Voie indirecte Pour atteindre la compréhension, l’enfant doit passer par des ét

Voie indirecte Pour atteindre la compréhension, l’enfant doit passer par des étapes intermédiaires. Voie directe Réunir les conditions les plus favorables pour que l’enfant ressemble à un lecteur adulte. Méthode synthétique ou syllabique Méthode globale ou ideovisuelle Méthodes analytiques à départ global Méthodes mixtes Méthode de reconnaissance orthographique • conception réductrice : réduire au maximum les difficultés que l’enfant va rencontrer dans son apprentissage : au niveau linguistique, psychologique, phonologique, contenu et méthode • décomposition du tout en éléments simples. • aboutir à des atomes. • procédure par synthèse de lettres • connaissance des lettres, des syllabes et des mots. • stratégie d’acquisition de voyelles puis de consonnes (livrets abécédaires). • combinatoire. • de la répétition naît la mémorisation. • potentialités de l’enfant : connaissance de la langue orale donc de la phonétique donc recherche de classification de sons • attention focalisée sur la relation oral-écrit et sur le lien entre connu (langue orale) et inconnu (langue écrite). • étude des fréquences des sons et des lettres dans la langue. • lecture à haute voix : être capable de tout sonoriser. • règles de prononciation de syllabes et exceptions très nombreuses. • tableaux phonétiques : prise en compte conscience de l’oral. • utilisation d’exercices structuraux : efficacité linguistique (sens) et efficacité pédagogique • mots écrits donnés à lire globalement à l’enfant : mots familiers, lus devant l’enfant par des adultes lecteurs. • situation de lecteur adulte ou compétent. • vrai texte à lire. • texte = loi des 80%. • culture de l’écrit. • acte de lire : étude des gestes physiques et intellectuels. • lecture silencieuse = efficacité. • empan : 20 signes chez un lecteur adulte. • ponctuation = aide pour la lecture. • persuader l’enfant de l’efficacité du code avant de lui demander un effort. • nécessité : atteindre un stock suffisant de mots qui devront être reconnus sans erreur : abondance du vocabulaire et des formes mémorisées. • gréement des mots : relation graphème-phonème. • aspect ludique de l’apprentissage • apprentissage non-directif : confiance aux capacités intellectuelles de l’enfant. • favorisation de l’anticipation à partir du sens et du contexte. • évaluation de la lecture basée sur la compréhension. • analyse = étape ultérieure, opération naturelle venant tout à la fin de l’apprentissage. 1. Méthode globale à analyse structurée suggérée : • l’enseignant n’intervient pas explicitement. • acquisition individuelle et autonome des outils de lecture. • favoriser la mise en valeur et la comparaison des syllabes ou des graphèmes au sein de la langue écrite et la comparaison des syllabes et des phonèmes par rapport à la langue orale. • grand nombre d’exercices. 2. Méthode globale à analyse structurée occasionnelle : • l’enseignant attend les réaction des enfants, il saisit une remarque faite par un enfant pour montrer explicitement les règles de la combinatoire. • l’enseignant profite de toutes les occasions pour susciter l’analyse. • l’enfant prend conscience seul des règles de la combinatoire en les déduisant. • départ = phrase globale. • phase à dominante analytique. • phase où l’on étudie les éléments que l’on a isolés, dans la phase précédente, pour les combiner entre eux afin de composer des syllabes, des mots, des phrases. • dominante phonétique ou dominante graphématique. 1. Méthodes globales pures : • plus motivant et stimulant pour l’enfant de lire des phrases et des mots globalement. • pas d’effort de combinatoire. • l’enfant apprend des dessins de mots par coeur. • beaucoup d’échecs. 2. Méthode idéo-visuelle : • observation du mouvement des yeux du lecteur compétent (empan). • accès direct au sens. • mobilisation d’automatismes, de réflexes. • lecture silencieuse : plus directe, plus fonctionnelle et plus efficace. • donner des repères au niveau de la superstructure de l’écrit (les mots) et entraîner l’oeil (empan). • anticipation. • importance du sens. • outils d’apprentissage construits par les enfants. (sens) et efficacité pédagogique (motivation). • épreuve de communication. • textes étudiés : lieux décrits miniaturisés, temps sans épaisseur ou sans durée, psychologie quasiment inexistante et sentiments stéréotypés. • compréhension = aboutissement naturel. • amélioration pédagogiques dans le domaine de l’image et de la typographie. • départ oral • association graphème-phonème • mots formés se manifestant sous des formes assez rares dans la langue. • phrases qui ont généralement peu de liens sémantiques entre elles et qui n’amorcent pas un véritable récit. • faire croire à l’enfant que lire c’est seulement faire correspondre des graphèmes et des phonèmes. • problème de la non- décontextualisation. • mots mémorisés par coeur d’où saturation. • favoriser la dysorthographie ou la dyslexie. 3. Méthode globale à analyse structurée différée : • alternance entre global et recherche des syllabes. • intervention systématique de l’enseignant après une étude globale. • part prépondérante à la lecture mentale et visuelle. • importance accordée au sens. • exercices : recherche imposée d’un type de syllabes. 4. Méthode naturelle à départ global de Freinet : • importance de l’écriture du texte. • apprentissage centré sur l’enfant. uploads/Management/ methode-de-lecture1.pdf

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  • Publié le Aoû 12, 2021
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