1 Présenté par : Alain Roger PAMBOU Dirigé par : Pr. Patrick MOUGUIAMA-DAOUDA E
1 Présenté par : Alain Roger PAMBOU Dirigé par : Pr. Patrick MOUGUIAMA-DAOUDA Enseignant au DSLIC - UOB Codirigé par : Emmanuel Thierry KOUMBA Dr Nr en Sciences de l’Information et de la Communication Enseignant au DSLIC - UOB FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES DEPARTEMENT DES SCIENCES DU LANGAGE, DE L’INFORMATION ET LA COMMUNICATION Master Parcours Recherche en Communication « La communication d'un établissement public d‘enseignement supérieur d’Afrique noire francophone : Le cas de l’Université Omar BONGO du Gabon de 2011 à 2016 » 2 Année académique : 2017 - 2018 3 Présenté par : Alain Roger PAMBOU Dirigé par : Pr. Patrick MOUGUIAMA-DAOUDA Enseignant au DSLIC - UOB Codirigé par : Emmanuel Thierry KOUMBA Dr Nr en Sciences de l’Information et de la Communication Enseignant au DSLIC - UOB Année académique : 2017 - 2018 FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES DEPARTEMENT DES SCIENCES DU LANGAGE, DE L’INFORMATION ET LA COMMUNICATION Master Parcours Recherche en Communication « La communication d'un établissement public d‘enseignement supérieur d’Afrique noire francophone : Le cas de l’Université Omar BONGO du Gabon de 2011 à 2016 » 4 5 « Mais aussi bruyante soit-elle, une communication effective est préférable à une absence totale de communication ». Jean-Louis LE MOIGNE, La théorie du système général théorie de la modélisation Publication de l’édition 1994. Nouvelle présentation, 2006 « N’importe qui ne fait, ne pense et ne dit pas n’importe quoi, n’importe comment, à n’importe qui, n’importe quand, n’importe où, dans n’importe quelle situation, à n’importe quelle fin, avec n’importe quel effet ». Windisch (1989 : 175) 6 DEDICACE A Celui qui a été l'Aîné, le Père, le Confident et qui est passé trop tôt à l'Orient Éternel. A Celui qui a permis, pendant vingt-six (26) ans – par ses interventions inespérées dans notre vie et celle de notre famille - que soit rendue possible la rédaction et la soutenance du présent travail de recherche. A feu Jean de Saint-Facond KONDJA EPOUTA (12 juin 1946 – 22 juin 2016) 7 REMERCIEMENTS Le présent mémoire résulte d’un cheminement émotif et académique. Son aboutissement tient au soutien et la confiance de nombreuses personnes. Nous nous acquittons ici de l’agréable devoir de marquer notre créance à leur égard. Soulignons d’abord la dette de reconnaissance due à nos directeur et co-directeur de recherche. Le Professeur Patrick MOUGUIAMA-DAOUDA, en aîné rigoureux, a traqué tout laxisme méthodologique dans notre démarche et nous a recadrés par des conseils parfois sévères mais toujours bienveillants. Gratitude sans borne au Docteur Emmanuel Thierry KOUMBA (''ETK'' comme nous le désignons affectueusement) pour sa compétence à conduire notre mémoire et ses qualités personnelles. Il a permis de démythifier et démystifier la démarche de recherche scientifique, pour nous faire avancer comme chercheur et insuffler un certain réalisme, ainsi qu'une forme de rigueur franchement salutaire à notre travail. Notre regard se tourne ensuite vers le Département des Sciences de l'Information et de la Communication (DSIC) de l’Université Omar BONGO, son corps professoral, son personnel administratif et aux camarades étudiants. Par devoir de mémoire, nos remerciements posthumes vont à feu Professeur Jacques ZYLBERBERG (1939 – 2010 ; ''Zyl'' pour les intimes), notre directeur de recherche en Master de Science Politique à l'Université Laval du Québec (1996-1998). Il nous a introduits à la recherche scientifique, tout en canalisant notre fougue de jeunesse sans la brider. Gratitude infinie également au Professeur Nicole DUPLE, notre co-directrice de recherche dans le même contexte, dont la rigueur scientifique, la gentillesse et la patience ont contribué à forger notre esprit et notre méthodologie juridique. Une dette de reconnaissance s'ajoute envers le Professeur James Duplessis EMEJULU et le Docteur Anatole Christian ENGUENG qui nous font l'honneur de leur amitié, nous gratifiant d'échanges importants pour notre parcours de chercheur. Par leur pertinence intellectuelle et leur apport psychologique, leurs précieux conseils et encouragements nous serviront au-delà de la thèse. 