LE MYSTÈRE DU SANG CHEZ LES JUIFS DE TOUS LES TEMPS DU MÊME AUTEUR Le Juif fran

LE MYSTÈRE DU SANG CHEZ LES JUIFS DE TOUS LES TEMPS DU MÊME AUTEUR Le Juif franc-maçon (paraîtra bientôt). Le Frère de la duchesse d'Angoulème, in-8° 3 fr. 50. A l'occasion de ce dernier ouvrage l'auteur a reçu la bénédiction apostolique du Saint-Père et l'approbation de plusieurs membres du haut clergé romain. La Civilta cattolica écrit : « Le grand intérêt qu'inspire le livre de M. Des- portes est tel qu'il nous a paru bon d'en rendre compte dans cette revue biblio- graphique... » La Revue des livres nouveaux : « De cette lecture plus émouvante que le plus dramatique des romans, on demeure confondu devant la duplicité des cours royales... » L'Etudiant, de Louvain : « C'est une composition historique qui va nous occuper aujourd'hui, ou plutôt c'est une page de vie si récemment écoulée, avec un cachet si particulier d'intérêt, que l'œuvre peut se détacher des recons- titutions ordinaires du passé ; elle est de nature à passionner également les lec- teurs, de tous les genres, qui composent le grand public. » Un illustre prélat français : « C'est un livre bien fait, bien appuyé, fort bien raisonné, presque très bien écrit. Je suis étonné que, si jeune, vous ayez atteint une si solide maturité. » En vente chez SAVINE, chez FERROUD, 192, boulevard Saint-Ger- main et chez l'auteur, rue de Narine, à Amiens. H E N R I D E S P O R T E S DU SANG CHEZ LES JUIFS DE TOUS LES TEMPS Préface d'ÉDOUARD DRUMONT L'emploi du sang chrétien est indispensable au salut de nos âmes. LES JUIFS DE TRENTE. PARIS NOUVELLE LIBRAIRIE PARISIENNE ALBERT SAVINE, ÉDITEUR 12, rue des Pyramides, 12 1890 LE MYSTÈRE ÉDOUARD DRUMONT LE HARDI REMUEUR D'IDÉES A PRÉFACE Cher Monsieur, Je suis vivement touché de la pensée qui vous a poussé à me dédier votre très curieux travail sur le Mystère du sang. J'ai lu votre volume avec un intérêt que partage- ront, je crois, tous ceux qui vous liront sans parti pris, avec sincérité et bonne foi. En dehors même du terrain religieux, votre livre éveillera bien des idées et inspirera bien des ré- flexions à ceux que passionne l'étude de l'homme, les questions de race, les phénomènes cérébraux, les problèmes de l'atavisme, la permanence de cer- tains instincts chez des êtres de même origine. Vous groupez très consciencieusement un nombre considérable de faits irrécusables, indéniables. Ces faits ont pour garants de leur exactitude des témoins pour lesquels les mensonges de la presse n'exis- taient pas encore et qui ne croyaient qu'à ce qu'ils voyaient de leurs yeux, dans ces villes d'autrefois où les habitants d'une même cité vivaient pressés et a II PRÉFACE comme serrés les uns sur les autres. Ces faits ont été enregistrés par les chroniqueurs contemporains attestés par des monuments commémoratifs dont quelques-uns existent encore, perpétués par des œuvres d'art, des sculptures, des vitraux ; ces faits se sont accomplis d'une façon à peu près identique dans des pays très éloignés les uns des autres et qui n'avaient jadis que de rares occasions de com- muniquer entre eux ; ils se sont reproduits à des époques très différentes ; si beaucoup datent du Moyen Age, quelques-uns se sont passés au XVIIe siècle, tandis que d'autres sont tout récents et appartiennent en quelque sorte à l'actualité. Admettons, pour rendre la discussion aussi large que possible, que dans le passé la légende ait pu ajouter à ces faits des détails un peu romanesques, il n'en est pas moins impossible de nier la matéria- lité de ces faits eux-mêmes. Si, en effet, on récusait les dépositions des témoins oculaires, le récit de chroniqueurs, les pièces d'archives, les dossiers des tribunaux, il faudrait logiquement nier tous les événements de l'histoire, déclarer que la bataille de Bouvines ou la bataille d'Azincourt, le procès des Templiers, l'assassinat du duc d'Orléans ou de Jean sans Peur, sont des imaginations de fantaisistes. Les témoignages sur la foi desquels nous croyons à la réalité de ces événements sont du même ordre que les témoignages qui affirment les assassinats rituels et les meurtres commis par les Juifs sur des enfants chrétiens. PRÉFACE Ceci posé, il semblerait qu'en un temps où les choses étranges attirent de préférence les esprits, où les Œdipe se multiplient pour deviner les énigmes de l'histoire, cette question du Sacrifice sanglant dût attirer tous les curieux de la vie d'au- trefois : Il n'en est rien. Tous les érudits s'enfuient, se dérobent, font