1/35 Par Serge Nahon, le 28 octobre 2008 Comment les a-t-il trouvés? Sont-ils r

1/35 Par Serge Nahon, le 28 octobre 2008 Comment les a-t-il trouvés? Sont-ils réels ou seulement hypothétiques ? Quelle est la justification de leurs noms : « physique », « physico-biologique » et « physico-psycho-biologique » ? Quelle est la justification de leurs fonctions respectives ? Résumé : Emile Pinel, mathématicien, biologiste et thérapeute a modélisé mathématiquement le fonctionnement de la cellule vivante. Ses équations l’ont conduit à émettre l’hypothèse de l’existence d’un champ unitaire H constitué de 3 champs H1, H2, H3 ayant chacun 3 composantes. En conséquence H, pour le moment hypothétique, a 9 composantes. Puis Pinel cite des travaux prouvant l’existence des champs intracellulaires, magnétiques et électriques. Ce texte est une présentation de ces trois champs et de leurs caractéristiques. La justification des propriétés des 3 champs est liée au comportement des équations. Ainsi le champ H2 apparait dans les équations sous une forme que les mathématiciens appellent « imaginaire ». Ces nombres « imaginaires » ont des applications très concrètes dans beaucoup de domaines (en courant alternatif par exemple) aussi Pinel est amené à considérer que H2 a des « propriétés dont certaines sortent du domaine réel », c’est pourquoi il lui attribue la fonction « mémoire ». Selon Pinel, H2 contient le programme intracellulaire, c’est le donneur d’ordres. Ces ordres sont transmis par le champ H3 au champ H1, magnétique, qui les exécute. Si l’un de ces champs est perturbé par une cause interne ou externe, physique, biologique ou psychique, alors la cellule ne fonctionne plus : c’est la maladie. Ce modèle suggère donc une « thérapeutique par les champs ». Ce type de thérapeutique – fondée sur une théorie différente - existe notamment en Chine et en Russie, depuis des années. Remarque : Le lecteur constatera que des sites internet sont cités dans ce texte. Il est possible que certains ne soient plus en ligne, ce qui arrive quelques fois. Essai de présentation des champs cellulaires H1, H2 et H3 d’Emile Pinel. 2/35 Table des matières Les questions que l’on peut se poser : ................................................................... 3 Comment Pinel a-t-il trouvé ses trois champs ? .................................................... 4 La notion de nombre complexe ........................................................................ 4 L’interprétation de l’équation (X’) ........................................................................ 6 Remarque sur l’interprétation de l’équation (1) .............................................. 7 Le nom des trois champs. .................................................................................... 8 Le champ H1 : .................................................................................................. 8 Le champ H2 : .................................................................................................. 9 Qu’est ce que le « domaine réel » pour Pinel ? ............................................................... 10 Le champ H3 : ................................................................................................. 11 La réalité des 3 champs. ...................................................................................... 11 La mesure des 3 champs H1, H2, H3 ................................................................. 12 Préliminaires : ................................................................................................. 12 Le champ H1 .................................................................................................. 13 Le champ H3. .................................................................................................. 13 Le champ H2 ................................................................................................... 16 Le fonctionnement des 3 champs : ..................................................................... 17 Deux « grandes questions » ................................................................................. 18 1/ le secret de la création : ............................................................................. 18 2/ l’origine du champ unitaire H : .................................................................. 18 Conclusion. .......................................................................................................... 19 Références ........................................................................................................... 20 Annexe 1 : Les nombres complexes. ................................................................ 21 Annexe 2 : Le circuit équivalent ..................................................................... 27 Annexe 3 : La forme de la molécule d’ADN à partir des 3 champs ............... 30 Annexe 4 : Survivance du champ H3 dans le modèle ADN ............................ 