Société EUREK’ALL 76 rue Didot 75014 PARIS /Fax : 01 45 41 40 54 RC SIRET 402
Société EUREK’ALL 76 rue Didot 75014 PARIS /Fax : 01 45 41 40 54 RC SIRET 402 200 166 000 13 Cours Fascicule 1 Janvier 97 Cours Sté EUREK’ALL Introduction à l’Etude des Formes Cours de 1ière Année Il y eut la Grande Ourse, la Petite Ourse, Cassiopée, le Navire, la Croix du Sud, et beaucoup d’autres… Il en est une nouvelle : l’Imprévue. Elle suggère… Anne-Marie Branca ETUDE DES FORMES ET CONCEPT DE CHAMP DE COHERENCE Présentation pour néophytes INTRODUCTION Ce cours est pour la première fois rédigé. Il a été maintes fois dispensé depuis les années 1975. Il s’agit d’une présentation simplifiée qui sert de démarrage à ceux qui s’intéressent à ce qui se rapporte aux formes et à ce que nous développons depuis un certain nombre d’années et que nous appelons les Champs de Cohérence. Les développements théoriques ne seront pas abordés ici. Il faudra se rapporter pour en prendre connaissance aux ouvrages de Jacques Ravatin « Théorie des champs de cohérence »1 et de Jacques Ravatin et Anne-Marie Branca « Théorie des Formes et des Champs de Cohérence », ouvrage en cours de finition. Ce dernier permet d’entrer complètement dans cette théorie nouvelle qui renferme un modèle de la pensée. Beaucoup de congrès ont été organisés par le groupe ARK’ALL. Le dernier s’est tenu à Carnac en juillet 1996. Il a été organisé par Anne-Marie Branca et Bernard Menguy, celui-ci architecte à Carnac est membre de l’association ARKOLOGIE dont les créateurs sont Serge et Françoise Hennemann tous deux architectes. Ces personnes peuvent être contactées pour toute réalisation d’habitation de même que Luc Labat et Sophie Nouvel de la Sté Barka. Contact : ARKOLOGIE 77 rue de la République 93200 St DENIS 01 42 43 05 14 MENGUY Bernard 12 Ave des druides 56340 CARNAC 02 97 52 25 76 BARKA Architecture 31330 LAUNAC 05 61 85 77 76 Sté EUREK’ALL Mme BRANCA 76 rue Didot 01 45 41 40 54 1 Théorie des Champs de Cohérence, Edition Lacour, Nîmes 1992 BIBLIOGRAPHIE [1] Vladimir ROSGNILK, L’Emergence de l’Enel ou l’Immergence des Repères. Introduction à l’Etude des Formes et des Champs de Cohérence, Editions ARK’ALL Tomes I et II (1985), Tome III (1988), Tome IV (1990), Paris. [2] Jacques RAVATIN, Théorie des Champs de Cohérence , Edit. C. Lacour, Nîmes (1992). [3] Revue ARK’ALL Communication, Vol. I, fasc. 1-2-3, Vol. II, fasc. 1-2-3, Vol. III, fasc. 1-2-3-4, Vol. IV, fasc. 1-2-3-4-5, Vol. V, fasc. 1-2-3-4-5, Vol. VI, fasc. 1-2-3-4-5, Vol. VII, fasc. 1-2-3-4-5, Vol. VIII, fasc. 1-2-3-4-5, Vol. IX, fasc. 1-2-3. [4] Gilbert SIMONDON, Du Mode d’Existence des objets techniques, Edit. Aubier, Paris (1957). L’Individu et sa Genèse Physico-Biologique, Edit. P.U.F, Paris (1964). L’Individuation Psychique et Collective, Edit. Aubier, Paris (1989). [5] Louis BOUTARD et Armand HATINGUAIS, Retour aux Sources Méconnues, Tome I, Alger-Sèvres (1923-1963), Tome II, Alger-Sèvres (1923-1969). [6] Jacques Henry MINIER, La Vie Mancelle et Sarthoise, 19-26 (Mars -Avril 1996). [7] Abraham ELMALEH, Nouveau Dictionnaire Complet Hébreu-Français, Edit. Yavneh, Tomes I, II, III & IV, Tel-Aviv (1974). [8] Marc BEIGBEDER, Contradiction et Nouvel Entendement, Edit. Bordas, Paris (1972). [9] Enel, La Trilogie de la Rota ou Roue Céleste, Edit. Dervy-livres, Paris (1973). [10] Max PICARD, Le Monde du Silence, Edit. Presses Universitaires de France, Paris (1954). [11] François DUPUY-PACHERAND, Atlantis n° 229, (1965). [12] Georges BARBARIN, Dieu est-il Mathématicien ?, Edit. Astra, Paris (1945). [13] Jacques RAVATIN, Brevet n° 7821083, 13-07-1978, Paris. [14] Jacques BREYER, Terre Oméga ,Edit. Robert Dumas, Paris (1974). [15] Jacques RAVATIN et Anne-Marie BRANCA, Théorie des Formes et des Champs de Cohérence (à paraître). [16] Jean PAGOT, Les émissions de Forme, Edit. Maloine, Paris (1989). Chapitre I Les Formes vues par les Anciens et les Modernes Les formes sont liées à des repères ou sont elles-mêmes des repères. Le repère, pour cette étude, est fondamental. Il permet à l’observateur de décrire ce qui l’entoure. Il projette ses repères dans l’infiniment grand ou l’infiniment petit. Il se décrit lui-même par des repères. Le repère peut être un système d’axes à partir d’une origine et d’une unité de mesure ; il peut être d’ordre comparatif : meilleur que, plus beau que… Il peut même correspondre à une nature vague qui va permettre de donner une description plus précise. Il peut-être lié à la notion d’appartenance : à « contenu dans… ». Ce repère est important car nous allons postuler « l’existence sans repères ». Ainsi, dans la vie humaine, on utilise des concepts où n’apparaissent