Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

ESENBAY Hilal 19101049 Introduction à la Science Politique L1 Relations Interna

ESENBAY Hilal 19101049 Introduction à la Science Politique L1 Relations Internationales L’analyse sur l’article « Le vote, un rituel politique modifié par le Covid-19 »1 Envisageant que la notion du vote est au cœur de la politique. C’est une terme importante qu’on croise souvent dans nos vies quotidiennes, dans les articles et dans les débats actuelles -surtout politiques- avec le processus pandémique (pendant les élections municipales françaises de 2020 qui avait lieu le 15 mars 2020(premier tour) et le 28 juin 2020 second tour, ainsi l’élection présidentielle américaine de 2020 s’est passée le 3 novembre 2020) et qui est aussi indispensable pour comprendre bien sainement le fonctionnement des institutions démocratiques et la démocratie. L’article « Le vote, un rituel politique modifié par le Covid-19 » de Virginie Tournay aborde aussi ce sujet mais avec un point de vue vraiment explicatif de la transformation du vote comme un rituel politique dans l’épreuve du Covid-19 chez la France en donnant les exemples spécifiques sur les élections municipales françaises de 2020 et la modification de la magie électorale. En fait, cet article n’est pas vraiment une publication académique dans laquelle on observe exactement du style journalistique et la vulgarisation de la connaissance. Donc, l’auteur a écrit cet article sans soucis académiques et seulement à destination du grand publique. Puisque Virginie Tournay est une politologue française, née le 26 juillet 1975 à Clichy-la-Garenne et également chroniqueuse et écrivain, biologiste de formation et directrice de recherche du CNRS au CEVIPOF, à Science Po, à Paris depuis 2016 (elle est chargée de recherche au CNRS depuis 2006 et affectée au CEVIPOF depuis le 1er octobre 2013), maître de conférence à l’Institut d’Études Politiques de Paris depuis 2016 (animant notamment un séminaire sur les choix éthiques et décisionnels), membre du conseil scientifique de l’OPECST (l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques technologiques), ex-membre de la commission Bartolone-Winock (le groupe de travail sur l’avenir des institutions), à l’initiative de la tribune « La culture scientifique est à conquérir » et recrutée parmi la « Red Team » (un groupe de 10 auteurs de science-fiction chargés de faire de la prospective pour le ministère des Armées) en 2020, elle mentionne de la magie électorale et les effets de la pandémie mondiale sur le pouvoir en référant 1 TOURNAY, Virginie. “Le vote, un rituel politique modifié par le Covid-19.” The Conversation, Mars 2020. des avis de différents auteurs et politistes. Virginie Tournay qui a obtenu la médaille de bronze du CNRS en 2011 (pour ses travaux dans le domaine de la sociologie des institutions) et le Prix de la Science et la Laïcité du Comité Laïcité République en 2019, cherche actuellement le temps et politique, comme l’auteur du roman intitulé « Civilisation 0.0 » elle a aussi publié sur les biotechnologies, l’épistémologie, les politiques publiques et les technologies de l’information et de la communication a un diplôme d’étude approfondi consacré à l’étude de la Cellule Normale et Pathologique à l’Université de Paris V René Descartes (1998), puis une maîtrise de sociologie dans cette même université, un diplôme d’étude approfondi, un doctorat de Science-Politique obtenu à l’Université de Paris I-Panthéon Sorbonne (2005) et un post-doc à l’Université de McGill (Montréal). Donc, il est probable qu’elle décide d’écrire cet article qui est daté du 16 mars 2020 et traite intégralement la modification du rituel de vote par le Covid-19 en France comme une experte multidisciplinaire qu’elle connaît bien précisément le virus, la situation biologique des hommes et les politiques publiques en même temps. L’objectif de l’article est de voir comment cette expérience de la pandémie a eu les effets notamment sur la représentation démocratique et les procédures électorales à partir des élections municipales françaises de 2020. Ainsi, l’auteur le questionne en partant effectivement du rituel de vote classique des démocraties occidentales et de fait que la France est le premier grand pays à oser instituer le suffrage universel et l’adoption d’un système d’isolement et de l’enveloppe, 65 ans après l’adoption du principe du suffrage universel, à l’issue de quelques 40 années de propositions et de discussions qui accueille en fait ce changement du rituel de vote. Donc là, la pandémie a eu les effets, notamment sur la vie politique et l’action publique. En d’autres termes, la propagation du virus, illustre les défaillances des services publics hospitaliers, de la diplomatie sanitaire et de la coordination européenne en reposant principalement sur le civisme sanitaire des populations et en déclinant l’économie de ces pays. Même si cette crise de la pandémie sur notre village planétaire est incontestablement