QCM – AUDIT – S5 1. L’audit est : A. Un examen professionnel. B. Une sorte de v

QCM – AUDIT – S5 1. L’audit est : A. Un examen professionnel. B. Une sorte de vérification. C. Un type de contrôle de gestion. D. Un processus méthodologique. 2. Est un audit opérationnel : A. L’audit marketing B. L’audit social C. L’audit comptable et financier D. L’audit stratégique E. L’audit environnemental 3. L’audit comptable et financier est : A. Un audit interne B. Un audit externe C. Un audit légal D. Un audit contractuel E. Aucune réponse juste 4. L’audit légal est: A. Réalisé par un commissaire au compte B. Imposé par la loi C. Réalisé par un salarié de l’entreprise D. Aucune réponse juste 5. Les sociétés concernées par l’audit légal sont : A. Toutes les sociétés anonymes B. Toutes les SARL C. Les SARL dont le CA dépasse 50 Millions de DH D. Toutes les SNC 6. Sont obligées de désigner deux commissaires aux comptes : A. Toutes les sociétés anonymes B. Toutes les SARL C. Les SARL dont le CA dépasse 50 Millions de DH D. Les SA et SCA qui font appel public à l’épargne 7. L’audit interne vise : A. A exprimer une opinion sur les comptes de l’entreprise B. A apprécier les performances des différentes fonctions de l’entreprise C. A certifier les comptes de l’entreprise D. A émettre une opinion sur la régularité, la sincérité et l’image fidèle des comptes de l’entreprise 8. L’audit comptable et financier vise : A. A exprimer une opinion sur les comptes de l’entreprise B. A apprécier les performances des différentes fonctions de l’entreprise C. A certifier les comptes de l’entreprise D. A émettre une opinion sur la régularité, la sincérité et l’image fidèle des comptes de l’entreprise 9. Un auditeur interne peut être un: A. Salarié de l’entreprise. B. Commissaire aux comptes. C. Intervenant externe. D. Etudiant. E. Aucune réponse 10. Une norme peut être : A. Une règle B. Une loi C. Une procédure D. Un risque 11. Une norme peut être : A. Interne B. Externe C. Contractuelle D. Réglementaire 12. Un client qui impose à son fournisseur un niveau de qualité donné : A. Une norme réglementaire B. Une norme interne C. Une norme contractuelle 13. Une entreprise qui exige à ses salariés de respecter certaines règles : A. Une norme réglementaire B. Une norme interne C. Une norme contractuelle 14. Le respect des dispositifs du code général de normalisation comptable : A. Une norme réglementaire B. Une norme interne C. Une norme contractuelle 15. Le contrôle interne est : A. Ensembles de mesures du contrôle comptable B. Une intervention ponctuelle C. Mis en place de manière permanente D. Fait partie de l’organisation 16. Les composantes du contrôle interne sont : A. Le système d’organisation B. Le système de preuve C. Le personnel D. Le système de supervision E. Les moyens de protection 17. Le contrôle interne est contrôlé par : A. Des auditeurs internes B. Des auditeurs externes C. La direction générale D. Aucune réponse 18. Les risques d’audits sont : A. Des risques de contrôle B. Des risques inhérents C. Des risques de non détection D. Des risques de gestion 19. La direction de l’entreprise est responsable : A. De la mise en place du contrôle interne B. De La qualité du contrôle interne C. Du risque de non détection D. Du risque de contrôle 20. Le risque inhérent est un risque lié à : A. La qualité di contrôle interne B. La nature de l’activité de l’entreprise C. A la spécificité de ses opérations D. A la nature de son environnement 21. Le risque inhérent est la responsabilité : A. De la direction de l’entreprise B. De l’auditeur C. Des salariés D. Aucune réponse 22. Le risque de non détection est la responsabilité : A. De la direction de l’entreprise B. De l’auditeur C. Des salariés D. Aucune réponse 23. «Le Doyen d’une faculté décide l’application d’une nouvelle procédure pour les achats de matériel informatique pour les professeurs : il n’est plus suffisant que la demande soit formulée par écrit par le professeur concerné, elle doit aussi être validée (signée) à la fois par le chef de département du professeur et par le vice-doyen chargé des équipements». A. Risque de contrôle B. Risque inhérents C. Risque de non détection D. Aucune réponse 24. Quel type de risque un auditeur essaie de réduire lorsqu’il décide de vérifier la totalité (et non pas juste un échantillon) des factures correspondantes aux ventes effectuée par l’entreprise auditée à un de ses clients les plus importants. A. Risque de contrôle B. Risque inhérents C. Risque de non détection D. Aucune réponse 25. «Les entreprises ABC et XYZ sont des fabricants de jouets. ABC compte une seule usine et commercialise ses produits à travers un seul distributeur. XYZ compte plusieurs usines localisées en différents pays, des plateformes logistiques de stockage et distribution et des dizaines de clients (essentiellement des grandes surfaces et des chaines de magasins de jouets)». A. Risque de contrôle B. Risque inhérents C. Risque de non détection D. Aucune réponse 26. Un audit comptable et financier est: A. Un contrôle de financement. B. Un contrôle des documents comptables. C. Un contrôle de performance des fonctions de l'entreprise. D. Est un contrôle fiscal. 