UNIVERSITE D’ANTANANARIVO FACULTE DE DROIT, D’ECONOMIE, DE GESTION ET DE SOCIOL
UNIVERSITE D’ANTANANARIVO FACULTE DE DROIT, D’ECONOMIE, DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE DEPARTEMENT GESTION MEMOIRE DE MAITRISE EN GESTION OPTION Présenté par : RIVOARILALA Encadreur pédagogique : Encadreur professionnel RAKOTOSALAMA Clément RATEFINJATOVO Nivomboahangy Année universitaire GESTION DES FINANCEMENTS EXTÉRIEURS : L’AUDIT DES PROJETS UNIVERSITE D’ANTANANARIVO FACULTE DE DROIT, D’ECONOMIE, DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE DEPARTEMENT GESTION MEMOIRE DE MAITRISE EN GESTION OPTION : AUDIT ET CONTROLE : RIVOARILALA Evasoa Olivia Sous l’encadrement de : : Encadreur professionnel ment RATEFINJATOVO Nivomboahangy Année universitaire : 2010 / 2011 Session : 21 juin 2012 LA GESTION DES FINANCEMENTS EXTÉRIEURS : AUDIT DES PROJETS FACULTE DE DROIT, D’ECONOMIE, DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE : Encadreur professionnel : ment RATEFINJATOVO Nivomboahangy GESTION DES FINANCEMENTS EXTÉRIEURS : REMERCIEMENTS Nous exprimons notre gratitude en DIEU qui nous a accordé santé, paix, intelligence, force et courage pour aborder sans trop de difficulté ce mémoire. La réalisation de ce mémoire a été possible grâce au concours de plusieurs personnes à qui nous voudrions témoigner toute notre reconnaissance. Nous souhaitons adresser nos remerciements les plus sincères à : Monsieur ANDRIATSIMAVANDY Abel, Professeur Titulaire, Président de l’Université d’Antananarivo ; Monsieur RANOVONA Andriamaro, Maitre de conférences, Doyen de la Faculté de Droit, d’Economie, de Gestion et de Sociologie ; Monsieur ANDRIAMASIMANANA Origène Olivier, Maître de conférences, chef de Département de la filière gestion ; Madame ANDRIANALY Saholiarimanana, Professeur Titulaire, Directeur du Centre d’Etudes de Recherche en gestion; Monsieur RAKOTOSALAMA Clément, notre encadreur pédagogique qui nous a accordé le privilège de soutenir ce présent mémoire en gestion, et pour son aimable accord à sa réalisation; Mademoiselle RATEFINJATOVO Nivomboahangy, expert comptable et financier au sein du cabinet NPNM AUDIT, de nous avoir encadré professionnellement pour la réalisation de ce mémoire ; Monsieur RAKOTOMIAMINA Nauno Philippe, expert comptable et financier, gérant du cabinet NPNM AUDIT où notre stage a été effectué; Tous les professeurs enseignants au sein du département gestion qui nous ont formé pendant nos études universitaires, et toute l’équipe du cabinet NPNM AUDIT qui nous ont permis de découvrir un métier d’audit et leur étroite collaboration; A toute notre famille pour leur contribution, leur soutien et leur patience ; Enfin, à tous nos proches et nos amis, qui nous ont toujours soutenus et encouragés au cours de la réalisation de ce mémoire. Merci à tous. SOMMAIRE REMERCIEMENTS LISTE DES FIGURES LISTE DES TABLEAUX LISTE DES ABREVIATIONS INTRODUCTION ..……………………………………………………………………….01 PARTIE I : MATERIELS ET METHODES………...……………………………………06 Chapitre 1 : MATERIELS……………………………………………………………….06 Section I : zone de l’étude…………………………………………………………….06 Section II : autres matériels utilisés….....……………………………………………11 Chapitre II : METHODES……………………………………………………………….17 Section I : cadre théorique….………………………………………………………….17 Section II : cadre pratique……………………………………………………………..18 PARTIE II : RESULTATS ………………………………………………………………22 Chapitre I : CONNAISSANCES DE FONCTIONNEMENT DE GESTION DE PROJET………….……………………………………………………..22 Section I - méthodes de décaissement……………….……………………………….22 Section II - bonne gouvernance du projet…….………………………………………24 Section III - mise en évidence des tendances lourdes..……………………………….26 Chapitre II : CONNAISSANCES DE L’AUDIT DES PROJET.….….………………..28 Section I - approche des auditeurs……………………………………………………28 Section II : documents de projet nécessaires à l’audit….…………………………….31 Section III : difficultés rencontrées par l’auditeur……………………………………33 PARTIE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS……………………………..35 Chapitre I : DISCUSSIONS……………………………………………………………..35 Section I - effets des problèmes susmentionnés…………………….………………..35 Section II - impacts de l’audit sur le projet ………………………………………….37 Chapitre II : RECOMMANDATIONS……...…………………………………………..44 Section I- solutions possibles ………..………………………………………………44 Section II- choix de solution prioritaire………………………………………………48 CONCLUSION GENERALE……………………………...………...……………………51 BIBLIOGRAPHIE ANNEXES TABLE DES MATIERES FIGURES FIGURE I : Organigramme du cabinet NPNM AUDIT……………………….9 FIGURE II : Diagramme d’ISHIKAWA ou Méthode de 5M………………….17 FIGURE III : Matrice SWOT ou FFOM……………………………………….27 TABLEAU TABLEAU I : Information sur le cadre logique du projet X…………….13-14 TABLEAU II : Information sur l’ONG bénéficiaire, annexe III…………….V TABLEAU III : Analyse par le diagramme d’ISHIKAWA, annexe IV…….VI TABLEAU IV : Chronogramme………………………………………….…..21 TABLEAU V : Type des méthodes de décaissement, annexe V…………...VII TABLEAU VI : analyse des causes racines par FFOM……………................27 TABLEAU VII : Menu dépense……………………………………………....48 TABLEAU VIII : Critères d’évaluation………………………………………..48 TABLEAU IX : tableau récapitulatif des impacts de proposition….