33 3/35 Les questions que l’on peut se poser : Pinel en modélisant le fonctionnement de la cellule vivante a abouti à l’hypothèse de l’action d’un champ unitaire H ayant 3 composantes H1, H2, H3 qui ont-elles mêmes 3 composantes, ce qui donne un ensemble de 9 composantes pour le champ unitaire H. La question que l’on peut se poser est de se demander si ce champ unitaire existe vraiment ou si il est seulement une grandeur mathématique permettant de créer un modèle de fonctionnement de la cellule vivante. D’ailleurs Pinel écrit dans « Vie et Mort », page 57: « les systèmes d'équations auxquels j'ai abouti constituent un “ modèle mathématique ” de la cellule qui permet de retrouver mathématiquement, sans les expliquer biologiquement, les phénomènes normaux ou anormaux constatés dans les cellules: bipartition, polynucléose, multiplication “ anarchique ”, régulation. » « Sans les expliquer biologiquement » : cette phrase peut suggérer que les champs en question ne sont que « mathématiques » et n’ont pas de réalité physique. Pourtant Pinel semble bien considérer, dans d’autres textes, que ces champs sont bien réels ! Le lecteur est alors un peu perdu… Qu’en est-il réellement ? Ces champs ont-ils OUI ou NON une réalité physique ? On est alors amené à se demander comment Pinel a trouvé ces champs H1, H2, H3, pourquoi il leur a donné des noms et des fonctions bien précises et enfin comment Pinel suggère que ces champs peuvent avoir une réalité physique, même si certaines de leurs composantes sont actuellement inaccessibles à nos moyens de mesure. Par ailleurs Pinel propose DEUX modèles de fonctionnement de la cellule. Un modèle plan qui conduit à la survivance du psychisme, représenté par le champ H3, après la mort de la cellule . Un modèle spatial qui conduit à la structure de la molécule d’ADN. Il est naturel de se demander si ces deux modèles sont cohérents ou non et notamment si le modèle spatial conduit lui aussi à la survivance des impondérables, c'est-à-dire du psychisme. Pour répondre à ces questions il est nécessaire de revenir aux équations qui vont être ici présentées le plus simplement possible. 4/35 Comment Pinel a-t-il trouvé ses trois champs ? Une explication simplifiée a été proposée dans mon article intitulé « Présentation succincte des travaux d'Emile Pinel (15/06/1906-10/05/1985) mathématicien et biologiste. ». Voici cependant un rappel de cette explication. Pinel a été amené à l’hypothèse de ses trois champs en étudiant le fonctionnement de la cellule vivante. Il montre que l’étude des mouvements dans le « très petit biologique », c'est-à-dire dans la cellule, peut être représenté par une équation. Cette équation porte le numéro (X’) dans son livre « Les Fondements..» page 207 Elle est reproduite ci-dessous : [(X’) représente en fait plusieurs équations à cause des indices i qui varient de 1 à 3. Pour simplifier le langage il sera toujours question d’UNE équation, étant sous entendu que pour les calculs réels il s’agit en fait de plusieurs équations.] Dans le noyau cellulaire se produisent des mouvements, il en est de même dans le cytoplasme qui entoure le noyau. On est ainsi amener à étudier le déplacement d’un point dans la cellule. C’est l’objet de l’équation X’ ci-dessus. En effet dans cette équation (X’) le terme ǧi, représente le déplacement d’un point à l’intérieur de la cellule, c’est donc une longueur , les grandeurs Ci1 et analogues sont des coefficients dimensionnels, « γT » est un terme lié à la période d’incubation « T » (qui est le temps nécessaire à la fabrication des globules blancs) et « γ » est un facteur un peu plus compliqué qu’il est inutile, ici, de développé plus avant. Il est très important de noter que les « i » de l’équation (X’) n’ont pas la même signification. Les « i » des coefficients Ci1 et analogues sont des indices mis en position supérieure (pour des raisons mathématiques) et ne correspondent pas du tout à une élévation au carré ou au cube ou à autre chose. Ce sont des indices tout simplement. Et surtout le « i » qui précède le coefficient Ci2 est lui, d’une toute autre nature, c’est le fameux « i », base des imaginaires. Cela est banal pour un étudiant en sciences, mais il est probable que pour certains lecteurs, ce terme « imaginaire », peut poser problème. Le paragraphe suivant donne une brève explication relative aux nombres « imaginaires » dont la généralisation conduit à des nombres dits « complexes ». La notion de nombre complexe. 3 2 1 ) (X' i i i i C T Sin iC T Cos C + − = Σ γ γ 5/35 (Ce chapitre peut évidemment être sauté par ceux qui connaissent ces nombres. ) Rappel : Pour ceux qui auraient oubliés leur algèbre élémentaire il est nécessaire de rappeler que tout nombre élevé au carré est toujours positif. Par exemple : 2 x 2 = 4 mais aussi (-2 ) x (-2 ) = 4 . Les nombres complexes ont été inventés au XVI° siècle pour que toute équation ait toujours une solution réelle …ou complexe. Exemple : L’équation x2+1=0 n’a pas de solution réelle, car quelque soit « x », positif ou négatif, on n’obtiendra jamais zéro ! L’idée est d’introduire un symbole « i » ( i pour imaginaire ) telle que i2= -1 . C’est évidemment une hérésie mathématique puisque tout nombre au carré est positif . Mais les algébristes italiens du XVI° ont décidé de continuer quand même [ car ils cherchaient à obtenir des théorèmes généraux du genre « une équation du deuxième degré a toujours 2 solutions » ou encore « une équation du troisième degré a toujours 3 solutions » et ainsi de suite.] Maintenant l’équation x2+1=0 peut être réécrite sous la forme équivalente x2= uploads/Philosophie/ les-3-champs-14.pdf

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