Documents Poésie  Partager ce document      Vous aimerez peut-être aussi

Documents Poésie  Partager ce document      Vous aimerez peut-être aussi Francais au lycée (1) lvtmath scène du pavillon lecture linéaire la princesse de clèves duc de de nemours lafayette fenelon06 Victor hugo lecture linéaire elle était décoiAée elle était déchaussée fenelon06 Magazines Podcasts Partition le romantisme francais résumé Justine Martin Exemple de dissertation. Victor Hugo Manuel Phillips La poésie masar7 Victor Hugo Poésie La nature La préface de Cromwell.docx Anonymous pKObieWTeM Melancholia Ahmed Elharrar LITTERATURE FRANCAISE.pdf buciumeni Fascicule Francais. Mamadou Lamine DANFA gorguy POEMES HUGO FATOU Victor Hugo, Les contemplations _ les mémoires d'une âme Célia  Télécharger maintenant Voir plus À propos À propos de Scribd Presse Notre blog Rejoignez notre équipe ! Nous contacter Inviter des amis Cadeaux Scribd pour entreprises Mentions légales Conditions Confidentialité Droits d'auteur Préférences en matière de cookies Ne vendez pas et ne partagez pas mes informations personnelles Assistance Aide / FAQ Accessibilité Aide à l'achat AdChoices Éditeurs Social Instagram Twitter Facebook Pinterest Obtenez nos applications gratuites Livres • Livres audio • Magazines • Podcasts • Partition • Documents • Snapshots Langue: Français Droits d'auteur © 2022 Scribd Inc. Les Contemplations - Résumé Poème Par Poème Du Livre Premier AAicher le titre complet Transféré par Aurélien Errera 91% (11) · 14K vues · 5 pages Informations du document  Summary, in French, of Victor Hugo's poems from the f… Titre original Les Contemplations - Résumé poème par poème du Livre premier Copyright © © All Rights Reserved Formats disponibles PDF, TXT ou lisez en ligne sur Scribd Partager ce document Facebook Twitter  Courriel Avez-vous trouvé ce document utile ? Ce contenu est-il inapproprié ? Signaler ce document Extraction de plan - Les Contemplations (- Livre premier: Aurore) Aurélien ERRERA (HK1) I - À ma fille o Poème écrit antérieurement à la mort de sa fille Léopoldine Hugo - survenue un an plus tard - mais qui s'y adresse; il y est question de la manière dont "son enfant" doit se comporter, et de l'état d'esprit qu'elle doit adopter. o Écrit d'une façon particulière; le quatrième vers de chaque quatrain est un trisyllabe, adresse directe à sa fille, presque une injonction, se focalisant sur un élément ( un sourire ! ou recommence. ) II o Le deuxième poème du recueil est l'évocation d’une forme d’idéal de poète. Le chef de file du Romantisme présente ici le poète comme sensible, se promenant dans une nature qui, loin de lui être hostile, lui répond et l'accueille. o Le poète est "un rêveur" solitaire, nullement présenté comme engagé, alors que Hugo évoquera par la suite le poète comme devant faire partie de la société, et devant être engagé au service de causes qui lui sont chères. ( Fonction du poète ). III - Mes deux filles o Évocation des deux filles de Hugo, "assises au seuil du jardin": leur description se mêle à l'évocation du cadre dans lequel elles sont assises. La nature, personnifiée, est attentive aux deux filles. IV o Toujours, ici, une description de la nature, o La nature est ici entremêlée à - si ce n'est pas confondue avec - la religion. "L'hosanna des forêts" "s'élève vers Dieu", la nature lit un passage de la création biblique. o Chute du poème sur le personnage de Satan, "envieux", rêvant. V - À André Chénier o Le poème est adressé à André Chénier, poète lui-même, mort en 1794, et prend l'apparence d'un art poétique; utilisé par Hugo pour évoquer sa propre façon d'écrire. o Il est question des raisons ayant poussé Hugo à rire "sur la lyre"; rire qu'il avait perçu chez Ugolin, créature des enfers, étant plus jeune. "La nature", en plus d'être, ici encore, personnifiée, "est un peu moqueuse autour des hommes". o Un bouvreuil semble dire à Hugo que de nombreux poètes feraient mieux de "dégonfler" leurs poèmes, et d'éviter une forme de prétention jugée excessive. "Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, et ce n'est point ainsi que parle la nature" VI - La vie aux champs o Poème évoquant la vie quotidienne de Hugo, et son habitude, le soir, d'aller se promener. Le poète, à l'inverse des autres hommes, se sent en tous lieux chez lui et marche sans vrai but. o La suite du texte évoque la relation entre Hugo et les enfants qui l'entourent; ce ne sont a priori pas les enfants qui se sentent hugoliens