pas de mesure, pas de repères. Aussi trouve-t-on les concepts suivants : amour, bonté, douleur insoutenable aussi bien physique que morale, etc… Cette existence sans repères sera appelée « le Global », l’existence avec repères étant « le Local ». Il n’y aura qu’un Global alors qu’on pourra trouver des « Local ». Le monde décrit par la pensée rationnelle est un « Local » particulier, mais d’autres « Local » sont possibles. Des voyageurs en ont parfois décrit. Notre société refuse ces apports qu’elle ne peut assimiler. Tout ceci entre dans la « Théorie des Champs de cohérence2 ». On ne dira pas que les concepts d’amour, peur, douleur intense, état de bien être… sont dans le Global car il aurait alors une notion d’appartenance donc une mise en place de repères, mais plutôt liés au Global. « Etre lié » dans le langage des formes tel que nous le développons n’entraîne aucunement le concept des repères. 2 Voir les ouvrages de Vladimir Rosgnilk, Jacques Ravatin et A.M. Branca La forme est pour nous plus ou moins repérable - Elle peut être dans le Local par exemple le local usuel, c’est à dire tel qu’on nous l’a présenté, imposé -. Elle peut n’être que partiellement dans le local, « une autre partie » de cette forme étant liée au global -ici il faut faire attention car l’expression « une autre partie » entraîne une délimitation, donc un repérage ; il faut alors savoir que cette expression n’est pas adéquate, mais on peut l’employer sans crainte d’erreurs car on verra que pour tester une forme il est nécessaire d’en avoir une représentation correcte. La représentation, c’est à dire tout ce qu’on arrange comme connaissance, point de vue sur l’arrangement des concepts et concepts mêmes, est fondamentale. On peut se poser la question, à partir du moment où la forme est plus ou moins présente ou plus ou moins absente dans la structure espace-temps [ E - T ], c’est à dire est aussi fondamentale que cette structure, ce que l’on peut exprimer encore en disant que la forme émerge ou s’immerge dans la structure E-T : comment les Anciens voyaient-ils les formes ? - les Anciens étant les Grecs, Egyptiens, Hébreux, Sumériens, Chinois il y a 6000 ans, ou encore Toltèques, Aztèques, Mayas, Incas… enfin les Précolombiens, ou encore les Esquimaux, les Aborigènes d’Australie, etc… Ils ne les voyaient peut-être pas comme l’homme moderne, celui de la civilisation dans laquelle nous sommes et que nous nommerons « Civilisation Rationnelle » ou « Champ de Cohérence Rationnel ». Par exemple, les pyramides égyptiennes - Chéops - étaient-elles vues il y a 3500 ans comme maintenant ? Il semble que c’est la négation qui est la réponse à cette question ! Les concepts nouveaux mis au point par le groupe ARK’ALL, puis l’association DECALUM et la Sté EUREK’ALL® de même que l’association ARKOLOGIE sont dans cette voie. Il ne faut pas se leurrer sur le concept de progrès souvent usité dans notre société, ce progrès qu’entraîne la supériorité du présent par rapport au passé au point de vue connaissance, technologie, attitude, etc… Ce n’est pas comme cela qu’il faut raisonner car les civilisations passées étaient sans doute tout à fait différentes de ce que la pensée rationnelle peut décrire à leur sujet. Pour absorber certains domaines, il faut une pensée adéquate et ne pas se complaire dans « la pensée rationnelle qui peut se permettre d’aborder tout domaine ». Donc, regarder des bas-relief sur des murailles et des monuments et les décrire, c’est simplement les faire entrer de force dans le Champ de Cohérence Rationnel (C. de C. pour Champ de Cohérence) alors qu’il ne sont pas adaptés à lui - le C. de C. rationnel ne fait que les déformer comme on déforme un chapeau que l’on veut faire entrer dans une boîte trop petite pour lui. On peut simplement espérer, dans le cas du chapeau, qu’après être ressorti de la boîte il retrouvera sa forme première. Alors que les bas-reliefs sont totalement déformés si on n’a pas conscience de l’existence d’une autre pensée que le C. de C. usuel (rationnel). Cette autre pensée est appelée « Autre Champ de Cohérence » ou « Champ de Cohérence Dynamique ». Dans l’autre C. de C., les bas- reliefs, monuments anciens, langues anciennes, histoire et légendes anciennes, vont donner leur véritable signification. On peut se poser la question : En postulant l’existence de l’Autre C. de C., en le construisant peu à peu, cela suffit-il pour être sûre uploads/Philosophie/cours-eurek-x27-all-jacques-ravatin-complet.pdf
Documents similaires










-
39
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Aoû 15, 2021
- Catégorie Philosophy / Philo...
- Langue French
- Taille du fichier 7.6191MB