Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Des opinions politique
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Des opinions politiques du citoyen Sieyès, et de sa vie comme homme public Oelsner, Konrad Engelbert (1764-1828). Des opinions politiques du citoyen Sieyès, et de sa vie comme homme public. 1799-1800. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. 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JE JEJRJR~T~. &AGE80 g*' ligne du a~ alinéa, si elle /)eNf~o< KOMcer lisez si elle Me peut prononcer. Page i3g, à la note, ligne 5, qui MM~yReH~ lisez ~~t MH/e. Page ï~i & la note, dernière ligne qui doivent /c gM~er <j ses yb~c~MMj~ lisez qui doivent le guider. Page~t~, lig. 18, OK~ ef~~ce~ lisez oM<f~K~A Page 160, dernière ligne: il M'~MM pas /W.K&&, lisez il était impossible. Page i~, ii~ne i~ ceci peu lisez ceci peut. Page 18~, ligne 5, Si ON voulait croire tous ces misérables, il M~' aMra~H~ ni Zf~r~ nirépu- MyMe~etla seule ressource qui resterait CM peuple &MH<<~ lisez Si on voulait croire MM~ ces mi- ~fraMe-f, t~ M~' aurait &/eM~ plus, etc. Idem, ligne 18 ,-M/M elle lisez~<!n~ce<M~~CMKa*. Page 211, ligne i5, dune bonne: lisez d'une eieec~s. Idem. ligne sa, manque: lisez manyM~. Page a3o, ligne a~ c'a~ ainsi que doit agir: lisez c'est ainsi ~Me doivent agir. DE OPINIONS POLITIQUES D U CITOYEN S 1EYE8, B t BE SA VIE COMME HOMME PUBLIC. A. PAR18, Chez GOUJON E!s ÏttfinMB cR-Lt a At~z~ gcanderaeTata]fme,n".y37; Et chez les MARCHANDS BB NouV~ANT~St AN V ï 1 ï. JEc/~yM<?~0~~<?0/MM~~OMr/<~C~W ~e<M~<9MM~M~~ Qu'est-ce que le Tiers-État ? E~sal sur les Priviléges. Vues sur les moyens d'exécution. Plan de délibérations pour les assemblées de bailliages. Déclaration des droits. Notice sur la vie de Sieyes. Procès-verbaux de diverses Assembléesnation nales. Moniteur, etc. etc. AVERTI S SE MENT. « H est des époque: et deschoses sur lesquelles M la manière de voir d'un homme &it aussi MpartiedesavieM. JDN présentant le tableau des opérations et des travaux politiques de Sieyes, noua avons été guides par le désir de consolider la confiance que tous les amis sincères de !â Rëpu~qaeaGeordeat àcelui qui, même ayant rëpQqnede la révolution, avait donnet des gages np~nbreu~ds~ son dévouemenï: à' ïa cause de ïa,Iibertë. Les.hpnun~sdëBan~.et qtu ne sedëcideat qu'avec peme, trouveroat anssi dans ce travail ce qu'ils exigent pour ~xer leur opinionet ëtaMirIeures~nië. ~oussonunes persuades qu'ils ne pp;arron!:Ja: re~ser; à ~adn~nistrateur pMIoso~e qui, dans tous Ifs temss~est montré le 'courageuxdé~h- seur des droîta dM peuple, et qui n'a~p&s ï~us vatie~dans ses principes que. dans sa conduite.. Tro~ heureuse !& nation.dont. tous les magistrats pourraient offrir une pareille garantie de lumières, de probité et de patriotisme Nous prévoyons que îa calomnie et la malveillances'occuperontà rechercherdans cet Ouvrage, quelqu'aliment à la rage qui les dévore nous les prévenonsque ce sera pour elles un tems perdu; nous les plaignons bien sincèrement, si elles n'ont-pas d'autre ressource pour soutenir et prolonger leur honteuse existence. Quant aux partisans Incorrigibles de la royauté, quant aux fous dtt aux"mibéciles qui rêvent encore ~M~ nous ne pré- tendons pas à l'honneur de teur conver- sion, et nous recevrons avécla plus grande indifférence les injuresqu~s~durroctn'ou~ prodiguer. U est, sans douté} inutile de penser nous disculper du reproche~de' parler d'un homme vivant, ~ï'cet~'homme' est devenu~ 1 l'objet de toutes les inquiétudes,'detoutes~ les espérances; si en déroulant une partie' de sa vie publique à tous les regards, nou~Li cervons la patrie, ce serait bien à. t0!'