Leadership influence politique, psychologique, sociale, etc. d'un individu ou d'

Leadership influence politique, psychologique, sociale, etc. d'un individu ou d'un groupe d'individus sur un groupe ou un autre groupe Le leadership[1] est l'influence politique, psychologique, sociale, etc. d'un individu sur un groupe d'individus ou d'un groupe d'individus sur un autre groupe. Le leader a des compétences personnelles qui lui confèrent une différence et qui lui permettent d'être écouté et suivi par un groupe de personnes. Leadership vient de l'anglais leader (https://fr.wiktionary.org/wiki/leader) [archive], le meneur et non le chef, désigné par ses pairs, d'un parti politique en Grande-Bretagne, et du suffixe -ship. D'une manière générale, il peut être défini comme « la capacité d'un individu à influencer, à motiver, et à rendre les autres capables de contribuer à l'efficacité et au succès des organisations dont ils sont membres »[2]. Il désigne les comportements que l'on peut reconnaître à celui qui assure la « fonction du leader ». Le mot et le concept viennent de l'anglais leader (/liːdə/). Le mot est apparu au ݐݟݟݟe siècle en Angleterre. L 'origine du mot est beaucoup plus ancienne. Ils viennent du verbe anglais to lead, qui signifie mener. Étymologie et champ conceptuel En France, Alfred Binet l'emploie dès 1900, sans réserve et sans retenue, dans son ouvrage Suggestibilité (téléchargeable). « Leader » est admis avec réticence par l'Académie Française dans les 8e (1935) et 9e édition de son Dictionnaire (1990), sans aucune réserve par le TLFi et Le Petit Robert. Un équivalent possible en langue française serait meneur, mais les deux mots s'emploient différemment[3]. La Commission générale de terminologie et de néologie recommande « chef de file »[4]. Le rapport de 1990 sur les rectifications orthographiques voudrait pour sa part qu'on écrive le mot « leadeur »[5]. Concernant le sens du verbe, les détracteurs [Qui ?] notent que le mot est construit exactement de la même manière que l'allemand Führer, mot aujourd'hui marqué par son emploi par Adolf Hitler[6]. Dans Le Principe de Dilbert, Scott Adams suggère avec humour que leader ne viendrait pas du verbe to lead mais du nom lead, signifiant « plomb », et que l'origine du mot leader coïncidant avec la généralisation des armes à feu (avec des balles en plomb), le leader était celui que les autres ont envie de truffer de plomb chaud [réf. nécessaire]. Cette plaisanterie n'est valable que pour l'emploi du mot leader pour désigner un supérieur. En espagnol, en portugais, et en polonais, le mot anglais leader a été transformé en « lider ». Article détaillé : Styles de management. Le leadership est susceptible de s'exprimer à tous les niveaux d'une organisation[7]. Schématiquement, il est possible de présenter quatre grandes typologies du leadership selon deux critères : d'une part, le niveau d’impact du leadership sur la stratégie de l'organisation ; d'autre part, l'origine de la légitimité du leadership de celui ou celle qui l’incarne. Sur un même continuum on trouve aux extrémités, d'une part, une légitimité Intuitu personae, lorsque celle- ci émane de contributions personnelles exceptionnelles et/ou d’une forte personnalité (leadership charismatique) ; d'autre part, une légitimité collective, lorsque l'influence est essentiellement le fruit des échanges et interactions les membres du collectif (leadership relationnel). Le leadership « entrepreneurial » tire sa légitimité de la capacité du dirigeant à imaginer et à mettre en œuvre des projets créateurs de valeur tout en étant disposé à prendre des risques, notamment sur ses biens personnels. Le niveau élevé d’engagement et d’énergie du dirigeant influence donc très fortement la culture de l’entreprise et les préférences managériales qui en découlent. Typologies de leadership Le leadership de « dirigeance » fait référence aux travaux de Frank Bournois et de ses collègues sur l’ensemble des difficultés rencontrées par l’équipe dirigeante d’une entreprise dont aucun des membres ne détient une part significative du capital. Ce leadership est caractérisé par la capacité de ces membres à élaborer une vision à long terme de l’activité, à traduire cette vision en stratégie et à convaincre les actionnaires et de tout ou partie du corps social du bien-fondé de cette stratégie. Une part significative de la légitimité du leadership provient de la pertinence et de la cohérence des décisions des acteurs de la dirigeance. Le leadership « managérial » tire sa légitimité du comportement du manager et de la façon dont sont interprétées et appliquées les directives et les priorités dans le travail. Cette légitimité sera d’autant plus grande que la confiance et le respect caractérisent les relations entre les différents acteurs concernés par l’action managériale. Le leadership « d’expertise » tire sa légitimité d’un niveau de connaissances particulier d’une personne responsable ou non d’une équipe de collaborateurs. Cette légitimité peut être une