Fausto Coppi Ses plus grands écarts Giro 1940 : Lors de la onzième étape, Coppi

Fausto Coppi Ses plus grands écarts Giro 1940 : Lors de la onzième étape, Coppi attaque à l'Abetone. Il rattrape Ezio Cecchi, échappé plus tôt, et effectue le reste de la course seul, augmentant ainsi son avance dans les différents cols. Il gagne l'étape à Modène avec 3 min 45 s d'avance sur ses suivants, et prend le maillot rose avec une minute d'avance. G1 11e étape étape de montagne Giro ou Tour de France = EM1 Milan-San remo 1946 : Lors de la première course de l'année, Milan- San Remo, il réalise l'un des grands exploits de sa carrière. Dès le début de course, il accompagne un groupe de coureurs échappés. Dans le col de Turchino, seul le Français Lucien Teisseire l'accompagne, avant de lâcher prise. Coppi effectue seul les 140 derniers kilomètres et s'impose à San Remo, après 270 kilomètres d'échappée, avec 14 minutes d'avance sur Teisseire, et plus de 18 sur les suivants, dont Mario Ricci troisième et Gino Bartali, quatrième. 1946 : 5e, 14e et 15e étapes du Tour d'Italie G4 Em3 Giro 1947 : Il attaque lors de l'étape Pieve di Cadore – Trente et s'impose en solitaire avec plus de quatre minutes d'avance sur un groupe comprenant Bartali. Il est désormais premier du classement général et ne quitte plus cette place jusque la fin de la course. Il gagne son deuxième Giro. 4e, 8e et 16e étapes. G7 Em4 ou Em5 ? Milan-San Remo 1948 : Coppi s'impose à San Remo avec près de six minutes d'avance, en ayant parcouru seul les 40 derniers kilomètres. Bartali est relégué à onze minutes. Giro 1948 : Dans les Dolomites, lors des 16e et 17e étapes, Coppi refait une partie de son retard en s'imposant les deux fois en solitaire. 16e et 17e étapes du Tour d'Italie G9 Em6 ou 7 1948 : Fin octobre, Coppi domine le Tour de Lombardie en battant le record de vitesse, le record d'ascension du col de Ghisello et en arrivant avec près de cinq minutes d'avance sur le deuxième. Milan-San remo 1949 : Pour la troisième et dernière fois de sa carrière, Fausto Coppi remporte la classique Milan-San Remo en début de saison 1949. Il s'impose seul, avec plus de 4 minutes d'avance sur le deuxième. Tour de Romagne 1949 : De retour en Italie, Fausto Coppi écrase le Tour de Romagne en étant échappé en solitaire pendant plus de 60 kilomètres. Giro 1949 : Au Tour d'Italie, il s'impose une première fois lors de la quatrième étape, battant au sprint Adolfo Leoni et Gino Bartali. Accusant près de dix minutes de retard sur Leoni, porteur du maillot rose, Coppi passe à l'attaque dans les Dolomites, lors de la onzième étape. Il s'impose avec près de sept minutes d'avance sur Bartali, Leoni, qui garde la première place. Lors de la 17e étape, « une des plus dures que connut le Giro durant son histoire », Coppi accomplit l'un de ses plus grands exploits. S'échappant dans le col de la Madeleine, il parcourt seul les 190 derniers kilomètres. Il arrive avec 12 minutes d'avance sur Bartali, deuxième. Après cette démonstration, Coppi gagne le Giro, Bartali finissant deuxième à 23 min 47, et apparaît comme le favori du Tour de France. Ses exploits lors de ce Tour ont été narrés par Dino Buzzati, qui suivait la course en tant que journaliste au Corriere della Sera, et qui sous-titre l'ensemble de ses chroniques « Le duel Coppi - Bartali ». 4e, 11e et 17e étapes G12 Em8 ou 9 Tour de France 1949 : Après que les Italiens ont perdu du temps lors des premières étapes, Coppi décide d'attaquer lors de Rouen-Saint- Malo (5eétape). Alors qu'il est dans le groupe de tête, il chute avec le maillot jaune Jacques Marinelli. Il doit attendre sept minutes pour voir arriver son vélo de remplacement. Bien qu'attendu dans un premier temps par ses équipiers, dont Bartali, Coppi perd encore du temps, « pédale presque à une cadence de facteur » et arrive avec 18 min 40 de retard. Reprochant au directeur d'équipe Binda de ne pas avoir été derrière lui pendant l'échappée, il décide alors d'abandonner avant de se raviser. Trois jours plus tard, il gagne le contre-la-montre entre Les Sables-d'Olonne et La Rochelle. Dans les Pyrénées, les Italiens prévoient que Coppi et Bartali s'échappent ensemble. Ils ne parviennent pas à mettre leur plan à exécution, mais Coppi est troisième d'étape et remonte à la huitième place du classement général. Lors de la première étape alpestre, entre Cannes et Briançon, Coppi et Bartali parviennent cette