<: qu'on accuserait ou qu'on suspecterait no- tre zè!e et nos efforts. D'ailleurs, quand les ennemis du bonheur public son~ dans l'arène, il faut bien permettre auxamis de la liberté d'y descendre pour les combattre et les vaincre. Nous ne nous sommes pas dissimulés ,qu'il y avait une espèce de présomption ai a nous, citoyens obscurs, à écrireen faveur d'un philosophe et d'un administrateurcé< lèbre, à oser placer nos faibles idées à côté de ses vastes conceptions mais dans un moment ou on semble se faire un plaisir de lui prêter les systèmes les plus absur- des et les projets les plus ridicules, nous avons cru pouvoir être utiles en rappelant des opinions que l'on dénature en les montrant dans toute leur pureté, et ce motif doit mériter les suffrages de tous les Républicains. Les obtenir, sera notre plus douce récompense. Cet écrit a été composé rapidement. Les circonstances étaient urgentes. L'intérêt public ne nous permettait pas d'en retarder la publication. N'ayant pu donner à notre travail toute Ïa perfection que nous dési- rions, 9 nous comptons sur quelqu'indul-" gence. Comme, en général peu de personnea se sentent capables d'un pur désintéresse- ment; plusieurs, peut-être/croiront que nous sommes ou les amis, ou les protégés, t ou même les obligés de Sieyes; nous dé- clarons ici, en notre ame et conscience, que nous ne l'avons jamais approché, que nous ne croyons même pas être connus de lui, et que le triomphe de la vérité et de la raison, sur la calomnieet l'ignorance, estle seul objet de nos travaux, comme de nos vœux les plus ardens. Nous avons divisé cet ouvrage en deux parties. Nous exposerons,dans la première, ra- nalyse politique des Ouvrages de Sieyes avant la révolution. Nous mesurerons dans la seconde 9 toute sa carrière ~gM~~Pc et d~i?M/tM~- tive depuis. 1780 jusqu'à la fin de l'an 7 de la République française.. PREMIER~ PREMIÈRE PARTIE. De~ ~M~M.a?~o7~~M~ <~C Si ETES, ~~M~ Zt~ JR~~O~M~OT~ JRr~/M'~MC. LE temps amènera sans doute des historiens exacts qui feront daterl'ère de la Révolution française bien au delà du 14 juillet 1789. « On aime aujourd'hui à confondre les dates et les faits on semble se persuader que la Révolution n'est due qu'à une sorte d'explo- sion populaire, à une insurrection cela n'est pas exact En effet, qui a révélé au peuple le secret, si long-tems oublié de ses. droita? Qui lui a tracé la voie pour les rsconquérir? qui l'a guidé~M~o, insurgé, sinon lesécrivains patriotes?, JEt parmi eux, lequel se distingue' autant que l'auteur de l'Essai sur les .P/<W- lèges, et de <~<~ce. que le ~e~? C'est à lui à qui nous devons nos plus belles institutions sociales. EUes sont toutes les ré- sultats ouïes déveïoppemensdeeesprincipea. A Ses déHnît!ons, ses dénominations même ont presque toutes été consacrées par l'assenti- ment national et la Révolution française a été ce qu'il avait écrit qu'elle serait « l'effet naturel prévu, et bien gouverné, d'une vue simple et juste, d'un concours heureux, fa- vorisé par les circonstances, et promu avec franchise par toutes les classes intéressées M. Il fut long-tems lui-même cette vue simple e~/M~e qui dirigea le char de la Révolution. Heureuse eut été la France, si elle n'avait pas changé de guide 1 L'histoire de la vie publique de Sieyes doit remonter jusqu'à; ce jour, où, à peine sorti de l'adolescence il conçut le premier prin- cipe des droits naturels de l'homme en état de société, et où son cœur patriote palpita, en lisant pour la première fois Locke, Con- dillac, et Charles Bonnet. C'est peut-être dans <:ette lecture que uploads/Politique/des-opinions-politiques-du-citoyen.pdf
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- Publié le Dec 15, 2021
- Catégorie Politics / Politiq...
- Langue French
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