1 LAMSAFER YASSINE OUAHAB HAMZA Cinéma, Audiovisuel et communication COVID-19,

1 LAMSAFER YASSINE OUAHAB HAMZA Cinéma, Audiovisuel et communication COVID-19, « FAKE NEWS » RÉSEAUX SOCIAUX & 2 Table de matière : Introduction……………………………………………………………………………...4 I. Les médias : ………………………………………..………………………..5 1. L’information et Désinformation : ………...................6 2. Les Médias : …………………………………………..……6 3. Médias et Covid 19 :…………………………………….7 II. Les fake news au temps COVID19 : …………..………………………..8 a. Fake News :………………………………………………8 1. Définition ……………………………………..8 b. –Fake news relative au Covid 19 :………..……..9 1. Etude des Fake news :……………………..9 2. Types : ……….………………………………..10 c. Dangers des Fake news :…………………………….11 Conclusion………………………………………………………………………………12 Bibliographie…………………………………………………………………………………13 Webographie.………………………………………………………………………………..14 3 <<La vérité est si obscure en ces temps et le mensonge si établi, qu'à moins d'aimer la vérité, on ne saurait la reconnaître >> BLAISE PASCAL 4 Introduction Dans les vingtaines d’année précédentes, et à l’effet du développement des communication dans le monde, il est apparu un type de communication très répandu à un large public et d’une facilité d’accès inédite se sont les réseaux sociaux qui donnent une grande liberté d’expression à la majorité des gens pour s’exprimer, donner leur opinion, critiquer un tel phénomène social, politique, artistique…. ET cela a été un grand triomphe pour la démocratie, la liberté de s’exprimer. Cependant, ça fait aussi un champ de désinformation, des mensonges et changement de la vraie information pour des raisons politiques, économiques ou perturbatrices en influant une grande majorité de la population sur une telle information et peut avoir des conséquence graves. La diffusion de faussetés ou d’erreurs dans les médias n’est certainement pas un phénomène nouveau. La diffusion des fausses informations (notamment sur internet) est devenue un des enjeux majeurs pour la politique et l’économie contemporaine. En effet, lors de la pandémie covid-19, Le monde a souffert des fakes news, non seulement sur le plan politique et économique, mais aussi sur les plans social, sanitaire et éducatif. Au début de l’an 2020, l’épidémie cov-19 s’est rapidement répandue dans le monde entier. Ces réseaux sociaux ont-ils vraiment jouer leurs rôles d’aider l’humanité à lutter contre ce fléau ? Quel est leur influence sur la population ? Quel fait le gouvernement pourrait-il faire contre ces fakes news ? Quelle est la meilleure solution pour aboutir à un remède à ce nouveau phénomène, sans atteindre à la liberté de s’exprimer et de donner son opinion ? CHAPITRE 1 : 5 Les médias 1. Médias : Tant que chaque individue se connecter sur un média social, plus il ajoute des informations en partagent, en communiquent, ces réseaux sociaux donne la possibilité a des annonceurs pour placer des publicités. Car, de cette façon, les entreprises peuvent investir dans l’achat d’espaces de publicité en étant convaincus, d’une part, que cette publicité sera vue et, d’autre part, qu’elle le sera par les bonnes personnes. La valeur des réseaux sociaux dominants, aux yeux des entreprises, est donc surtout évaluée à l’aune du temps passé par ses utilisateurs. C’est la fameuse « guerre de l’attention » : dans un paysage médiatique où la concurrence s’est exacerbée avec la démocratisation d’internet. Les nouveaux médias sont le résultat de la convergence entre les médias traditionnels (la presse écrite, la télévision, la radio, l’affichage, le cinématographe), les télécommunications, la technologie numérique et les systèmes informatiques. La création d’un nouveau moyen media présuppose toujours la combinaison des interventions déjà existantes et représente une amélioration des médias traditionnels (Gutenberg2 a rendu meilleur l’écriture, les films ont amélioré les médias optiques et la téléphonie sans fil a rendu meilleur le téléphone). 2. L’information et Désinformation : Avec la globalisation de l’accès à internet et la multiplication des nouveaux modes de communication instantanée qui en découlent, nous avons connu le dérèglement des moyens traditionnels par lesquels nous avions accès au savoir. Si, à une certaine époque, l’information devait être recherchée (dans les journaux, les livres, les témoignages, etc.), nous avons aujourd’hui immédiatement accès à une quantité infinie d’information plus ou moins valable. Nous devons certainement nous réjouir de cette plus grande accessibilité du savoir, mais nous devons aussi être responsables qu’elle sera accompagnée par des effets secondaires inattendus. Inhabitués à devoir faire une recherche de plus de quelques clics, nous n’avons plus la patience pour des recherches documentaires approfondies. Dès lors, nous nous limitons à l’information que nous pouvons trouver en quelques secondes sur un 6 moteur de recherche. En retour, il est maintenant plus facile que jamais de diffuser des opinions, peu importe qu’elles soient véridiques, documentées ou honnêtes. L'internet reste un territoire inexploré et en pleine évolution. Les