Amer Dessous Des Cartes Ré Histoire / Revisiter l'Histoire sans parti, sans ent
Amer Dessous Des Cartes Ré Histoire / Revisiter l'Histoire sans parti, sans entrave Observation de faits méconnus, ↺ ✯ occultés, censurés "Qu'est ce que l'histoire, sinon une fable sur laquelle tout le monde s'accorde ?" Napoléon Bonaparte Menu Aller au contenu principal Contenu du site ▶ Tyrannie des Cartels ▶ Nouvel ordre mondial ▶ Les Dessous du B’nai B’rith Publié le 18 décembre 2012 B’nai B’rith, loge maçonnique juive créée en 1843 B’nai B’rith L’Ordre indépendant du B’nai B’rith (ת י ר ב י נ ב) (de l’hébreu : « Les fils de l’Alliance ») est la plus vieille organisation juive toujours en activité dans le monde. Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843, par douze personnes, dont Henry Jones et deux frères juifs émigrés d’Allemagne, qui avaient appartenu à la Société des Frères (Brüder Bund) qui joua un certain rôle dans l’élaboration de la Première Internationale (Association internationale des travailleurs). Le B’naï B’rith, en France comme à l’étranger, est pourtant totalement inconnu du grand public. Calquée sur le modèle des organisations maçonniques, cette association de solidarité a en effet toujours cultivé la discrétion. Mystères et Secrets du B’naï B’rith, Emmanuel Ratier, éd. FACTA, 1993, p. 418 Nous nous trouvons là en présence d’un ordre maçonnique juif, méconnu du grand public, mais très puissant, et qui n’a qu’un seul objectif : celui d’instaurer le pouvoir mondial juif. Il est évident qu’il s’agit là du faux messianisme et d’une fausse espérance. A propos du B’nai B’rith Paul Ranc cité par Pierre Barrucand, 1989, La Franc-maçonnerie sous l’éclairage biblique, Editions Contrastes, Saint-Légier, 1989 cité sur Internet, dans haines d’hier et d’aujourdhui p.15. (Sur http://fr.wikiquote.org ou http://fr.wikipedia.org) Une secte franc-maçonne au cœur du pouvoir occulte sioniste par Alain COUTTE (Extrait de «6.000 ans d’histoire juive» ) 13 octobre 1843 : l’organisation juive B’nai B’rith est fondée à New York. Extrait d’un discours – considéré, à tort ou à raison, comme étant à l’origine des «Protocoles des Sages de Sion», ce n’est pas à nous d’en juger, nous laissons le soin à chacun de nos lecteurs de se faire sa propre opinion – du grand maître de la loge B’nai B’rith, en 1897, au 1er congrès sioniste de Bâle, qui a été retrouvé dans une loge maçonnique à Budapest, après la fuite de Bela Kuhn : 1- Rien ne serait plus erroné et nocif pour le bien de notre peuple que d’attendre l’élimination de notre ennemi, avant qu’il n’ait été reconnu, qu’il soit célèbre, et que ses paroles puissent influencer la jeunesse. Nous devons surveiller la jeunesse chez nos ennemis. Quand nous voyons le plus infime signe de résistance à notre puissance, nous devons le détruire, avant qu’il ne devienne dangereux pour notre peuple. 2- Comme nous contrôlons la presse, notre devoir primordial est d’empêcher que des personnes dangereuses aient accès à des postes, d’où ils pourraient exercer une influence favorable à nos ennemis, par la parole ou par les actes. Nous devons garder le silence et être attentifs, quand nous voyons un homme dangereux s’élever parmi nos ennemis. La plupart en seront détournés dès leur plus jeune âge par l’insuccès de leurs entreprises, ils devront gagner leur pain dans un métier qui les empêche de commettre des actes nuisibles à notre peuple élu. 3- Si un individu devait persister dans son entreprise nuisible, il serait temps d’agir contre lui avec plus de détermination, pour faire échouer ses plans. Nous lui proposerons du travail et un bon salaire, pour qu’il arrête ses actions nuisibles et qu’il travaille pour nous. Quand il aura connu la solitude et la faim, l’or et les belles paroles que nous lui donnerons le détourneront de ses mauvaises pensées. Et quand il connaîtra soudain le succès et la richesse, l’apparat et les honneurs, il oubliera son inimitié et apprendra à paître sur les pâturages que nous tenons à la disposition de ceux qui suivent notre voie et se soumettent au pouvoir du peuple élu. 4- Si cela ne sert toujours à rien et qu’il persiste encore dans son opposition rigide, nos hommes veilleront à ce que le déshonneur le poursuive et à ce que ceux pour qui il se bat et se sacrifie se détournent de lui dans la haine et le mépris. Il sera seul et comprendra l’inutilité de ses actions. Il finira par désespérer de son combat sans fin contre notre peuple, et il périra. 