mais Hugo qui se sent enfantin; son amour pour la nature, les fleurs, la poésie, la beauté et le rire le rapproche d'une forme d'innocence qu'il partage avec les enfants qui l'entourent. Améliorez votre expérience L'évaluation nous aidera à suggérer des documents encore plus adaptés à tous nos lecteurs ! Utile  Inutile  VII - Réponse à un acte d accusation o Le disloqueur de ce grand niais d'alexandrin se dépeint ici comme jouant avec la langue, et faisant l'éloge de la liberté dont il dispose en tant qu'écrivain. o L'accusation dont il est question dans le titre est probablement l'accusation de nombreux lecteurs à l'égard de Hugo, qui reprochaient au romantique sa négligence à l'égard des normes, conventions, et règles classiques. VIII - Suite o Le poème est toujours une réponse à un acte d'accusation , réponse que Hugo rétorque en revendiquant une forme de liberté artistique, n'en déplaise aux différentes normes et conventions qu'il ne respecte volontairement pas. o Le propos de ce poème est plus focalisé sur le langage, et sur la façon dont un poète peut se servir des mots comme de révélateurs de la liberté dont il dispose. Pour Hugo, le poète utilise Le mot, [qui] veut, ne veut pas, accourt, [...] s'offre, se donne, ou fuit , alors que le mot ne devait traditionnellement pas constituer un obstacle ou une difficulté. ( La rime est une esclave et ne doit qu'obéir , chez Boileau). IX o Le poète est ici plus homme - humain, a priori - que les autres hommes. Le poème le présente comme un être en proie à des sentiments particulièrement forts. Il est dissocié des autres hommes, et de la foule, qui se rit de la peine qu'il se donne pour écrire. o L'œuvre devient alors une forme d'incarnation de l'artiste, qui s'y verse , de tout son cœur: le génie de l'artiste réside non plus dans son esprit, comme peut le penser la foule, mais dans son cœur. Les personnages d'un livre sont - en partie, certes, et dans une certaine mesure - des représentations de leur auteur. X - À Madame D. G. de G. o Poème écrit à une poétesse, a priori Delphine Gay, morte très peu de temps avant l'écriture du poème, ayant la splendeur des astres et des roses . Le poème prend la forme d'une apostrophe à la défunte. o Se mêle alors à l'éloge d'une femme que Hugo admirait l'éloge d'une poétesse: elle conserve une forme de vie, et semble manifester une forme d'omniscience. Capable de révéler le secret du monde , ou d'entrer en communication avec la nature, elle est une manifestation de la foi d'Hugo. XI - Lise o Ce texte est l'occasion pour Hugo de se rappeler sa vie d'adolescent, et son amour pour Lise, un peu plus âgée que lui: son portrait, à travers le poème, retranscrit toute l'admiration que Hugo avait pour elle. XII - Vere novo o Le chef de file du Romantisme procède ici à une évocation du sentiment amoureux éprouvé au printemps, avec un certain recul que lui permet son âge. Il s'émerveille du fait que les billets doux qu'on reçoit en avril et qu'en mai l'on déchire deviennent papillons. o La nature est, une fois de plus, mêlée à l'amour; en ce sens que les descriptions de Hugo prennent place dans un cadre naturel et que la nature semble interagir avec les amants. XIII - À propos d Horace o Ce poème s'ouvre sur une adresse de Hugo - venant de recevoir une punition, et condamné à recopier des vers d'Horace - à ses maîtres d'école; il avait prévu le jour de sa retenue un rendez-vous avec la fille du portier . o Hugo remonte dans sa chambre (a priori une chambre d'interne à Louis-le-Grand!) et maudit non seulement ses professeurs, mais tout leur système scolaire: il appréhende les textes de façon excessivement classique et scientifique, n'en laissant plus percevoir la beauté. o Il est nécessaire, selon Hugo, de faire aimer pour faire comprendre ce que l'on enseigne; le fouet d'un cuistre ou d'un abbé ne doit plus faire avancer une bête de somme , mais au contraire faire boire la petite âme à la coupe infinie . XIV - À Granville, en 1836 o Description ici encore d'un cadre naturel; auquel ne se mêle toutefois pas seulement l'amour, mais aussi la littérature. De grands auteurs - Virgile, Rabelais - verse[nt] à boire , à la nature a priori. La nature est alors en communication avec ces auteurs, et s'en fait le porte-voix. o Le poème est en heptasyllabes; lui uploads/Litterature/ les-contemplations-resume-poeme-par-poeme-du-livre-premier-pdf-victor-hugo-poesie 2 .pdf

  • 36
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager