Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

Université de science et de la technologie USTHB Faculté de génie mécanique et

Université de science et de la technologie USTHB Faculté de génie mécanique et de génie des procède FGMGP Département de thermo-énergétique TE Mini-projet sur : ETHIQUE ET DEONTOLOGIE ANNEE : 2019/2020 Réalisé par :  DJELID Soumia 201500003680  MERAH Khaoula 161631068457  GOUARIR Aymen 161631082866  GUENNICHE Abderrahmane Oussama 161631082776  BELALIA Mehdi Abdelhamid 201500002819  ABDELLI Mahdi 161631095792 SOMMAIRE INTRODUCTION 1.Définitions L’éthique………………………………………………………………………………………………………………………………………1 La morale …………………………………………………………………………………………………………………………2 La déontologie ………………………………………………………………………………………………………………….2 2. Distinction entre Ethique et Déontologie L’éthique professionnelle………………………………………………………………………………………………………………3 La réflexion éthique………………………………………………………………………………………………………….3 La source de la contrainte…………………………………………………………………………………………………3 La manière dont l’action appropriée est définie…………………………………………………………………4 L’ouverture à d’autres points de vue sur les valeurs …………………………………………………………4 La responsabilité par rapport aux conséquences……………………………………………………………….4 3.L’éthique et la déontologie dans les différents domaines a.1.Principes de la charte d’éthique et de déontologie universitaires…………5 La liberté académique …………………………………………………………………………………………………5 La responsabilité et la compétence………………………………………………………………………………5 Le respect mutuel…………………………………………………………………………………………………………5 L'exigence de vérité scientifique, d'objectivité et d'esprit critique…………………………………5 L'équité…………………………………………………………………………………………………………………………5 Le respect des franchises universitaires…………………………………………………………………………5 a2.droits et obligations a.2.1 LES DROITS ET OBLIGATIONS DE L'ENSEIGNANT CHERCHEUR……………………………6 LES DROITS DE L'ENSEIGNANT CHERCHEUR ………………………………………………………………6 QUELQUES OBLIGATIONS DE L'ENSEIGNANT CHERCHEUR...........................................7 a.2.2. LES DROITS ET DEVOIRS DE L’ETUDIANT DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR QUELQUES DROITS DE L’ETUDIANT ……………………………………………………………………………8 QUELQUES DEVOIRS DE L’ETUDIANT …………………………………………………………………………8 Ethique et déontologie dans le monde du travail Confidentialité, Protection et Utilisation1 correcte des biens de l’entreprise………………..9 Biens et Installations de l’Entreprise……………………………………………………………………………9 Informations Confidentielles…………………………………………………………………………………………9 Propriétés Intellectuelles……………………………………………………………………………………………10 Fidélité à l’entreprise, Responsabilité au sein de l’entreprise……………………………………..10 Les Obligations Spécifiques L’Obligation de Loyauté………………………………………………………………………………………………10 L’Obligation de Discrétion …………………………………………………………………………………………10 L’Obligation de Réserve ……………………………………………………………………………………………10 Les Secrets Le Secret Professionnel………………………………………………………………………………………………10 Le Secret de Fabrication………………………………………………………………………………………………10 Conflits d'intérêt………………………………………………………………………………………………………11 1 Intégrité ………………………………………………………………………………………………………………………11 Définitions de la corruption…………………………………………………………………………………………11 SOURCES BIBLIOGRAPHIQUES………………………………………………………………………………………12 INTRODUCTION : L’éthique et la déontologie sont des clés dont aucun ingénieur ne devrait s’en passer. Ils suscitent de nombreuses questions de compréhension, ils apportent aussi des réponses à l’exercice même de la profession et aux situations souvent problématiques que les ingénieurs rencontrent. La morale et l'éthique relèvent d'un premier niveau de discours qui exprime le souci de la normativité. L'une manifeste le souci du devoir et de la prescription et l'autre exprime le souci de la recherche du fondement et des finalités de l'obligation, avec comme objectif principal l'élaboration d'un art de vivre. 1.Définitions : L’éthique : C’est une réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions. Cette réflexion s’intéresse à nos rapports avec autrui et peut être menée à deux niveaux. Au niveau le plus général, la réflexion éthique porte sur les conceptions du bien, du juste et de l’accomplissement humain. Elle répond alors à des questions comme “qu’est-ce qui est le plus important dans la vie? “ ou bien “quels types de rapports voulons-nous entretenir avec les autres ? “ Les valeurs deviennent ainsi des objectifs à atteindre, des idéaux à réaliser. À l’échelle individuelle, nos actions sont autant de moyens d’actualiser nos valeurs. À l’échelle collective, l’imposition de règles est aussi un moyen de réaliser l’idéal partagé; les actions qui vont dans le sens de l’idéal deviennent des devoirs, des obligations. Les règles, cependant, sont générales et ne peuvent couvrir toutes les situations où des choix d’actions sont nécessaires. C’est pourquoi la réflexion éthique porte aussi, au niveau particulier, sur les cas embarrassants et les dilemmes. Elle répond alors à des questions comme “ quelle est la valeur la plus importante dans cette situation?“ ou bien “ quelle est la meilleure décision éthique dans ces circonstances?