Recettes de Sortilèges Pour apaiser les querelles. Ecrivez sur une pomme le mot
Recettes de Sortilèges Pour apaiser les querelles. Ecrivez sur une pomme le mot << Miroch + >>, et jetez-la au milieu des combattants ou disputeurs : les querelles s'apaiseront aussitôt. Dites durant neuf jours, pendant le sacrifice de la messe, ce qui suit : << Colloquavit iterinus sumptu aglu redde perris diabolus infernorum negromantium Salo + Pato + Belbuch + Iterbuch + Salio + Azinium + >>. Il faut faire autant de signes de croix qu'il y en a de marqués entre les mots ci-dessus. Ainsi vous vous rappellerez ce qui s'est passé il y a longtemps. Contre l'arme à feu. Ecrivez sur un billet : << Armisi farisi restingo >>. Il vous protégera des armes à feu. Pour ce faire aimer de telle fille ou femme que l'on désire. Il faut dire en ramassant l'herbe des neuf chemins ou concordia : << Je te ramasse au nom de Sheva pour que tu me serves à m'attacher l'amitié de (nommez la personne) >>. Et ensuite vous mettrez ladite herbe sur la personne, sans qu'elle le sache ni qu'elle s'en aperçoive, et aussitôt elle vous aimera. Pour obtenir l'invisibilité : Il est prescrit ceci, si parmi les poussins nés le vendredi saint se trouve un coq dont le plumage soit entièrement noir, tuez-le l'année suivante à pareil jour, et faites-le cuire entre onze heures et minuit. Cherchez alors le plus petit os de ce coq, et, lorsque vous aurez mis la main dessus, il dépendra de vous de faire merveille. Chaque fois, en effet, qu'il vous prendra fantaisie de l'introduire dans votre bouche, vous deviendrez aussitôt invisible. L'oeuf de coq sert à la confection d'un horrible malefice qui, est ainsi préparé : après l'avoir écrasé, on remplit un des morceaux de sa coque avec des gouttes de la rosée d'une épine blanche recueillie à l'aurore, puis on l'expose aux rayons du soleil. Quand l'astre du jour a bu la rosée, la personne désignée est frappé d'un mal subit et inconnu, qui la dessèche, et, malgré tous les remèdes, elle dépérit lentement. Une forme d'envoûtement plus caractérisé consiste à introduire dans un cierge que l'on fait bruler soit à la maison, soit à l'église, trois aiguilles ou trois épingles. Si toutes les trois tombent pendant l'opération, la personne visée subira votre sortilège au bout de trois semaines, de trois mois ou de trois ans. Comment se protéger des méchants tours des sorciers ? - Prenez chez un boucher, sans prononcer une parole, le coeur entier d'une vache. Payez-le sans compter. Idem chez un cloutier, prenez une poignée de clous. De retour chez vous, entre onze heure et minuit, secrètement, enfoncez vos clous dans le coeur de la bête, et fixez solidement celui-ci à mesure que le coeur se desséchera, le sorcier, sans qu'il puisse s'en défendre, se desséchera lui aussi. - une autre solution est de prendre un coeur de mouton, le percé de clous de part en part, et suspendez le en disant << Rostin clasta, auvara clasta custodia durane >>. Répétez tous les matins ces paroles, pendant une semaine. - les personnes fortes échappent aux influences des sorciers !!! - le sel est un antidote puissant contre les maléfices. - pour ce protéger d'un sortilège, il faut toucher du fer, cracher trois fois derrière la personne suspecte ou cacher le pouce dans la main. Il y a quarante ans, une femme de Sainte-Croix, en Périgord, fu possédée du démon, cela parce que, malgré l'avertissement qui figurait en larges lettre rouges sur une page de grimoire : "Tourne la page, si tu l'oses" , elle avait passé outre. Le diable apparut aussitôt et ne la quitta plus, si bien que, pour l'en démettre, on fut obligé de faire venir le curé et le sacristain, qui eurent beaucoup de mal à le chasser. Au siècle dernier, vivait à Lombers (Tarn) un homme qui guérissait par prières les entorses et les foulures. Un jour, cet homme fut atteint d'une grave maladie dont il guérit parfaitement du même mal et mourut au bout de trois jours. Au moment de sa mort, les personnes qui se