de caractère politique, ses impacts sur la représentation démocratique sont encore peu questionnés. C’est pour cela qu’on va essayer de répondre à cette problématique : Comment le vote comme un rituel politique se modifie à l’occasion de cette pandémie et quelles sont les effets de l’épreuve du Covid-19 sur des actions politiques que ce soit la représentation démocratique ? Pour pouvoir bien répondre à cette question, on va façonner l’article de Tournay en quelques parties. Premièrement, on va amener le terme « représentation démocratique- la démocratie représentative » qui est un système politique dans lequel on distingue une assemblée restreinte le droit de représenter un peuple, une nation ou une communauté et de prendre les décisions la concernant qui se réaffirme au 17ème siècle (comme un idéal de la démocratie), particulièrement pour caractériser les démocraties représentatives contemporaines dans lesquelles ces représentants sont élus et examiner en détail l’acte électoral. Deuxièmement, on va faire face à l’épreuve de la pandémie avec une nouvelle scénographie rituelle du vote. Troisièmement, on va aborder le sentiment collectif de faire société qui se montre avec la pratique électorale. Finalement, on va parler de la transformation de la magie électorale. Mais il faut souligner que à chaque partie, on va les analyser en recourant aux notions, aux termes et aux définitions des certains philosophes et politiciens. En commençant, on va énoncer que selon Tournay, la notion de la représentation démocratique -voir la démocratie représentative- de notre village global (Le village planétaire ou le village global, est une expression de Marshall McLuhan, tirée de son ouvrage « The Medium is the Massage » paru en 1967, pour qualifier les effets de la mondialisation, des médias et de technologies de l’information et de la communication.) touche indubitablement par la crise pandémique. Le principe de représentation, entendu comme l’appellation spécial de nos gouvernants par les élections, est la base de la République française et forme l’indispensable des démocraties libérales. C’est pourquoi on va rapidement examiner ce terme politique. L’expression « gouvernement représentatif » est celle avec laquelle les contemporains de la monarchie de Juillet (La monarchie de Juillet est le nom donné au régime politique du royaume de France entre 1830 et 1848.) présentent le régime, qu'ils soient partisans ou opposants de celui-ci. Celui-ci est théorisé dès les années 1820 par les doctrinaires (Doctrinaires est un nom que l’on a donné sous la Restauration (1814-1830) au petit groupe de royalistes français qui prévoyaient concilier la monarchie avec la Révolution, et l’autorité avec la liberté.), en particulier François Guizot, avant d'être en partie mis en place dans les années 1830-1840. Selon Guizot, le gouvernement représentatif se fonde « sur cette vérité que la souveraineté de droit n'appartient à personne », mais correspond en fait à la raison et à la justice, ce qui suppose que toutes les décisions soient publiques et ouvertes à la discussion ; que le pouvoir politique soit réparti « en raison de la capacité d'agir selon la raison et la justice » — principalement grâce à l'élection — ; et que l'État soit doté de moyens de connaître la société, et en particulier l'opinion publique, grâce à la libre discussion et à l'élection de représentants. Les révolutionnaires de 1848 (La révolution française de 1848, parfois dénommée « révolution de Février », est la troisième révolution française après la Révolution Française de 1789 et celle de 1830. Elle se déroule à Paris du 22 au 25 février 1848.) opposeront la République au gouvernement représentatif. Ainsi, la démocratie représentative (nommée aussi gouvernement représentatif) est affichée comme une alternative au despotisme par les philosophes des Lumières. Selon le politologue Bernard Manin, « les démocraties contemporaines sont issues d'une forme de gouvernement que ses fondateurs opposaient à la démocratie ». Il clarifie son propos par les considérations de James Madison lors de la Révolution américaine et Emmanuel-Joseph Sieyès lors de la Révolution française, qui « soulignaient ainsi en des termes très proches le contraste entre le gouvernement représentatif ou républicain et la démocratie. Cette proximité est d'autant plus saisissante que des différences multiples et profondes séparaient par ailleurs le principal architecte de la Constitution des États-Unis et l'auteur de Qu'est-ce que le Tiers-État ? : leur formation, le contexte politique dans lequel ils parlaient et agissaient, leurs conceptions constitutionnelles elles- mêmes ». De la même manière, Emmanuel-Joseph Sieyès, à l'époque de la première constitution française dont il fut co-rédacteur, l'énonce précisément : « La France ne doit pas être une démocratie, mais un régime représentatif. Le choix entre ces uploads/Politique/ l-x27-analyse-sur-l-x27-article-le-vote-un-rituel-politique-modifie-par-le-covid-19.pdf