Electricité froide et énergie radiante – travaux de TESLA Auteur: Gerry Vassila
Electricité froide et énergie radiante – travaux de TESLA Auteur: Gerry Vassilatos, repris par Peter A. Lindemann dans son livre : « The Free Energy Secrets of Cold Electricity » http://rs273.rapidshare.com/files/188813549/Free_Energy_-_Secrets_with_Tesla_patents.pdf Traducteur: Pascuser Aide à la saisie et mise en forme du texte, remerciements à: Lucie Disponible sur le site Conspirovniscience.com http://www.conspirovniscience.com/teslaradiant.php version finalisée Le chapitre qui suit est extrait du chapitre 1 de « Secrets de la technologie de la guerre froide : projet HAARP et au-delà » (« Secrets of Cold War technology : Project HAARP and beyond »), par Gerry Vassilatos et est réimprimé ici avec la permission de son éditeur, Adventures Unlimited Press Peter A. Lindemann La Pierre de rosette James Clerk-Maxwell a prédit la possibilité d’existence des ondes électromagnétiques. Dans des débats théoriques destinés à expliquer plus complètement ses descriptions mathématiques, Maxwell a demandé à ses lecteurs de considérer deux types distincts de perturbations électriques pouvant possiblement exister dans la nature. La première possibilité était celle d’ondes électriques longitudinales, un phénomène qui requiert des concentrations alternées de lignes de champs électrostatiques. Cette pulsation tantôt raréfiée tantôt densifiée de champs électrostatiques nécessite obligatoirement un champ unidirectionnel, dont le vecteur est dirigé dans une seule direction. Le seul paramètre autorisé dans la création d’ondes longitudinales est la concentration du champ. En se propageant sur la longueur, les lignes de champs électrostatiques produisent des poussées pulsantes de charge, pulsations se déplaçant dans une seule direction. Ces « ondes sonores électriques » étaient rejetées par Maxwell qui a conclu qu’une telle situation était impossible à obtenir. Sa seconde possibilité concernait l’existence d’ondes électromagnétiques transverses. Elles nécessitent l’alternance rapide de champs électriques le long d’un axe fixe. Les lignes électriques qui s’étendent dans l’espace feraient supposément de « la courbure en va-et-vient » sous l’effet de leur propre moment, pendant qu’elles sont émises vers l’extérieur à la vitesse de la lumière à partir d’une source alternante. Des forces correspondantes, répliques exactes des oscillations produites à la source, seraient détectées à de grandes distances. Il encourageait les expérimentateurs à rechercher cette forme d’onde en soumettant des possibilités de détection permettant d’y arriver. Et c’est ainsi que la quête à la recherche des ondes électromagnétiques a commencé. En 1887, Heinrich Hertz a annoncé la découverte d’ondes électromagnétiques, une réussite de cette époque de grande importance. En 1889, Nikola Tesla a essayé de reproduire ces expériences hertziennes. Conduites avec une précision absolue dans son élégant laboratoire de la 5è avenue Sud, Tesla s’est trouvé dans l’incapacité de reproduire les effets annoncés. Quels que soient les moyens utilisés et le soin apporté à l’expérience, rien ne permettait de reproduire les effets annoncés par Hertz. Tesla a commencé à expérimenter avec des décharges électriques puissantes et abruptes, en utilisant des condensateurs chargés à de très forts potentiels. Il a vu qu’il était possible de faire exploser des fils fins avec ces décharges brutales. Percevant vaguement quelque chose d’important dans ces séries d’expériences, Tesla a abandonné ces expériences là tout en réfléchissant à ce mystère et en supposant que Hertz avait d’une façon éronnée pris des inductions électrostatiques ou des ondes de choc électrifiées dans l’air pour des ondes électromagnétiques. En fait, Tesla a rendu visite à Hertz et a fait personnellement la démonstration de ces observations fines à Hertz lui-même, qui, étant convaincu que Tesla avait raison, était sur le point d’abandonner sa thèse. Hertz était vraiment déboussolé, et Tesla a grandement regretté d’avoir dû aller à de telles extrémités avec un académicien estimé de manière à prouver une vérité. Alors qu’il s’efforçait par ses propres moyens d’identifier les ondes électriques, Tesla a été blessé lors d’un accident pendant une observation, qui a pour toujours changé l’orientation de ses investigations expérimentales. Lors de ses propres tentatives pour réussir là où il ressentait que Hertz avait échoué, Tesla a développé une méthode puissante grâce à laquelle il espérait générer et détecter de véritables ondes électromagnétiques. Une partie de son appareil demandait l’utilisation d’une batterie de condensateurs très puissants. Cette « batterie » de condensateurs était chargée à très haute tension et ensuite déchargée dans de courtes barres de cuivre. Les éclats explosifs alors obtenus ont produit plusieurs phénomènes, qui ont profondément impressionné Tesla, dépassant de loin la puissance de n’importe quel appareil électrique qu’il avait déjà vu. Ceci était la preuve qu’un secret essentiel, qu’il était déterminé à débusquer, était caché derrière ces expériences. Les étincelles dues au choc brutal, qu’il a appelées « décharges disruptives » étaient capables de faire exploser des