Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

Au moyen âge la philosophie est très diﬃcile et technique, d’où le fait qu’elle

Au moyen âge la philosophie est très diﬃcile et technique, d’où le fait qu’elle souvent mise de côté lors de cadre chronologique. Socrate (470-399): L'invention de la démocratie amènera aussi les premiers sophistes. Et on recherche à l’époque les meilleures éducateurs et se revendiquent l’être. Et Socrate et Platon viendront créer une certaine concurrence avec ceux-ci. —> un récit sur la philosophe morale et politique. Les présocratiques: Cette étiquette est un jugement de valeur, « qui n’a pas encore atteint le niveau de… ». —> un récit de questions sur la métaphysique ou sur la théorie de la connaissance. Philosophes souvent antérieur (Thalès, Anaximandre, Anaximène, Héraclite…) à Socarte mais aussi contemporain (Démocrite). Le terme de présocratique introduit une rupture dans l’Histoire. C’est Platon qui en a fait une ﬁgure et un martyr de la philosophie occidentale. Et une question se pose, où ﬁnit le mythe et commence la philosophie. Cette question a évolué au ﬁl des siècles. Certains historiens au XIXème envisage la naissance de philosophie comme une coupure radicale avec le mythe. Comme sciences et religion… où le mythe est souvent du mauvais côté. Lambros Koumbaritsis propose une interprétation diﬀérente entre mythe et philosophie. Il met en avant la rationalité du mythe en s’appuyant sur les travaux de l'anthropologue Ströze qui met en avant que certaines pensées « primitives » ne sont pas dépourvues de rationalité, elle est juste diﬀérente, sur une autre chaine. Se base aussi sur philologue et historien comme Venant et Detienne. Ils usent du structuralisme. Lambro propose une interprétation en mythe et philosophie, pour lui le mythe est engagé comme véritable outil intellectuel. Une technique qui permet de rendre le monde compréhensible, de le mettre en ordre avec hiérarchisations… Une de ses hypothèses est que le mythe va utiliser un schéma de la généalogie et de la parenté comme une technique qui permet de mettre en ordre la réalité. D’établir un rapport entre cause et conséquence. Les créateurs de mythes établissent dans le récits des éléments contemporains. Par exemple quand ils disent que le soleil a engendré cela ce n’est pas qu’il est son père, c’est une image pour introduire un rapport de hiérarchie. L’envisager comme un outil de compréhension à la réalité réduit le fossé avec le discours philosophique. Pleins de structures philosophiques restent en vie même après la création de la philosophie. Chez Parménide par exemple, qui est un jalon dans le discours philosophique et de la contradiction (une chose est blanche ou pas blanche pas les deux). C’est l’ambivalence et la logique du tiers exclu. Là où il introduit ce fondement, c’est un poème mythologique. Ce poème modélise donc toutes sortes de structures propre au mythe. Comme chez Platon qui introduit sans cesse d’interrompre ses dialogues pour raconter des mythes pour expliquer ce qui lui tient le plus à coeur en terme de philosophie et expliquer les passages plus ambigües et complexe. La pratique du mythe accompagne à la naissance de la philosophie et continue à l'accompagner par la suite. On va plutôt maintenant s’intéresser à étudier la comment la philosophie naissante travaille le mythe et on va passer dans un autre univers et type de discours au lieu de chercher une rupture. Ensuite le mythe ajoute aussi une dimension épistémologique (discours/étude qui a pour objet la science, le savoir) qui est un concept étudiant la façon dont le savoir se construit, etude des procédés de connaissance. Etude de savoir dans sa genèse… Par expansion, elle designe la philosophie des sciences. Pour ce qui est de l’adjectif épistémologique, c’est ce qui relève de l’épistémologie, de la philosophie des sciences, un sens qui fonctionne en opposition au sens d’ontologique (ce qui relève du réel et de la réalité elle même) là où épistémologique à pour but de la comprendre, essayer de la toucher sans pour autant y être et la toucher. Elle nous dit quelque chose quelque chose d’utile à la réalité et qui s’y rapproche sans pour autant l’être. On va essayer d’observer les outils que les premiers philosophes utilisent pour comprendre la réalité (dans ces premiers outils, se trouvent les mythes et les concepts. Idée général et abstraite pour rendre la réalité pensable et Page % sur % 1 24 rendre un ordre, une unité). Comment rendre cette unité? Par classiﬁcations? Le concept veut rendre une constance dans la réalité dont les philosophes constate qu’elle est en mouvement. Concept: concept d’un et de multiple, d’etre et de non etre, concept vide