Epistémologie suite Synthèse du cour précédent Le cheminement. Auguste Comte. L

Epistémologie suite Synthèse du cour précédent Le cheminement. Auguste Comte. La lutte est contre la métaphysique, la pensée abstraite, sans lien avec le réel, sans capacité de résoudre des problèmes. Cette pensée positiviste va avir comme avatar le positivisme logique. C’est un positivisme , une théorie croyanten la supériorité de la science, et qui est logique : qui se base sur la logique formelle pour se batir comme une théorie scientifique. La dessus, on observe Karl Popper, qui a couvert tout le 20ème siècle. Il a étudié la philosophie et la physique. Il a émigré en Nouvelle Zelande, et a pris un poste a Londres. Il était juif. Il est marqué dans les années 20 par le positivisme logique dans le cercle de Vienne. Il essait de créer une philosophie de la science, aussi robuste que la science. Il veut faire une théorie de la science. A son époque, au 19ème siècle, la raison a fait passer la société de tradition a une société de science. Tout se veut scientifique, et dans les années 30, le marxisme, la psychanalyse, la psychologie se veulent scientifique. Karl Popper est iniquiet par les contrefaçons de la science. Sa théorie, qu’il expose en 1935, de la découverte scientifique, c’est de dire qu’il y a une difference essentielle entre vrai science et fausse. Cette difference essentielle, tient dans le critere de démarcation qu’il pose. Celle-ci réside dans la capacité de la vrai science, à se remettre en cause. La fausse science n’accepte pas la remise en cause. Il faut l’accepter par de nouvelles expériences, de nouvelles théories de ce que l’on avance. Ce qui n’est pas science donc, ce sont les croyances du dogme. Le contraire de la science, c’est le dogme. C’est ce qui n’accepte pas la remise en cause. Il y a donc la creation du rationalisme critique avec Karl Popper : c’est un rationalisme qui acceptent la remise en cause. La science moderne est une science de controverses, de debats, de verifications. On est dans du rationalisme critique, en challengeant ce qui est dit. Ce que les gens avancent est soumis à critiques. Ce critere s’appelle le critere de fialsibilité. Quel conséquence ? Popper a été éblouit par le comportement de Einsten. En exposant sa théorie, il a montré les criteres de validités d’expérience. Pour Popper, c’est le signe même d’un comportement scientifique. Il y a plusieurs conséquences. Finalement, la science est un comportement scientifique, c’est un rapport à la connaissance et à la discussion. Le comportement est plus important que les résultats. La science est une démarche, pas un résultat. Deuxiemement, toute connaissance est en sursis de remise en cause. La dynamique de la scienc, c’est une dynamique de conjecture et de reputation. C’est un mouvement, une dialectique permanente entre des propositions qui sont faites et des remises en cause qui vont proposer d’autres remises en cause. Effectivement quelle difference entre la connaissance et la croyance ? Karl Popper detruit une frontiere ontologique entre connaissance et croyance. Il n’empêche que la connaissance scientifique n’est pas n’importe quelle croyance. Elle est une croyance qui repose sur une démarche validée.. Ce qui est important pour Popper, est que la croyance repose sur un comportement scientifique. Il y a une éthique du scientifique sous jacente pour le chercheur. Popper décline sa théorie de la science. Son point de vue est celui qu’une bonne société est une société remise en cause, et donc une démocratie. Et inversement, une mauvaise société est une société totalitaire. Il y a une dimensio critique d’une société ouverte, démocratique, et une société fermé, dormatique, totalitaire. Il a connu le nazisme et était anti communiste. Pour Popper, il est inspiré de Platon pour parler du totalitarisme. La platonisme se retrouve dans la catholicisme et dans les société totalitaire. La notion de vérité Chez Popper, la vérité, est une succession améliorante de la connaissance. La théorie du débat est ce qui permet le progres. Cette théorie s’améliore d’une modélisation d’une vérité. C’est une sorte d’asymptote : on tente d’atteindr ela vérité sans jamais pouvoir la toucher. Toute vérité est conjecture. Boudon disait que la vérité chez Popper pose question. Il y a eu un probleme en 1900 dans la science : on s’est trouvé avec trois géométrie avec des conceptions differente du postulat d’Euclide. Il y a deux géométries qui apparaissent qui ne sont pas en accord avec Euclide. Point Carré à résolu le probleme en expliquant que ces théories étaient des conventions, des systemes de