reconnaissance interne (ex : le plus doué d’entre nous) ou une reconnaissance externe (ex : un ingénieur primé par la profession). Capacité de communiquer et rhétorique Les études de rhétorique ont développé un modèle de leadership[8] fondé sur les technologies d'argumentation (dans les travaux de l'Américain Robert Hariman[9] et du franco-sudafricain Philippe-Joseph Salazar[10]). Théorie du cercle d'or L 'origine de l'acceptation, de l'adhérence d'un sujet à une idée, une croyance, un concept, serait d'origine biologique [réf. souhaitée] Comment certaines personnes arrivent à nous faire adhérer à leur idées, doctrines, produits etc. alors que d'autres ne nous donnent pas les moyens, l'envie de les suivre ? Une coupe transversale du cerveau humain laisserait entrevoir trois cercles concentriques. Le néocortex, zone cérébrale responsable du traitement de l'information de manière rationnelle, analytique, de nos pensées et de notre langage, le cerveau limbique, lieu de traitement des émotions et sentiments, aussi responsable du comportement humain, et de la prise de décision. Quand une personne veut convaincre, du point de vue biologique, une activation du cerveau émotionnel (limbique) est nécessaire lors de la communication. Lorsque nous communiquons de l'extérieur vers l’intérieur c'est notre néocortex qui capable de comprendre une immensité d’explications complexes, comme des procédures, des calculs, des statistiques, des produits etc. mais selon Simon Sinek cela ne conduit pas nos comportement. Il est donc nécessaire d'activer le cerveau émotionnel afin d'essayer de faire naitre en nous une croyance - dans le cas où nous adhérions à cette croyance évidemment - qui nous fasse croire en ce que le leader croit. Le néocortex représente le "Quoi" et le "Comment" ce qui ne nous mène à comprendre ce qu’un vrai leader peut communiquer. Le cerveau limbique lui représente le "Pourquoi" ce qui mène à nos comportements et prises de décisions. La théorie des traits La recherche des qualités, ou des traits, qui caractérisent un leader, date de l’antiquité. Les écrits philosophiques, de La République de Platon, aux Vies parallèles des hommes illustres de Plutarque, ont exploré la question : « Quelles qualités distinguent un individu en tant que leader ? » Cette question a pour origine la reconnaissance de l'importance du leadership, et la supposition que le leadership est ancré dans les caractéristiques que certains individus possèdent. L 'idée, que le leadership serait fondé sur des attributs individuels est connu comme « la théorie des traits ». Au ݐݟݐe siècle, de nombreux travaux, en particulier ceux de Thomas Carlyle et Francis Galton, traitèrent en profondeur cette théorie. Dans Les Héros, le culte des héros et l’héroïque dans l'histoire, Carlyle identifie le talent, les compétences, et les caractéristiques physiques des hommes de pouvoir. Dans Le Génie héréditaire, Galton examine la transmission des qualités de leader dans les familles d'hommes de pouvoir et conclut que leadership est héréditaire. Autrement dit, que le leadership est inné, pas acquis. Cette vision du leadership domina le début du ݐݐe siècle. De nombreuses recherches furent menées, avec pour objectif d'identifier l'ensemble des traits caractérisant un leader. Mais l'hétérogénéité des résultats obtenus empêcha d'établir une liste unique des qualités, de hiérarchiser l'importance de ces qualités et d'identifier les liens qu'elles possèdent entre elles[11]. Ces défauts firent que la théorie des traits perdit en popularité à la fin des années 1940, au profit de la théorie du leadership situationnel. Théories Mais, au début des années 2000, la théorie revint à la mode, grâce au modèle des Big Five. La simplicité et la cohérence de cet outil permirent de traiter beaucoup des critiques faites précédemment à la théorie des traits. Les recherches montrèrent que l'émergence du leadership est facilitée par la présence de forts niveaux d'ouverture, de conscience et d'extraversion ainsi que d'un faible niveau de névrosisme. Max Weber Une infime partie de l'œuvre de Max Weber dans son étude[12] sur les rapports entre l'éthique protestante (particulièrement le puritanisme postcalviniste et son affirmation que la réussite matérielle individuelle est un signe de prédestination et de la grâce divine) et l'esprit du capitalisme qui s'est développé et épanoui à partir de l'Europe du Nord, entre les ݐݒݟݟe et ݐݟݐe siècles. Pour compléter son tableau des catégories déterminant et expliquant les phénomènes sociaux, Weber élabore, à côté des types idéaux d'organisation, des modèles conceptuels des activités sociales, et des éthiques et de domination. D'après Max Weber, il existe trois types de dominations : La domination traditionnelle : le pouvoir est légitimé par le fait que ce sont les coutumes établies et acceptées, uploads/Management/ leadership-wikipedia 1 .pdf

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  • Publié le Jui 13, 2022
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