fils en les transformant en vapeur. Elles produisaient des ondes de choc très vives, qui le frappaient avec une grande force à travers tout l’avant de son corps. Tesla était excessivement intrigué par ces surprenants effets physiques. Ainsi, à cause de ces étincelles électriques ressemblant à des coups de feu d’une puissance extraordinaire, Tesla était complètement absorbé dans sa nouvelle étude. Ces impulsions électriques produisaient des effets communément associés avec la seule lumière. Les effets explosifs lui remémoraient des événements semblables qui ont été observés avec des générateurs de haute tension continue. C’est une expérience très familière des ouvriers et des ingénieurs, la simple fermeture d’un interrupteur sur une dynamo de haute tension produisait souvent un choc cinglant qui était supposé être le résultat d’une charge statique résiduelle. Cette situation dangereuse ne se produisait que lorsque le courant continu à haute tension était soudain mis en circulation. Cette couronne de charge statique mortelle sortait directement tout droit des conducteurs hautement électrifiés, cherchant souvent des chemins vers le sol, incluant dans ces chemins les ouvriers et les opérateurs de fermeture d’interrupteur. Dans les longs câbles, cet effet de charge instantané produisait un revêtement d’aiguilles bleutées, dirigées droit vers l’extérieur de la ligne du câble, vers l’espace environnant. La situation dangereuse apparaissait très brièvement à l’instant même de la fermeture de l’interrupteur. La couronne bleutée d’étincelles disparaissait en quelques millisecondes, de même que la vie du malheureux qui aurait été attrapé par le flux. Après que le bref effet se soit achevé, les appareillages fonctionnaient comme prévu. De tels phénomènes disparaissaient au fur et à mesure que les charges saturaient lentement les lignes et les systèmes. Après cette brève vague, les courants circulaient de manière douce et parfaitement comme prévu. L’effet était un problème gênant dans les petits systèmes. Mais dans les grands systèmes d’alimentation régionaux où les tensions étaient excessivement élevées, il s’est révélé mortel. Des hommes ont été tués par cet effet, qui envoie ses couronnes d’étincelles électrostatiques mortelles à travers tous les composants du système. Bien que les générateurs aient été prévus pour produire quelques milliers de volts, de telles poussées mystérieuses se chiffraient en centaines de milliers de volts, et même en millions de volts. Le problème a été éliminé en utilisant des interrupteurs très fortement mis à la terre et hautement isolés. Les anciennes études d’ingénieur prenaient en compte seulement les caractéristiques des systèmes d’alimentation qui s’accordaient à l’état stationnaire d’alimentation et de consommation de puissance. Il est apparu que les larges systèmes requérraient à la fois des considérations de conception relatives à l’état normal de fonctionnement et à la mise en route. Prendre en compte la « compression » initiale dangereuse était une nouvelle caractéristique. Cette étude d’ingénieur est devenue le premier centre d’intérêt des compagnies de production d’électricité pendant des années après cela, des systèmes de sécurité et des protections contre les afflux de courant étant les sujets d’un grand nombre de brevets et de textes. Tesla savait que l’effet de compression étrange était observé seulement au premier instant, là où les dynamos étaient branchées sur les lignes de fil, exactement comme dans ses décharges explosives par condensateur. Bien que les deux cas aient été complètement différents de nature, ils produisaient exactement les mêmes effets. La compression instantanée fournie par les dynamos apparaissait brièvement surconcentrée dans les longues lignes. Tesla a calculé que cette concentration électrostatique était de plusieurs ordres d’amplitude plus grande que toute tension que la dynamo pouvait fournir. L’alimentation était d’une certaine façon amplifiée ou transformée. Mais comment ? Le consensus général parmi les ingénieurs était que c’était un effet de « choc » électrostatique. Beaucoup concluaient à une sorte d’effet « d’entassement », quand la force puissante appliquée était incapable de déplacer les charges assez rapidement à travers le système. Mystérieusement, la résistance combinée de tels systèmes semblait influencer les porteurs de charge avant qu’ils soient capables de se déplacer loin des terminaisons de la dynamo. C’était comme donner des claques dans l’eau très rapidement avec la main, la surface paraîtrait alors solide. De même, poussées par la force électrique, les charges rencontraient apparemment un mur solide du même type. Mais l’effet ne durait que le temps de l’impact. Jusqu’à ce que les porteurs de courant aient été en fait « attrapés » par le champ électrique, les charges étaient alors éjectées depuis la ligne dans toutes les directions. Un bref effet de compression pourrait être attendu jusqu’à ce qu’elles soient distribuées, et circulent en douceur à travers la ligne en entier et le uploads/Litterature/electricite-froide-et-energie-radiante-tesla.pdf
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- Publié le Dec 12, 2021
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