………...50 ABREVIATION ACF : Audit Comptable et Financier CA : Chiffre d’Affaire Cac : Commissaire au compte CGI : Code Général des Impôts CI : Contrôle Interne EF : Etat Financier FAO : Food and Agriculture Organization FFOM : Forces Faiblesses Opportunités Menaces GSDM : Groupement Semis Direct de Madagascar IAS : International Accounting Standard IFAC : International Federation of Comptable IFRS : International Financial Reporting Standard ISA : International Standard of Audit ISRS : International Standard of Related Services LF : Loi de Finance OECFM: Ordre des Experts Comptable et Financier de Madagascar ONG : Organisation Non Gouvernementale PCG 2005 : Plan Comptable Général 2005 PIB : Produit Intérieur Brut PJ : pièce justificative S : semaine SA : Société Anonyme SARL : Société A Responsabilité Limitée SCV : semis direct sous couverture végétale permanente du sol SWOT : Strengths Weaknesses Opportunities Threats TdR : Termes de Référence UE : UNION EUROPEENNE USD : dollar 5M : Main d’œuvre, Matériel, Méthode, Matière et Milieu 111. INTRODUCTION Dans le cadre de développement économique et social, Madagascar est obligé 1 de concourir au financement externe pour financer ses projets. La réussite connue sur certains projets encouragent les opérateurs tout naturellement à foncer pour que ses projets deviennent un instrument qui donne espoir aux sociétés et aux organismes sociaux de pouvoir structurer un avenir assuré. En effet, les ressources locales des entreprises malgaches ou des recettes fiscales ne suffiraient jamais à financer les projets de développement à Madagascar. Elles comblent juste les frais de fonctionnement de l’administration publique. De plus, les travaux des grandes envergures à titre indicatif, les infrastructures routières et la construction des bâtiments sociaux coûtent chères. Le produit intérieur brut (PIB) demeure toujours dominé par les secteurs primaire et tertiaire. Ainsi, à Madagascar, le secteur informel occupe la totalité du secteur primaire et l’estimation de sa part dans le PIB est moindre. La plupart des entreprises sont de type individuel ou familial dont beaucoup d’entre eux exercent une activité commerciale. Sans financement externe, il n’y a pas encore d’espoir pour réaliser efficacement les développements économiques et sociaux à Madagascar. Toutefois l’octroi d’un financement externe, quelque soit sa situation juridique aide ou emprunt, est toujours conditionné par des conventions spécifiques tant en leur manipulation qu’en leur emploi. Chaque opération spécifique dans ce sens constitue un projet. Un projet est toute activité réalisée en une seule fois, dotée d’un début et d’une fin déterminée et qui vise à créer un produit ou un savoir unique, il peut nécessiter d’une seule ou des milliers de personnes, sa durée peut être de quelques jours ou des plusieurs années, il peut être entrepris par une seule organisation ou par un groupe d’organismes intéressés, il peut s’agir de quelque chose de plus simple que l’organisation d’un événement d’une journée ou d’aussi complexe que la construction d’un barrage.1 Vu la situation générale à Madagascar en matière des travaux d’infrastructure, il est impossible d’avoir un développement économique et social s’il n’existe pas des infrastructures correctes. Or on sait que tous travaux des infrastructures sont toujours chers et que les ressources intérieures qui découlent des recettes fiscales n’arriveraient jamais à 1 - Source : définition selon le Project Management Institute (PMI) financer le projet. Compte tenu de cette situation, il est nécessaire d’avoir recours 2 l’assistance des bailleurs de fonds par le biais du projet. Le recours au financement externe est une des réponses favorables au problème social et économique de Madagascar parce que le projet couvrira une période au moins cinq (05) ans même si sa mise en œuvre coûte chère. Bien que notre enthousiasme et notre imagination soient essentiels à la réalisation des objectifs de notre projet, ils ne suffisent pas à eux seuls. La réussite d’un projet est aussi en fonction d’une gestion efficace et d’un audit dans le cadre de sa réalisation. Il y a beaucoup de thèmes concernant la gestion de projet. Cette dernière n’est pas quelque chose de facile or le chef de projet qui administre tout le détail au jour le jour pense que comme l’argent ne lui appartient pas, il le gère sans respecter quelques conditions exigées par le bailleur et cette mauvaise qualité de gestion conduit à la suspension du financement. La convention stipule les conditions globales appartenant à celui qui bénéficie le fonds que c’est à lui de mettre en place tout le système de contrôle interne pour que la gestion de ce fonds marche bien. Certains bénéficiaires de financement ne sont pas conscients des obligations d’une bonne gestion et d’un bon résultat. Il traduit que faire un projet c’est pour avoir de l’argent pour lui faire plaisir non pas pour développer la situation économique et sociale pour le bien de tout le monde. Il ne pense pas au recouvrement correct des prêts consentis. La plupart des organismes ont montré très peu de capacité à assurer une bonne gestion financière or ils dépendent largement de financement externe pour mener à bien leur mission et élargir leurs activités. C’est pour cela qu’un projet peut être en retard, dépasse fréquemment son budget et peut fournir des résultats inadaptés. Des nouveaux enjeux apparaissent à l’aube de ce troisième uploads/Management/ la-gestion-des-financements-exterieurs.pdf
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- Publié le Oct 12, 2022
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