un détour quand on les place en présence de cette question. C'est là qu'est la grande force du Juif. Il se met à crier comme un brûlé dès qu'on manifeste une velléité quelconque de voir clair dans ses affaires, et les gens aux oreilles sensibles s'épouvantent à ce bruit qui leur déchire le tympan. J'ai connu des criards de ce genre dans la vie ; ils en étaient arrivés à ne plus trouver personne pour leur adres- ser une observation ; dès qu'on essayait de s'expli- quer avec eux, ils commençaient à brailler. « Qu'est- ce que vous voulez que je dise à un tel, vous répondaient les camarades, il hurle tout de suite comme un possédé, c'est assommant. » C'est ce qui se produit pour le Mystère du sang. J'ai abordé très souvent ce point avec des savants, je leur ai dit : « Voyons, mes enfants, vous venez encore de couper un cheveu en quatre et on vous a donné un prix pour ce travail, j'en suis ravi. Vous avez prouvé que Lucrèce Borgia qu'on croyait rousse, était blonde et que Charles-Quint avait un œil de travers, mais enfin les sujets finiront par vous manquer. Pourquoi ne discutez-vous pas cette III PRÉFACE question du Sacrifice rituel qui a eu une telle im- portance au Moyen Age ? Vous avez les pièces du procès de Trente ; sont-elles authentiques ? En de- hors des documents publiés par Amelot de la Houssaye, le dossier du procès de Raphaël Levy jugé à Metz au XVIIe siècle doit se trouver quelque part, à moins que les Juifs ne l'aient fait dis- paraître. Il y a là une publication originale à tenter. » Les Juifs avec leur don particulier d'opprimer les gens, de leur interdire toute liberté de penser, de leur désigner d'avance la voie dans laquelle ils doivent marcher, ont tellement affirmé leur maîtrise sur la France intellectuelle que personne n'est assez hardi pour sortir du programme indiqué. Les membres de l'Académie des Inscriptions et Belles- Lettres n'oseraient jamais mettre un tel sujet au concours ; ils tremblent comme des esclaves sous le fouet devant quelques Juifs allemands, des Weill ou des Oppert. Notre admirable Léon Gautier dont l'œuvre est si française et la vie si droite et si pure, fut terrifié quand il lut ce que j'avais dit de lui dans la France juive, en montrant combien il était supérieur à Meyer qui était entré à l'Institut avant lui ; il avait peur que mes éloges n'empêchassent son élection ! Quand les Juifs sont un peu embarrassés par une affaire comme celle de Tisza Eszlar, ils se font délivrer des certificats par Renan qui déclare que le crime rituel n'a jamais existé. « Croire de pa- IV PRÉFACE reilles histoires n'est rien moins qu'une folie mons- trueuse. » Un point : c'est tout... — Alors tous ces récits sont faux, tous ces té- moignages sont des paroles d'imposteurs, toutes ces pièces judiciaires sont falsifiées ? Avouez que, même dans ce cas, l'Académie des Inscriptions de- vrait bien encourager la publication d'un mémoire qui éclairerait un des points les plus singuliers de la vie du Passé, qui montrerait toutes les nations s'entendant pendant mille ans pour falsifier des textes et élever des monuments afin de perpétuer le sou- venir de faits que personne n'avait jamais vus. La vérité est que ces faits sont pour la plupart absolument exacts et qu'ils offrent l'occasion de l'étude la plus passionnante qui soit, à quelque point de vue, je le répète, qu'on veuille se placer. L'existence du peuple d'Israël n'est qu'une lutte constante contre l'instinct de la race, l'instinct sé- mitique qui attire les Hébreux vers Moloch, le dieu mangeur d'enfants, vers les monstrueuses idoles phéniciennes. Les paroles des Prophètes flé- trissant incessamment le retour à l'idolâtrie, ne laissent pas de doute sur l'attraction qu'exerçait sur les Israélites les superstitions cruelles des peuples voisins. Après le déicide et la dispersion, dans l'abjection de la vie du Moyen Age, le Juif revient à son type premier. C'est Moloch qu'on adore au ghetto, c'est à Moloch que l'on immole l'enfant dont on a pu se saisir. La vraie fête, la fête complète est celle qui V VI PRÉFACE permet au Juif d'assouvir la haine qu'il éprouve pour tous ce qui porte le signe du Christ, pour tout ce qui est baptisé. Le Christ, en établissant le saint Sacrifice de la messe dans lequel il s'offre lui-même pour victime, a aboli à tout jamais les sacrifices sanglants d'au- trefois. Le Juif, pour mieux braver le vrai uploads/Litterature/le-mystere-du-sang-chez-les-juifs-de-tous-les-temps.pdf

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