése ou quelqu'un se prosterne devant une idole sans avoire l'intention dans son coeur de se prosterner pour elle, mais au contraire il vise Allah dans son coeur, cecie ne serait pas une mécréance ; cela peut méme étre permis, et ceci lorsqu'il se trouve au milieu des idolatres et qu'il craint pour sa vie a cause d'eux, il s'accorde avec eux dans ses actes extérieurs mais dans son coeur il ne vise qu'Allah dans sa prosternation." Et il y a plusieur points soulevés ici: a/ Lorsqu'il dit "dans l'hypothése" c'est donc une Hypothése et non une constatation, or il y a une grande différence entre les deux car il arrive qu'un savant suggére une hypothése imaginaire et impossible a laquelle il attribue un verdicte dans le but d'expliquer mieux un sujet.[5] b/ Lorsqu'il dit : "sans avoire l'intention dans son coeur de se prosterner pour elle" cela montre bien qu'il parle de celui qui n'a pas l'intention de l'acte (la prosternation) qui est la cause d'apostasie, il s'agit donc de celui qui est semblable a l'homme qui dit " O Allah, Tu es mon serviteur et je suis ton maitre" par joie intense il se trompa dans ses mots et voulait dire le contraire, il n'avait donc pas voulu dire cette parole. Donc dans ces deux cas de figure, la personne ne devient pas mécréante car il y a une entrave a lier le statut a sa cause, car le premier (celui de l'hypothése d'Ibn Taymmiya) est contraint, et le deuxiéme (l'homme du hadith dont la langue s'est emmélée) s'est trompé: or ces deux élément empéchent de prononcer l'apostasie.[6] c/ Lorsqu'il dit : "cela peut méme étre permis" cela montre bien tout ce que nous avons dit précédemment, que l'acte apparent est bel et bien une mécréance mais il existe ici une entrave a prononcer le verdict d'apostasie: c'est la contrainte. Il n'y a donc pas de verdict malgré la présence du facteur. d/ Nous voyons aprés tout ce que nous avons dit, que cette parole d'Ibn Taymmiya conconrde avec ses autres conclusions sur le caractére indissociable entre l'intérieur et l'extérieur, et que celui qui commet une parole ou un acte impie devient mécréant extérieurement et interieurement sauf s'il existe une entrave qui empéche d'appliquer le verdict en présence de son facteur. Ibn Taymmiya se base donc sur ce qui est apparent (le facteur du verdict) contrairement au mourji'a qui se basent sur le coeur ... e / Pour ce qui est de faire de la mécréance pour obtenir un tinrérét : il est claire et formellement sur et certain qu'on ne peut comprendre cela des propos d'Ibn Taymmiya, et la preuve de cela est qu'il dit : " cela peut méme étre permis, et ceci lorsqu'il se trouve au milieu des idolatres et qu'il craint pour sa vie a cause d'eux, il s'accorde avec eux dans ses actes extérieurs" Ibn Taymmiya parle ici de la contraint, et la contrainte est une entrave a l'apostasie unanimement reconnue par des erudits, mais ils on divergé quand a la définition de la contrainte. Et nous pouvons confirmer que c'est l'avis d'Ibn Taymmiya lorsque nous lison dans Kitab Al Iman Majmou Al Fatawa volume 7 page 219, 220 : " Ce pourquoi la prole extérieure fait partie de la Foi sans laquelle un homme ne peut étre sauvé, et ceci d'apres l'ensemble des prédécesseur et successeurs, parmi les premiers et les derniers, excepté les Jahmiya: Jahm et ceux qui l'on approuvé. En éffet, dans l'hypothese ou une personne est excusée du fait qu'il soit muet ou car il a peur de son peuple qu'il lui ferait du mal s'il mainfestait l'islam ou quelleque chose comme ça, dans ce cas il est possible qu'il ait la Foi dans son coeur sans rien prononcer de sa langue[7], tout comme celui qui est contraint de prononcer une parole de mécréance. Allah a dit: " Sauf celui qui y est contraint, alors que son coeur reste rassuré sur la Foi, mais quiconque ouvre son coeur avec la mécréance: ceux la ont sur eux la colére d'Allah et ont un terrible chatiment" (Sourate 16 - Verset 106) Or ce verset indique la décadence de l'avis de Jahm et de ses adeptes ; car ce verset a classé toute personne qui uploads/Litterature/ shaykh-nacir-ibn-hammad-al-fahd-lettre-en-reponse-a-l-x27-ambiguite-des-mourji-x27-a.pdf

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