8 Hors le corps professoral, d’autres personnes nous ont encouragées, à reprendre nos études, puis à finir ce travail par des gestes d'amitié et des conseils. Ce dont nous leur sommes reconnaissants : ''Fraise'' Marthe MUADI EKOLE ; ''La Petite Sœur Ma Betty'' Audrey Betty KASSA, ''La Petite Sœur Jumelle'' Macy ILEMA, ''La Sœur'' Eugénie SOUNO-BERRE ; Nos ''Fils'' Brice NTEME NZE et Bertrand LIMESSE NIANGALA... Gratitude infinie pour avoir crus en nous et nous avoir incités à revenir au monde académique que nous n’avons jamais choisi de quitter et réellement résolu à abandonner. C'est un amer goût d'inachevé qu'ils nous permettent de dissiper. Merci aux ''Combis'' : Abel OBILI, Ahmed BIGNOUMBA, Anicet Claude ANDJOUAT, Barbara EYONE, Carine NZAOU ép. ANSAH, Chrysos MADABA, Dove BINGO, Fidèle NZE OSSIMA, Krysler MEGNE, Priscille NDJAMEN, Rodrigue Esthel GOMAS, Serge Robert ASSEMAN, Sheila NDZENG, Sylvain Didier PAMBOU (« Dina »), sans oublier les oubliés, pour les moments exaltants passés à édifier le projet CRIR/UOB. Nous n'avons pas failli... Le climat de réflexion et de rédaction impacte le résultat final d'un travail. Nous devons alors une dette incalculable de reconnaissance à notre famille : Feue Mamie ILOTI Emilienne (1924 – 2018), notre Mère de substitution, qui nous à couvée d’un indéfectible amour, avec dévouement et compréhension sans faille ; Nos enfants Kondja, Haskia, Oumma, Shétime, Wally et Jeanne-Paule, pour leur amour et leur patience. Ce mémoire leur est dédié pour les inspirer et les amener à ne jamais céder à la facilité. Que le désir et le plaisir d’aller au bout de leur conviction les habitent toujours ; Pour ''Guimbatsi Gui Rangue'' qui nous endure depuis plus d’une vingtaine d'années avec compréhension, patience et affection, dans un contexte où concilier travail, étude et vie personnelle est un sacerdoce. Cette correctrice, impitoyable critique – même si c'est pour notre bien - nous fait parfois dire affectueusement qu'elle est le leader de notre opposition intellectuelle. Aux termes d'une étape académique, avec émotion nous remercions les professeurs, collègues, amis et connaissances qui voudront bien nous pardonner leur omission. Ils reconnaîtront leur apport, en considérant que le pas franchi par la réalisation de ce mémoire a été rendu possible avec la conjugaison de leurs contributions. 9 SOMMAIRE INTRODUCTION GENERALE………………………………………………………………….10 PREMIERE PARTIE – FONDEMENTS DE L'UOB…………………………………………...12 Chapitre I - Éléments de méthodologie…………………………………………………………..13 Section 1. Contexte de la recherche………………………………………………………………...13 Section 2. Cadre théorique de la recherche…………………………………………………………16 Section 3. Méthodes d'enquête……………………………………………………………………...17 Chapitre II – Une histoire de l'UOB basée sur quoi ?...................................................................22 Section 1. Un cadre théorique général des universités……………………………………………...22 Section 2. Une histoire générale des universités africaines francophones………………………….25 Section 3. Une histoire singulière de l'UOB………………………………………………………...25 Chapitre III – Un modèle organisationnel de quel ordre………………………………………..28 Section 1. Les théories des organisations…………………………………………………………...28 Section 2. Discussion et résultats du diagnostic stratégique…………………………..……………32 Section 3. Les « gabonitudes »……………………………………………………………………...33 DEUXIEME PARTIE – UNE UNIVERSITE CONFRONTEE AUX MUTATIONS DU MONDE ACTUEL……………………………………………………………………...…………35 Chapitre I – Les influences externes…………………………………………………..………….37 Section 1. La mondialisation………………………………………………………..………………37 Section 2. Le mouvement de Bologne………………………………………………………………42 Section 3. Le cadre national…………………………………………………………..…………….46 Chapitre II – Les bouleversements du cadre ancien………………………………….................48 Section 1. La remise en cause du cadre spirituel……………………………………………………49 Section 2. La remise en cause du cadre structurel…………………………………………………..52 Section 3. La remise en cause du cadre procédural…………………………………………………54 Chapitre III – Les bienfaits de la conversion à la communication…………………….……….58 Section 1. Affirmer l'identité de l'université………………………………………...………………58 Section 2. Conforter la légitimité de l'université……… .…………………………………………..62 Section 3. Redorer l'image de l'université……………………………………………….………….66 10 TROISIEME PARTIE – ORGANISATION ET STRUCTURATION D'UN CHAMPS DE COMMUNICATION ORIGINAL POUR L'UOB………………………………………………71 Chapitre I – Des définitions générales de la communication universitaire…………………….73 Section 1. Qu'est-ce qu'un réseau de campus ?..................................................................................73 Section 2. Quelle est l’utilité d'un réseau de campus ?.......................................................................77 Section 3. Comment pourrait se présenter le réseau de campus de l'UOB ?......................................80 Chapitre II – La professionnalisation de la communication de l'UOB………………………...83 Section 1. Qu'est-ce que l'écosystème numérique de l'UOB ?...........................................................83 Section 2. Comment se présente l'écosystème numérique de l'UOB ?..............................................84 Section 3. Qui peut définir l'écosystème numérique de l'UOB ? ......................................................84 Chapitre III – Le tournant avec les nouveaux acteurs..................................................................86 Section 1. Présentation de l'ENT et du DINAL..................................................................................86 Section 2. Fonctionnement de l'ENT et du DINAL............................................................................87 Section 3. Compétences requises pour la promotion de l'ENT et du DINAL....................................88 CONCLUSION.................................................................................................................................89 BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………………………….112 11 INTRODUCTION GENERALE 12 Le monde bouge, connaît des changements et les établissements publics d’enseignement supérieur participent à ce mouvement. Trois facteurs en sont principalement la cause : la mondialisation, le processus de Bologne et les politiques nationales. Dans le rôle fondateur et majeur de ce mouvement, les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) tiennent une place de choix ; d'où, le choix du sujet : « La communication d'un établissement public d‘enseignement supérieur d’Afrique noire francophone : Le cas de l’Université Omar BONGO du Gabon de 2011 à 2016 ». C'est un sujet important, dans la mesure où, logiquement, ces trois phénomènes doivent inciter les acteurs de l’enseignement supérieur public à s'exprimer à outrance pour réformer le système, informer et faire adhérer les populations à leur projet de changement. Il paraît paradoxal de nos jours que les établissements publics d’enseignement supérieur en Afrique noire francophone semblent aphones et l’Université Omar Bongo (UOB) du Gabon en est une illustration. uploads/Management/ communication-d-x27-une-universite-gabonaise.pdf
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- Publié le Jui 17, 2021
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