et atomes, concepts du même et de l’autre, concept d’idée ou de formes, de substances et d’attribut, de puissance et d’acte, de principe d’élément et de cause (Aristote), devenir et mouvement. Tous ces mouvements peuvent être rattachés à des philosophes et des mouvements, des écoles philosophiques. La majeure partie de ces concepts sont repris et discutés dans la métaphysique d’Aristote, en particulier le livre Δ. Ce livre vient d’un problème de classement. Ces disciples ont rangés ces traités après les traités de physique d’où le mot métaphysique. Ensemble de traités numéroté par livre/lettre. Dans le livre, ensemble de déﬁnitions et catalogue des concepts fondamentaux de la philosophie grecque de l’Antiquité. La philosophie d’Aristote a fonctionné comme une récapitulation de tout ce qui s’est fait avant lui. Aristote s’interroge à chaque fois de l’usage des textes qu’il essaie de déﬁnir pour essayer de penser tel ou tel aspect de la réalité. Il a un double mouvement, d’abord il passe en revue la multiplicité avant de mettre en place les grands axes et les idées fondamentales. Premiere notion d’ἀρχη (commencement et commandement), le principe. Sa philosophie est comme une enquête sur les principes car le philosophe recherche les premiers principes. Dans le texte, il emprunte un mot grec pour l’insérer dans une réﬂexion pour lui apporté une portée nouvelle, celle d’un concept philosophique. Beaucoup de concepts philosophiques tombent dans la langue courante mais pour les philosophes grecs tous ces mots n’étaient pas des termes techniques c’est eux même qui l’ont construit. Ils les ont créés par termes nouveaux ou de la langues quotidienne. Substantivé verbe à l’inﬁnitif, adjectif… L’étant, le devenir, le continu… Il va répertorié tous les discours où l’on parle d’archè et les réunir à quelques grands axes généraux. Notes de cours pas des textes d’apparat destinés à être lus. Ces textes essoteriques ont tous été perdus. « On appelle principe ». Il s’agit de faire un relevé des diﬀérents notions, geste caractéristique du style philosophique d’Aristote. Il est resté célèbre par cette démarche en s’attaquant à la notion d’être ou d’étant, une des plus importantes de la philosophie. Il est resté célèbre par cette classiﬁcation et recherche qui l’a amené à établir une liste de catégories. Désigne l’ensemble des façons dont on peut attribuer de l’être à quelque chose dans un jugement. Le jugement est une proposition prédicative où S est P . Le verbe intervient dans les diﬀérents jugements qu’on peut formuler. Tout cela l’a conduit à une thèse, la plurivocité de l’être. Plurivoque, qui se dit en plusieurs sens. Cette thèse dit que l’etre possède plusieurs signiﬁcations. En opposition à l’univocité de l’être qu’on attribue à platon. Chez qui être est une idée, une forme. Tout ce qui n’est pas une idée tombe au cote du non-être alors que chez aristote est plus nuancé. Le premier sens qu’il dégage est pris à partir d’une chose quotidienne (debut du départ d’une route). L’archè est le point de départ d’un mouvement. On envisage le point de départ qui va permettre à ce processus de se dérouler de la meilleure manière possible. L'apprentissage est pour lui la relation d’un individu qui acquiert une certaine connaissance avec une réalité à apprendre. Il y a donc plusieurs voies pour developper cet apprentissage avec cette idée d’archè. Cette réalité est articulé, structuré avec un ordre qui lui serait propre et on pourrait penser que la meilleure façon de la connaitre serait de suivre ses articulations mais aristote souligne que dans certains cas ce n’est pas en partant de son point de départ intrinsèque que le processus d'apprentissage se déroulera de la meilleure façon. Du point de vue d’un mot on devrait commencé des lettres qui donnent un certain sens quant à son apprentissage. Alors soit on apprend aux enfants à déchiﬀrer les lettres puis on leur apprend à déchiﬀrer les mots. Apprentissage qui coicinde au point de départ d’Aristote. Mais on peut aussi apprendre le mot dans son intégralité dans son ensemble qui fait sens puis apprend à découper les lettres. Ici le point de départ n’est pas le point de départ à connaître. On part du résultat et pas de ce qui est premier. On part de ce qui est premier pour nous. Premier en soi (ontologique) et pour nous (épistémologique). Une troisième façon est envisagée, les processus dans les diﬀérents Page % sur % 2 24 domaines. Dans la fabrication artsisanale avec la construction bateau maison(fondation quille…) … ensuite il y a le domaine du développement de l’être vivant (avec la genèse d’un organisme et l’organe qui constitue le point de uploads/Philosophie/ chronologie-de-la-phlilosophie.pdf