1 Rapport de stage d’application Lieu de stage : Lukus - Larache Encadré par :

1 Rapport de stage d’application Lieu de stage : Lukus - Larache Encadré par : Mme. Amansou Saida Année universitaire 2020/2021 Université Mohammed Premier École Nationale de Commerce et de Gestion Oujda Transport de personnel Projet réalisé par : DRHOURHI Soufiane 2 Je tiens tout d’abord à adresser mes remerciements à toute l’équipe LUKUS, qui ont mis tout en œuvre pour que mon stage se déroule dans les meilleures conditions. Merci également pour leurs soutiens et leur collaboration durant toute la période du stage. Je leur témoigne ma reconnaissance ainsi qu’à tous les membres des autres réseaux partenaires, dont la fréquentation a été très riche. J’ai eu l’occasion d’être associé votre travail et d’acquérir de nouvelle connaissance mais aussi compétences. Celles-ci me seront fort précieuses pour la réalisation de mes projets à venir. Enfin, je remercie tous ceux qui m’ont aidé durant la recherche de stage, pour leurs disponibilités. Un mot particulier pour Madame Amansou Saida mon encadreur, pour son suivi et toutes ses recommandations. Remerciemment 3 - Chapitre 1 : Le domaine du transport : Section A : L’urbanisation du transport dès la préhistoire A. Du portage humain à la roue B. Le premier véhicule C. Les roues D. Les voyageurs au Moyen-Age E. Les pèlerinages Section B : Le secteur du transport au Maroc Section C : Le transport routier de personnes - Chapitre 2 : Présentation de l’entreprise : Section A : Information générale Section B : Rôle et structure Section C : Les services A : Le service transit B : Le service commercial - Chapitre 3 : L’objectif et action lors du stage : Section A : Contexte Section B : Transit Section C : Le service commercial Section D : Déroulement du stage - Conclusion Sommaire 4 1. 1. CGEM : Confédération générale des entreprises du Maroc CGEM : Confédération générale des entreprises du Maroc 2. TRV : Transport Routier de Voyageurs TRV : Transport Routier de Voyageurs 3. TPE : Entreprise de moins de 20 salariés 4. PME : Entreprise de moins de 500 salariés 5. Fret national : transport de marchandise 6. METLE : ministre de l’équipement du transport, de la logistique 7. ICE : identifiant commun de l’entreprise 8. RC : registre de commerce 9. IF : identification fiscale 10. CNSS : caisse nationale de sécurité sociale 11. SARL : Société commerciale ou la responsabilité des associés est limitée au moment de leurs apports. Liste des abréviations 5 Schéma 1 : LE FONCTIONNEMENT DE TRANSIT P18 Schéma 2 : SONDAGE DE LA SATISFACTION DES CLIENTS P20 Liste des figures 6 TABLEAU 1 : Paris, XVIIe siècle : carrosse à cinq sols de Pascal, premier transport urbain en commun. P7 TABLEAU 2 : Premier tramway hippomobile de Londres mis en service en 1861. P10 TABLEAU 3 : Capacité en passagers des différents modes de transport. P12 TABLEAU 4 : Location de véhicule avec chauffeur P13 TABLEAU 5 : Transport du personnel P13 TABLEAU 6 : Transport routier de la personne P13 TABLEAU 7 ET 8 : Lukus P14 /P15 Liste des tableaux 7 CHAPITRE I : Le domaine du transport SECTION A : L’urbanisation du transport dès la préhistoire : Si on étudie le mot « transport » comme la fluctuation d’une marchandise impliquant une réforme du propriétaire, on imagine que son début date de la fabrication des premiers outils pour cultiver les sols et de la sédentarisation de l’Homme. C’est en Mésopotamie et dans le bassin méditerranéen que les historiens ont exposés les sites les plus avantageux. Ils nous affirment que, sur ces territoires, c’est au cours de la période néolithique que les derniers hommes de la préhistoire changèrent absolument leur mode de vie. De nomades, ils devinrent sédentaires, d’où la naissance de l’agriculture et de l’élevage. Dès lors, les civilisations se sont efforcées d’établir des voies de communication et de créer des moyens de passage. Les premiers transports voyaient le jour comme : A- Du portage humain à la roue : Le portage humain reste le moyen de transport terrestre le plus ancien. Par conséquence, les animaux ont étaient utilisé comme main-d’œuvre par l’Homme. Le bœuf sera utilisé pour tirer 8 des charges. L’âne, domestiqué et servira à tirer et à porter des charges ou des personnes. Le cheval, animal de fortune sera plus fréquemment utilisé par la suite. L’utilisation de la roue a accordé, en Mésopotamie, de tirer des charges beaucoup plus massif. B- Le premier véhicule : On trouve la première déclaration d’un véhicule à roues, sur une tablette du temple d’Inana, à Erech, en basse Mésopotamie. Cette tablette, marquée d’environ 3500 ans avant notre ère, contient un pictogramme très schématique désignant un chariot à deux roues. Des affirmations plus évidentes