mesure. L’important, c’est qu’on a plus en 1902, une notion de modèle théorique en mathématique. On peut avoir plusieurs théories antagonistes comme on peut parler plusieurs language pour décrire le réel. La théoriede l’unicivité de la vérité est remise en cause. Article de la vérite de Jean philippe Bouilloud La vérité demande du courage. La vérité peut créer de la violence, peut créer du malaise. Et il faut l’anthiciper. Il faut faire avec. Le courage de la vérité, c’est le courage de s’opposer à la maisse, la masse puissante, la massa académique. La vérité est une chose qui doit se gérer tout le temps. Freud et la vérité En fin de vie, il fait une tournée de conférence. Freud était malade. Il va voir le medecin qui lui dit « vous allez mourir bientôt ». Il répond « pourquoi dites vous quelque chose que je ne vous demande pas ». Il pose la question de la vérité. L a vérite peut être productrice de quelques choses. De questionnements Il y adonc une quesiton de l’énonciation de la vérite. Dire le rai, c’est s’inserer dans une relation qui peut etre problématique pour l’autre. Il faut accepter de prendre du temps. Une éthique de la vérité est une éthique de la connaissance qui doit anthiciper ce va arriver. Ctte notion de vérité est interessante, et elle est interessante à gerer avec distance, avec doigté. Si vous mettez tout de suite les gens vec contradiction, c’est violent. Ce qui nous interesse en clinique, c’est le vérité pour eux. Pour nous. Méthodologiqueent, être du côté de la conjecture et de l’hypothèse, et non pas de la vérité. Dialogue basé sur des hypothèses et sur des étonnements. La question de la vérité a un lien avec la perversion. La verite en science est une remise en cause permanente, loin donc d’une forme de perversion. C’est un processus sans fin. Exprimer la contradiction. Legitimité de s’etonner et non pas de juger. Critique de Popper L’idée de Popper est de donner une vrai définition de ce qu’est la science. Avec Popper, on a la dernière tentative de proposition définitive de la science. Elle est la dernière paceque la position de Popper est beaucoup critiquée a partir des années 1950. La théorie de Popper n’est pas popérienne car il ne l’a remets pas en question. La deuxieme critique, plus importante, a été de dire que le scientifique chez Popper, c’est un individu, un sujet transcendant. C’est un individu hors sol, pur esprit. Il est dans un échange d’idée, hors société, hors enjeux de pouvoir, hors tout. Les grandes critiques à la théorie de Popper arrive avec les historiens des sciences et les sociologues des sciences. Ils expliquent que cette théorie n’existe pas en pratique. La théorie d’Einstein est une anomalie, une exeption qui confirme la regle. Les scientifique ne sont pas que des esprits, mais des acteurs sociaux réels. Ludwig Fleck Il est un medecin polonais mort en 1967. C’est un medecin, mais aussi grand philosophe des sciences. I est un philosophe amateur. Il a un laboratoire d’analyse médicale. Il faisait parti d’un groupe de medecin tres versé dans l’histoire de la medecine. Il a été déporté et est allé dans un camp cde concentration. Il est un expert de certaines maladies, comme la syphilis. La syphilis est une maladie apparut en Europe, importé d’Amérique. C’est une maladie complexe, difficile a établir cliniquement. C’est une maladie importante, et il s’interesse au tableau clinique de cette maladie qui se fait par etape sur plusieurs siecle. Il en tire une théorie sur le developpement de la jeunesse et sur la théorie scientifique. Il propose une théorie collective de la connaissance. Contrairement à Popper qui voit le scientifique seul, pour Fleck, nous pensons collectivement. Fleck parle du conditionnement sociale de tout acte cognitif. Tout acte cognitif est conditionné socialement. Par exemple, nous apprenons a voir le réel. Un physicien, chimiste, biologiste, apprenent a voir ce qui est pertinent a travers un objet, un microscope. Son analyse, face à al situation, est traversée par tout un apprentissage suivi. En regardant une situation, on l’observeavec des catégories, des notions apprise. On est traversé par un conditionnement social qu’est la formation. Le deuxieme point chez Fleck, et qui est lié au premier, toute découverte est collective. Elle est collective parceque une decouverte n’est jamais le fait que d’un individu seul. Il s’est formé, a discuté. De facto, ce qu’il découvre est la face immergé de l’iceberg. Il n’y a pas de génération spontanée des concepts. La découverte est un evenement uploads/Philosophie/epistemologie-suite.pdf

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