5- Si cela ne nous conduit pas à notre objectif, s’il est assez fort pour poursuivre son chemin en poursuivant des buts qui nous sont hostiles, nous disposons toujours d’un moyen efficace de le paralyser et d’anéantir ses projets. Esther n’a-t-elle pas vaincu le roi des Perses, Judith n’a-t-elle pas tranché la tête de l’ennemi de notre peuple? N’y a-t-il pas assez de filles d’Israël qui sont assez intelligentes et séduisantes, pour gagner leur cœur et entendre leurs pensées, afin qu’aucune parole ne puisse être dite, aucun plan mûri, qui ne vienne à temps aux oreilles de notre peuple? S’il a une position sociale, la confiance de ses amis et de tout un peuple, et que nous lui envoyions une fille d’Israël, pour l’enjôler, son plan nous sera livré et son pouvoir annihilé. Car là où les filles de notre peuple sont les reines de nos ennemis, les entreprises nuisibles seront détruites avant qu’elles ne se réalisent. 6- S’il découvrait nos stratagèmes et échappait à nos filets, si son esprit mauvais devait trouver des disciples parmi nos ennemis, il doit disparaître définitivement de ce monde. La mort est le passage obligé pour tout le monde. Il vaut mieux l’accélérer pour ceux qui nous sont nuisibles, plutôt que d’attendre qu’ils nous touchent, nous les créateurs de l’œuvre. Dans les loges maçonniques, nous procédons aux punitions de telle façon, que personne, en dehors de nos frères de pensée, ne puisse avoir le moindre soupçon, pas même les victimes elles-mêmes ; elles meurent s’il le faut, mais de mort apparemment naturelle. Les membres de la loge le savent, mais ils n’osent rien dire. Ce type de punition sans pitié a permis de tuer dans l’œuf toute opposition à l’intérieur de nos loges. Tout en continuant à prêcher la libre parole pour ceux qui ne sont pas Juifs, nous tenons notre peuple et ses hommes de confiance en parfaite obéissance. 7- Comme nous vivons une époque instable, que le crime et les pillages ont rendu la vie incertaine, il ne sera pas dur pour nos frères d’éliminer l’ennemi le plus dangereux, par une attaque à l’improviste par exemple. N’avons-nous pas à notre disposition une armée d’indigents chez nos ennemis, qui sont prêts à tout pour de l’or et un secret qu’ils garderont ? Si nous voulons éliminer l’ennemi, répandons des rumeurs sur l’endroit où il se trouve et là où il réside, pour qu’il vive dans la peur et le danger, et que sa vie soit menacée à chaque instant du jour et de la nuit. Si nous voulons sa mort, organisons des pillages là où il habite, et répandons des rumeurs de danger permanent dans son entourage. Quand le jour de sa disparition sera venu, les gens que nous payons travailleront parfaitement, quand il sera mort, ils le dépouilleront de ses richesses et pilleront le cadavre. Jamais l’auteur ne sera retrouvé, et le monde entier pensera qu’il a été victime d’un accident. Nos ennemis ne sauront jamais que c’est par la volonté de nos frères qu’il a péri, pour que le nom de notre Dieu ne soit jamais désacralisé et traîné dans la boue. 8- Pour que le nom de notre Dieu ne soit pas traîné dans la boue, les sages de notre peuple ont fait ce qu’il fallait, depuis des siècles. Nos frères russes ont trouvé des moyens en interrogeant la science, pour détruire nos ennemis sans que ceux-ci ne s’en rendent compte. N’ont-ils pas trouvé un gaz qui tue instantanément, et un autre que l’on répand juste après, et qui se mélange à lui pour effacer toute trace? Ne connaissons-nous pas les propriétés des courants sans fil, qui mettent en péril l’esprit de la personne dangereuse? Nos médecins n’ont-ils pas découvert les effets des poisons invisibles à travers leur microscope, et le moyen de les dissimuler dans le linge de notre ennemi, afin qu’il agisse sur son cerveau et détruise son esprit? Ne pouvons-nous pas nous charger également de l’autopsie, par la qualité de notre savoir, de sorte que personne ne puisse savoir de quoi il est mort? N’avons-nous pas appris à l’approcher, par un serviteur, par un voisin ou comme invité à sa table? Et ne sommes-nous pas omniprésents et tout-puissants, unis ensemble par le silence, prêts à travailler jusqu’à la destruction complète de l’ennemi? Quand nous venons avec nos paroles douces et un discours inoffensif, un seul des peuples de la Terre a-t-il réussi à découvrir nos réelles intentions et à empêcher nos décisions? 9- Si toutefois, il arrivait à échapper aux pièges que nous lui tendrons et aux stratagèmes de nos frères, uploads/Management/ amer-dessous-des-cartes.pdf
Documents similaires
-
12
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Dec 11, 2022
- Catégorie Management
- Langue French
- Taille du fichier 0.0694MB