Olivier Perrachon 3 Decembre, 2007 Professeur Lytle La Mythe et ses usages dans

Olivier Perrachon 3 Decembre, 2007 Professeur Lytle La Mythe et ses usages dans La Venus d’Ille. La Venus d’Ille, de Prosper Mérimée (1803-1870), comme les contes de Théophile Gautier, est un conte fantastique qui perturbe le village d’Ille au temps de roi Louis Philippe. Le mythe du conte nous fait croire qu’a Ille dans le Roussillon, une statue de Venus, découverte sous un olivier gèle est tombe amoureuse a Alfonse Peyrehorade, fils de l’archéologue Monsieur de Peyrehorade, et le tue. Ceci est l’explication supranaturelle basique des faits tragiques dans le village d’Ille. Cependant, le narrateur n’est jamais convaincu mais il garde une certaine hésitation. Cette hésitation, entre le supranaturelle et le rationnel contribue au style fantastique du conte. En effet, il y a des suspects du crime et certes le crime peut être résolut en utilisant le rationnelle. Tout les inconséquences supranaturelles comme les vignes qui gèlent, la lit de bois casse peuvent très bien être le hasard des choses. Dans ce conte fantastique, il ne s’agit pas uniquement d’un conte policier et de résoudre le crime. Normalement, dans la mythologie romaine, la Statue de Venus, dédit à la déesse romaine symbolise l’amour et la beauté. Or si on lit à travers le texte, nous observons que la Venus symbolise exactement le contraire. Ironiquement, la statue est la justification du mal qui dérange le village d’Ille absurdement. En schématisant un suspect chez la statue de la Venus pour tes faits tragique et absurde, on se demande furtivement pourquoi Mérimée a choisi d’utiliser la déesse de l’amour pour coupable. Mérimée est connut d’être pas un homme aussi cavalier que les autres. Les faits oc curant le long du conte ont une définition figurative. L’histoire n’est pas du meurtre de Alphonse mais au contraire il s’agit chapitre difficile dans l’autobiographie de Prosper Mérimée, le meurtre d’un cœur blesse par l’amour. Des le début, on note beaucoup de similarités entre les faits du conte et de la vie de Prosper Merimee. . Frank Bowman, professeur de Langues Romancières a l’Université de Pennsylvanie suggère un parallèle fort entre la biographie de Mérimée et la structure du contes. « The story, in detail if not in structure is one of his most autobiographical »1 Premièrement, Mérimée comme le narrateur du conte fut «Inspecteur des Monuments Historique ». De plus, Monsieur de P. l’homme qui envoie le narrateur chez Monsieur de Peyrehorade est l’ami de Mérimée, Jaubert de Passa. La description de la statue est un mélange de la Venus a Vienne et de celle a Quinpilli. Monsieur de Peyrehorade est en effet Puigarri, un camarde dans l’archéologie. Comme Monsieur de Peyrehorade, ce dernier a une habitude épouvantable de faire des erreurs en mythologie.2 En revanche, Mérimée transpose la légende de l’antiquité d’une déesse romaine a ses temps pour s’inclure dans le conte. En général, nous gardons un souvenir positif de Venus. Pour les Romains, elle symbolise la beauté, la grâce, et la fertile. Ces caractéristiques se reproduisent notamment dans le fameux cadre de Sandro Botticelli, La Naissance de Venus. Dans La Venus d’Ille, Mérimée illustre un personnage qui retient aucunes des mœurs mariés a la déesse romaine. L’auteur décrit en détailles plutôt la 1 Bowman p. 478 2 Bowman p. 478 déesse Grecque, Aphrodite ; « l’Aphrodite noire », déesse de l’amour qui cause la mort. Professeur Bowman déclare que Mérimée sois disant le narrateur n’avait aucun doute a classer la Venus comme le diable. Il écrit : The theme of a fatal, wounding Venus is reiterated page after page (at times with humorous intent) by the mother, the villagers, M de Peyrehorade, the narrator. And the denouement fully justifes