“ 1 La morale : C’est un ensemble de valeurs et de principes qui permettent de différencier le bien du mal, le juste de l'injuste, l'acceptable de l'inacceptable, et auxquels il faudrait se conformer. « Ce que j'ai fait en dénonçant le harcèlement dont j'ai été témoin est conforme à la morale.» « La morale demande de redonner à chacun ce qui lui revient de droit. » À travers les époques et les cultures, des individus et des groupes ont défendu différentes conceptions de ces principes et valeurs. Ces conceptions de la morale sont appelées des « morales ». Par exemple, le christianisme propose un ensemble de valeurs (la charité, le pardon) et de principes (« Aime ton prochain comme toi-même ») devant guider l'agir humain. Pour y référer, on parle de la « morale chrétienne » [2] La déontologie : Le terme « déontologie » vient du grec deontos, qui veut dire « devoir ». Dans son sens courant, il renvoie aux obligations que des personnes sont tenues de respecter dans leur travail. Il peut s'agir de travailleurs d’une même profession, comme les enseignants ou les ingénieurs; de personnes au service d’un même employeur, comme les employés de la fonction publique du Québec; de gens exerçant des fonctions professionnelles semblables, comme les élus municipaux; ou encore de travailleurs d’un même secteur, comme le milieu des affaires. Les obligations partagées par un groupe reflètent des valeurs ou des principes jugés fondamentaux. On les consigne parfois dans un code de déontologie, aussi appelé « morale professionnelle ». Bien que la déontologie soit très présente dans divers milieux professionnels, beaucoup de travailleurs ne sont pas encadrés par des codes. Les codes, généralement fixés par les ordres professionnels, exercent deux fonctions principales : protéger le public et préserver la réputation des travailleurs. Ces deux valeurs sont menacées lors d’une infraction à un code. [2] 2. Distinction entre Ethique et Déontologie : Le mot déontologie désigne l’ensemble des devoirs et des obligations imposés aux membres d’un ordre ou d’une association professionnelle. Comme les règles de droit, les règles déontologiques s’appliquent de manière identique à tous les membres du groupe, dans toutes les situations de la pratique. Une autorité est chargée de les faire respecter et d’imposer des sanctions en cas de dérogation. 2 Il n’est pas nécessaire, pour se conformer à la déontologie, de réfléchir aux valeurs qui la sous-tendent ni même de partager ces valeurs. L’éthique, au contraire, invite le professionnel à réfléchir sur les valeurs qui motivent son action et à choisir, sur cette base, la conduite la plus appropriée. Cette première différence en entraîne plusieurs autres : L’éthique professionnelle : L’approche de l’éthique professionnelle se réfère à la fois sur la dimension morale et sur les dimensions éthiques (quelle décision est la meilleure dans le cas présent?). Lorsque cette réflexion devient collective, la démarche devient déontologique, dans un sens large. Si ces règles ont une valeur pour l’ensemble d’une profession et font l’objet d’une reconnaissance officielle, il s’agit d’une déontologie au sens restreint. En éthique professionnelle, la réflexion porte sur les valeurs qui motivent les conduites des professionnels et qui sont actualisées dans les codes de déontologie. Les valeurs des ingénieurs définissent un idéal général de pratique. Le bon ingénieur se distingue, par sa compétence, son sens des responsabilités, son engagement social. Ce que cela signifie dans la pratique quotidienne, le code de déontologie aide à le comprendre en énonçant les devoirs et obligations découlant de l’idéal du groupe. La réflexion éthique : la réflexion éthique a pour but de déterminer les valeurs les qui peuvent justifier rationnellement notre action, celles qui constituent de bonnes raisons d’agir dans un sens ou dans l’autre. Dans le domaine éthique comme dans le domaine technique, les ingénieurs ne sont pas guidés par leurs préférences personnelles. Ils font des choix rationnels et sont capables de les justifier en donnant des raisons telles que l’intérêt du client, la préservation de l’environnement, la sécurité du public. La réflexion éthique permet de déterminer les valeurs qui constituent des raisons d’agir acceptables par l’ensemble de la société, par les personnes qui partagent l’idéal de pratique et, au niveau particulier, par les personnes et les groupes concernés par une décision. La source de la contrainte : L’action fondée sur les valeurs est généralement conforme aux lois et à la déontologie, mais elle est réalisée par l’individu et non pas imposée par une autorité quelconque. La réflexion éthique fait appel à l’autonomie, au jugement et au sens des responsabilités. Quand un ingénieur décide, sur la base de ses convictions, de refuser une signature de complaisance, rien ne l’y oblige sauf lui-même. La même décision, cependant, peut être dictée par un article du Code de déontologie des ingénieurs. Il est fréquent que l’on obéisse aux règles parce qu’elles proviennent d’une autorité, pour éviter une sanction ou bien par habitude. 3 La manière dont l’action appropriée est définie : La déontologie est assez précise concernant ce que le professionnel doit faire ou éviter dans les situations quotidiennes de la pratique. Dès qu’une seule règle claire s’applique à une situation, la conduite à suivre est fixée d’avance. Toutefois, lorsque deux règles ou plus s’appliquent à la même situation, il peut être plus difficile de savoir pour quelle conduite opter. L’éthique ne définit pas d’avance la conduite appropriée, mais elle propose une méthode réflexive pour la trouver, notamment dans les conflits de valeurs ou quand une action permise par les règles paraît malgré tout discutable du point de vue de l’idéal de pratique. L’ouverture à d’autres points de vue sur les valeurs : La déontologie distingue les obligations du professionnel envers le public, le client et la profession. Elle reconnaît donc qu’il uploads/Philosophie/edpi.pdf