fois à s'échapper ensemble. Ils collaborent en bonne entente et Coppi laisse à Bartali la victoire d'étape, le jour de ses 35 ans. Celui-ci est désormais maillot jaune, devant Coppi. Le lendemain, dans l'ascension du col du Petit-Saint-Bernard, ils procèdent de la même manière. Bartali subit cependant une crevaison. Coppi reçoit l'autorisation de ne pas l'attendre. Il gagne à Aoste avec près de 5 minutes d'avance sur Bartali, 10 sur Jean Robic, et prend le maillot jaune. Lors du contre-la-montre entre Colmar et Nancy, il écrase la concurrence. Il rejoint Jean Robic et Stan Ockers, partis respectivement 8 et 12 minutes avant lui, et met hors-délai 20 coureurs, repêchés par la direction de course. Il gagne avec 7 minutes d'avance sur Bartali, deuxième. Il devient le premier coureur à gagner la même année Tour d'Italie et Tour de France. Depuis six coureurs ont remporté le Tour de France et le Tour d'Italie la même année : Jacques Anquetil en 1964, Eddy Merckx en 1970, 1972 et 1974,Bernard Hinault en 1982 et 1985, Stephen Roche en 1987, Miguel Indurain en 1992 et 1993, et Marco Pantani en 1998. 7e, 17e et 20e étapes T3 Em10 ou 12 ? Paris-Roubaix et Flèche wallonne 1950 : Lors du Milan-San Remo 1950, Fausto Coppi connaît une déception : bien qu'il ait démontré sa supériorité en rejoignant le groupe de tête après une crevaison, il voit Gino Bartali gagner au sprint. Rassuré sur sa forme après une victoire au Tour de la province de Reggio de Calabre, il se concentre sur Paris-Roubaix. Il y obtient une de ses plus grandes victoires. Il réalise une nouvelle démonstration, parcourant seul les 40 derniers kilomètres et arrive avec 3 minutes d'avance surMaurice Diot, deuxième, qui l'accompagnait avant sa dernière attaque. Celui-ci, considérant Coppi « hors-concours », déclare : « J'ai gagné Paris-Roubaix ! »Quelque temps plus tard, Coppi écrase la Flèche wallonne, arrivant avec 5 minutes d'avance sur le deuxième, après une échappée solitaire d'une centaine de kilomètres. Il chute au Giro (6e et 18e étapes G14), abandonne, blessé, et ne peut pas participer au Tour de France. Em11 ou 13 Giro 1951 ? ne participe pas ? Tour 1951 : Dans les Pyrénées, après avoir suivi le groupe de tête entre Dax et Tarbes, il « livre un véritable festival » lors de l'étape Tarbes- Luchon, en compagnie de Koblet. Il passe en tête aux cols d'Aspin et de Peyresourde, mais doit s'incliner derrière Koblet à l'arrivée. Lors de la 20e étape, entre Gap et Briançon. Il gagne avec plus de 4 minutes d'avance sur le maillot jaune Hugo Koblet. 20e étape du Tour de France T4 Em 13 ou 15 Giro 1952 : Deux jours plus tard, Géminiani attaque, accompagné de Coppi. Celui-ci part seul dans l'ascension du Passo Pordoi et gagne l'étape avec plus de cinq minutes d'avance sur ses poursuivants. Il gagne le Giro. 5e, 11e et 14e étapes G17 Em15 ou 17 Tour 1952 : Lors de la dixième étape, le Tour arrive pour la première fois en haut de lamontée de L'Alpe d'Huez. Jean Robic attaque au début de l'ascension, suivi par Géminiani, rapidement lâché, et Coppi. Celui-ci part seul, gagne l'étape avec 1 minute 20 d'avance sur Robic et prend le maillot jaune. Le lendemain, il s'échappe seul sur les pentes du Galibier et gagne à Sestrières avec 7 minutes d'avance. Coppi s'impose à nouveau dans les Pyrénées à Pau, après être passé en tête aux cols de l'Aubisque et du Tourmalet, et au puy de Dôme. Il remporte ce Tour avec plus de 28 minutes d'avance sur Stan Ockers et plus de 34 sur Bernardo Ruiz. Aucun coureur ne s'est depuis imposé avec une telle avance. Comme lors de sa première victoire, Coppi s'adjuge également le Grand Prix de la montagne54. 7e, 10e, 11e, 18e et 21e étapes T9 Em 19 ou 21 Giro 1953 : La18e étape donne lieu à une poursuite entre Koblet, passé en tête au Passo Pordoi, et Coppi. Celui-ci dépasse le coureur suisse et est en tête au col de la Sella, puis est à son tour rejoint par Koblet. Coppi s'impose au sprint à Bolzano et Koblet garde la première place du classement général. Le lendemain, Coppi attaque dans l'ascension du Stelvio et gagne à Bormio. Koblet, qui n'a pas su le suivre, perd plus de 3 minutes et lui cède le maillot rose, à la veille de l'arrivée à Milan. Fausto Coppi gagne là uploads/Religion/ coppi-1.pdf

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  • Publié le Jul 12, 2022
  • Catégorie Religion
  • Langue French
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