this theme, the synthesis of love and death, which is a major element in Mérimée abyss. Love like the Venus of Ille, is invincible, inevitable, and disastrous.3 Des les premières pages du texte, Monsieur de Peyrehorade sa famille, et le village d’Ille partagent envers leurs sentiments pour la statue.de Venus. Des le début, il y a déjà des mauvais nouvelles à faire part. La statue, découverte sous un olivier gèle l’an dernier, vient de gravement blesse un certain Jean Coll, un paysan pendant qu’on la déplacer. Les paysans la considèrent comme une idole car c’est une idole au temps de Charlemagne. Bien que le narrateur la trouve de « merveilleuse beauté », les indices sont assez négatifs. La première description, « Une grande femme noire plus qu’a moitie nue »4 commence la longue liste pessimiste attribué a la Venus. Même avant que le narrateur soit installé chez les de Peyrehorade, la statue est déjà coupable d’un crime. Antérieurement au meurtre d’Alphonse, le narrateur et Monsieur de Peyrehorade examine la statue et des indices inquiétant qui reflète l’altitude péjoratives de Mérimée envers les femmes. En discutant l’agression envers Jean Coll avec la femme de Peyrehorade, Monsieur de Peyrehorade se moque sans aucun discret des commentaires de Jean Coll envers la statue. Il dit qu’il a été blesse par Venus. Monsieur de Peyrehorade rétorque sarcastiquement « Blesse par Venus, monsieur dit M. de Peyrehorade riant d’un gros rire, blesse par Venus, le maraud se plaint :Venereis nec praemia nôris.. Qui n’a pas été blesse par Venus ? »5 Ceci est une reference directement a ses blessures soumit par 3 Bowman p.481 4 Merimee La Venus d’Ille p. 183 5 Merimee. La Venus d’Ille ses mauvaises relations avec les femmes. Dr, Bowman ajoute en parlant du theme de l’amour et de la douleur, « (This conviction was I suspect particulary strong in Merimee when he was writing this story, for sometime before October 1932 he suffered a dissappointment in love (…which probably inspired the Double méprisé and, less directly the Venus d’Ille. »6 Nous pouvons en déduire que cette phrase « Qui n’a pas été blesse par Venus ? » est une sorte de leçons de morales sur les femmes. Mérimée utilise comme moyen de partager sa vie une histoire d’un meurtre pour révéler son meutre, l’amour. Les inscriptions sur la statue aussi portent des indices significatives a l’autobiographie de Mérimée notamment sa malchance avec l’amour. Avant le match du jeu de paume entre Alphonse et l’Aragonais, Monsieur de Peyrehorade et le narrateur font une analyse détaillée de la statue. En sachant, que Mérimée a été brise du cœur, les intentions du narrateur (Mérimée) sont d’exprimer sa vision lugubre de l’amour en utilisant la description péjorative de la Venus. Le narrateur, sur l’ironie de l’amour, décrit « Je me souvins de ce qui m’avait dit mon guide, qu’elle faisait baisser les yeux a ceux qui la regardaient. Cela était presque vrai, et je ne puis me défendre d’un mouvement de colère contre moi-même me sentant un peu mal a mon aise devant cette figure ».7 Le narrateur est à la fois timide et intrigue par l’apparence de la Venus. Une partie des indices intéressants sont les inscriptions sur le socle de la statue en latin. Sur le socle on lit « CAVE AMANTEM (...) Prends garde a celui qui t’aime, défie- toi des amants. (…) En voyant l’expression diabolique de la dame, je croirais plutôt que l’artiste a voulu mettre en garde le spectateur contre cette terrible beauté. Je traduirais 6 Bowman p. 481. 7 Merimee La Venus d’Ille p, 194 donc : « Prends garde a toi si elle t’aime » »8. Certes une explication, pour le meurtre d’Alphonse qui a joue avec les lois de l’amour 8 Merimee La Venus d’Ille p, 195 uploads/Litterature/ venus.pdf

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