attestent de l’emploi de roues montées sur essieux à l’aube du IIIème millénaire en Mésopotamie et dans l’Indus. C- Les routes : Conçu par un nombre important d’esclaves, les premières routes émergent très tôt dans l’Histoire. Elles ont plus ou moins concordé avec l’exploration de la roue. Non seulement utilisées pour assurer l’alimentation des villes de Mésopotamie et le commerce terrestre, elles servent alors à des missions militaires. Dès le IIème millénaire, les chinois génèrent une chaîne routière dont le pôle principal est la Route de la soie, la plus longue du monde pendant des milliers d’année. En Amérique, les Incas élaborent aussi un dispositif de pistes à travers les Andes. Les pharaons, tout comme les Babyloniens, détient un réseau. Les premières grandes routes ne nous sont pas connues par des cartes, mais par des trajets dont l’auteur donne la liste des étapes avec, occasionnellement, le temps du circuit qui l’éloigne. Il devait s’agir principalement de routes de terre, sans arrangement ni réparation particulier, exclusivement sur de très courts tronçons, empierrés ou asphaltés, utilisés pour des successions religieuses. Mais ce sont les canaux romaines qui ont le plus imprégné l’imagination occidentale, dont la voie Appienne, et la voie Flaminienne. D- Les voyages au Moyen Age : Le mot « voyage » se manifeste qu’au XVème siècle, bien que la civilisation médiévale intégrale, des nobles aux paysans, l’accomplissement continu ou bien on parle alors d’« itinéraire ». La présence elle-même est comparée à un va-et-vient : à chacun d’effectuer son pèlerinage de vie humaine. Les soldats, moines, les marchands ou encore troubadours prospectent un territoire qu’ils démarrent à connaître à l’aide aux cartes et aux récits des explorateurs. Ils se transportent pour commercer ou conquérir, éduquer et même informer. 9 Les infrastructures s’organisent : gîte, couvert, entretien des routes, et protection des explorateurs se mettent en place le long des principaux vecteurs. Transports tandis que la chaine routière romaine s’éteint, de nouveaux chemins de communication ajustés à l’essor du commerce se créent aux 11ème et 12ème siècles. Ces chemins nés des procédures locales constituent un réseau secondaire dont la disparition d’entretien engendre une lenteur considérable des parcours (10 à 15km par jour). Quand les charges sont trop conséquentes, les bateaux prennent le relais sur les aqueducs et les rivières. La marche est commise par les plus démunis ou par les pèlerins en quête de bénédiction. Une personne avec plus de possibilité utilise des bêtes comme l’âne, le cheval ou la mule. Les chariots à quatre roues luxueusement équipées véhiculent les aristocrates, exclusivement les femmes enceintes et les personnes âgées. E- Pèlerinages : Les pèlerins de toutes circonstances sociales partent en Terre Sainte. Le voyage est long et dur, certains doivent céder leurs biens ou les mettre en dette. Le transport de ces excursionnistes diligent est une entreprise bénéficiaire : dès le XIIIème siècle des voyages arrangés sont proposés de Venise à Jaffa aller-retour, avec séjour à Jérusalem. Le voyageur le plus enrichis ne se contente pas de découvrir les lieux saints : sur les pistes d’Egypte et de Syrie, il explore le caravansérail. Ce type de constitution, architecturale autour d’une cour centrale, contient des cellules à l’étage pour la nuit ; il protège les caravanes avec leurs bêtes et le gîte est continuellement gratis. Les transports sont apparues très tardivement dans l’histoire, puisque l’éloignement entre les villes sont restées tout de même très faibles et sont utilisé que pour la forme de marche et d’équitation. Les tous premiers déplacements en tant que tels furent l’apanage de riches. Ensuite la location de transport en commun est apparue, fin les services de transport en commun. 10 SECTION B : Le secteur du transport au Maroc Dans un environnement de plus en plus concurrentiel, le Maroc a plus que jamais soif d’un arrondissement de transport concurrentiel et énergétique en phase avec les chantiers structurants engagés et les grandes reconstitutions entamées par le Maroc dans l’éventualité d’améliorer la compétitivité et l’efficacité de son tissu économique. En effet, ce secteur total des valeurs ajoutées et 10,3% de celle des activités tertiaires en 2011 aux prix constants et contribue à la dimension de 5,8% du. Sa valeur ajoutée est passée de 19,6 milliards de dirhams (+/- 1,71 milliards d’euro) en 2000 à 33,8 milliards de dirhams (+/- 2,94 milliards d’Euro) en 2011, soit une uploads/Management/ rapport-de-stage-drhourhi-soufiane.pdf

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  • Publié le Mai 16, 2022
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