générations actuelles sont capables de communiquer et de partager des informations instantanément et à une échelle plus grande que jamais. Les médias sociaux permettent de plus en plus à l'information de se répandre dans le monde entier à une vitesse fulgurante. Si les avantages de cette évolution sont évidents et bien documentés, notre monde hyperconnecté pourrait également permettre la propagation virale rapide d'informations intentionnellement ou non trompeuses ou provocantes, avec de graves conséquences. Les chances que cela se produise sont exponentiellement plus grandes aujourd'hui que lorsque la radio a été introduite comme technologie perturbatrice, malgré notre sophistication médiatique. La radio était un canal de communication de "un à plusieurs" alors que l'Internet est celui de "plusieurs à plusieurs". Aujourd’hui notre société contemporaine a de plus en plus détachée des livres et de la culture écrite, <<j'ai le sentiment aigu que nous existons dans une société sans mémoire. Une société candide qui semble chaque jour s'étonner, s'amuser ou être horrifiée par des choses qui remontent à des centaines d'années.>> (Venturini). Les rumeurs circulaient déjà dans les salons de thé de la Renaissance, mais elles n’avaient pas le pouvoir de contaminer la planète en quelques jours, voire en quelques heures comme aujourd’hui. La rapidité de la diffusion des nouvelles est un élément qui doit figurer dans l’équation, car elle est née avec les réseaux sociaux. Le fait que ces nouvelles soient vraies ou fausses n’est pas un critère déterminant. En fin de compte, les inventeurs de fausse nouvelles peuvent être mus par plusieurs raisons la haine, la peur, la vengeance, ou encore des raisons politiques…etc. pour promouvoir une idéologie, ou même faire du mal à un concurrent commercial, Mais la première motivation reste le gain. 3. Médias et Covid 19 : Les médias sociaux devraient être utilisés pour diffuser des informations fiables sur le moment où il faut se faire tester, sur ce qu'il faut faire avec les résultats et sur les lieux où il faut se faire soigner. Si un vaccin devient disponible, les mêmes plateformes pourraient être utilisées pour encourager la prise en charge et relever les défis liés à l'hésitation à se faire vacciner. Ces efforts ciblés peuvent être déployés en réponse à ce que les gens recherchent ou dans le cadre d'une approche plus personnalisée basée sur le profil en ligne d'une personne, ses publications. Les systèmes de santé peuvent être débordés à mesure que les tests deviennent plus disponibles et que les personnes légèrement malades mais inquiètes cherchent à se faire soigner ; pourtant, les plateformes de médias sociaux sont bien placées pour permettre aux utilisateurs d'évaluer les symptômes à distance et de déterminer la ligne de conduite la plus appropriée. L'outil de santé préventive de Facebook fournit aux 7 individus des lignes directrices vérifiées sur les recommandations de santé préventive (par exemple, maladies cardiaques, dépistage du cancer) et dirige ensuite les utilisateurs vers des endroits géo-ciblés (par exemple, centres de santé qualifiés au niveau fédéral, cliniques) où ces services sont disponibles. Les utilisateurs ont également la possibilité de partager l'outil et leurs tests programmés avec leur réseau. Cela pourrait être modifié pour diriger les individus vers les ressources pour le test COVID-19. Pour les personnes dont les résultats de test sont positifs pour COVID-19, la plateforme pourrait permettre aux utilisateurs d'informer leurs contacts sur l'exposition potentielle et sur la manière de suivre les tests. Les données des médias sociaux sur les symptômes, les interactions, les photos lors d'événements, les itinéraires de voyage et autres empreintes numériques sur le comportement humain doivent être analysées en temps réel pour comprendre et modéliser la transmission et la trajectoire de COVID-19. Actuellement, Facebook fournit aux chercheurs des données agrégées et anonymisées sur la façon dont les gens se déplacent d'un endroit à l'autre et des cartes de densité de population associées afin de mieux informer sur la façon dont le virus se propage. La fusion des données des dossiers médicaux électroniques des patients consentants pourrait également fournir des indications sur le risque au niveau individuel. CHAPITRE 2 : Les fake news au temps COVID 19 a) Les fakes news : 1. Définition : Les fausses nouvelles sont des informations délibérément fausses ou largement fausses ou trompeuses, diffusées par les médias sociaux en ligne, mais qui trouvent parfois leur chemin vers les médias d'information traditionnels de la presse écrite et audiovisuelle. Les fake news sont souvent malhonnêtes, sensationnelles et carrément fabriquées, qui sont 8 ensuite répercutées par les médias sociaux. Même si elle peut être accidentelle. Les fausses nouvelles n'ont aucun fondement, mais sont présentées comme étant factuelles. On trouve ces nouvelles non seulement en uploads/Politique/fake-news-et-covid-19.pdf

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