27. Un audit opérationnel peut être: A. un audit financier. B. Un audit d'achat. C. un audit social D. un audit de financement 28. Un audit opérationnel: A. vise à évaluer la sincérité et la régularité des documents comptables. B. vise à assurer le respect des principes comptables. C. vise à certifier les comptes. D. Aucune réponse 29. Le rôle d'auditeur financier et comptable est de: A. certifier les comptes. B. Assurer la sincérité et la régularité des comptes. C. Assurer le bon fonctionnement de toutes les fonctions de l'entreprise. D. Donner son opinion sur les comptes 30. Le rôle d'auditeur sociale est de: A. évaluer la procédure de recrutement B. Assurer la performance de fonction ressources humaines C. évaluer le climat social D. licencier un salarié non rentable E. élaborer un processus de recrutement. 31. Un commissaire aux comptes doit êtres: A. Un auditeur opérationnel. B. Un auditeur financier et comptable. C. Un auditeur externe. D. Un expert comptable. E. Un certificateur des comptes. 32. l'audit est: A. un examen exhaustif. B. un examen professionnel C. un commissariat aux comptes. D. est un type de contrôle E. est un contrôle de prévention des risques 33. L'audit se base sur: A. les normes. B. les standards. C. les procédures. D. les impressions personnelles. E. des références 34. L'auditeur se raisonne en termes de: A. faits B. conséquences C. risques D. prévisions. 35. Le rôle d'un auditeur interne est: F. A: certifier les comptes. G. B: Donner son opinion sur les comptes. H. C: évaluer les procédures I. D: aider l'entreprise à maîtriser ses risques. 36. L'audit interne: A. entre dans le cadre de la politique du contrôle interne B. est un audit conseil C. est un contrôle prévention D. est un examen dépendant. 37. Les étapes de la démarche de l’audit se font dans l’ordre suivant : A. Examen des comptes, Evaluation du contrôle interne, et Prises de connaissance de l’entreprise, B. Prises de connaissance de l’entreprise, Evaluation du contrôle interne et Examen des comptes C. Evaluation du contrôle interne, Prises de connaissance de l’entreprise, et Examen des comptes 38. La prise de connaissance de l’entreprise : A. Est la première phase dans la démarche de l’audit B. Vise la compréhension de l’environnement de l’entreprise C. Vise à comprendre les spécificités de l’entreprise auditée D. Vise à valider les comptes et documents financiers 39. L’évaluation du contrôle interne : A. Est effectuée par la direction générale B. Est la dernière étape dans la démarche de l’audit C. Vise à identifier et apprécier l’efficacité des dispositifs et procédures mis en place pour protéger le patrimoine de l’entreprise D. Vise à corriger les faiblesses du contrôle interne 40. La régularité est : A. L’objectivité et la bonne fois dans l’application des lois et procédures B. La conformité entre l’image donnée par les états de synthèse et la réalité C. La conformité aux règles, principes et lois en vigueur D. Aucune réponse 41. La sincérité est : A. L’objectivité et la bonne fois dans l’application des lois et procédures B. La conformité entre l’image donnée par les états de synthèse et la réalité C. La conformité aux règles, principes et lois en vigueur D. Aucune réponse 42. L’image fidèle est : A. L’objectivité et la bonne fois dans l’application des lois et procédures B. La conformité entre l’image donnée par les états de synthèse et la réalité C. La conformité aux règles, principes et lois en vigueur D. Aucune réponse 43. La prise de connaissance de l’entreprise a pour objectif : A. D’identifier les forces et les faiblesses du contrôle interne B. De collecter le maximum des informations sur l’entreprise et son environnement C. D’identifier les risques spécifiques de l’entreprise D. D’identifier les domaines et les systèmes significatifs E. De planifier la mission de l’audit uploads/Management/ qcm-2021 2 .pdf

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  • Publié le Mar 09, 2021
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