trouvaient dans la chambre virent tomber du chevet du lit un carnet sur la couverture duquel il était écrit : Comment travailler avec le diable. L'Agrippa est un livre dangereux. Aussi ne faut-il pas le laisser à portée de la main. On le suspend, au moyen d'une chaîne, à la plus forte poutre d'une pièce réservée. Il est nécessaire que cette poutre ne soit pas droite, mais tordue. C'est un livre énorme. Placé debout, il a la hauteur d'un homme. Les feuilles en sont rouges, les caractères en sont noirs. Pour qu'il ait son efficacité, il faut qu'il ait été signé par le diable. Tant qu'on n'a pas à le consulter, on doit le maintenir fermé à l'aide d'un gros cadenas. L'homme qui possède un Agrippa sent une odeur particulière. Il sent le soufre et la fumée, parce qu'il a commerce avec les diables. C'est pourquoi l'on s'écarte de lui. De plus, il ne marche pas comme tout le monde. Il hésite dans chaque pas qu'il fait, de crainte de piétiner une âme. L'Agrippa contient les noms de tous les diables et enseigne le moyen de les évoquer. On peut grâce à lui, si tel défunt est damné. Le prêtre qui vient de célébrer un enterrement va aussitôt consulter son Agrippa et, à l'appel de leurs noms, tous les démons accourent. Le prêtre les interroge un à un : "As-tu pris l'âme d'un tel ?" si tous répondent : "Nom", c'est que l'âme est sauvée. Pour les congédier, le prêtre les appelle de nouveau par leurs noms, mais en commençant par le nom du diable qui est arrivé le dernier, et ainsi de suite. L'homme qui possède un Agrippa ne peut plus s'en défaire sans le secours d'un prêtre et seulement à l'article de la mort. Le Grand et le Petit Albert : les deux livres de sorcellerie les plus connus. Le premier est un recueil de formules de magie noire (envoûtements, incantations), il est assez épais. On le trouve difficilement. Le Petit Albert, secret merveilleux de la magie naturelle et cabalistiques... ou le solide trésor des secrets... Il y a des formules pour empêcher les cochons de rentrer à l'écurie... Quel humour ! Autres Grimoires de magie : - L'Encheiridion du Pape Léon - Le Dragon Rouge ou l'Art de commander les esprits. - Le Dragon Noir ou les Forces infernales soumises à l'homme. - La Poule Noire ou la Poule aux oeufs d'Or. A Ennordres, dans le Cher, une bergère lisait un de ces livres qu'elle avait trouvé par terre. Peu à peu le troupeau s'éloigna et rentra seul à la ferme. Inquiets de l'absence de la bergère, les maîtres la cherchèrent et la trouvèrent assise au pied d'un arbre, ne pouvant plus faire un mouvement. Le diable se tenait à côté d'elle. Il y a fort longtemps, chaque samedi soir, les fées et les sorcières avaient coutume de s'y réunir de fort loin pour y fêter le grand sabbat. Dès que la nuit commençait à tomber, les sorcières arrivaient, la lanterne à la main et montées sur un manche à balai en guise de cheval. On s'assemblait autour de maître Satan et chacun racontait les événements de la semaine ou narrait à l'avance les expéditions projetées. Après le conseil, la danse commençait pour ne finir qu'au matin. Ce moment arrivé, les rondes cessaient, les sorcières prenaient leurs livres d'enchantements déposés dans les buissons; puis elles retournaient auprès de leurs maris endormis qui ne se doutaient de rien. Mais un jour, il arriva qu'un paysan ayant remarqué dans le bois d'Orville, la lueur bien connue des lanternes, la fantaisies lui prit de savoir à quoi s'en tenir sur ces lumières et en même temps sur les assemblées des fées et des sorcières. Il fit le tour du bois et, y étant arrivé, il se glissa en rampant dans les broussailles jusqu'à ce qu'il se vît auprès des sorcières. Tapi dans un buisson, il put examiner à loisir l'assemblée réunie par le diable. Parmi les danseuses, il remarqua l'une de ses voisines du village et il l'entendit raconter à Satan qu'elle avait jeté un sort sur les bestiaux d'Orville afin de se venger du nom de sorcière que lui avait donné cet homme; elle ajouta que les bestiaux en étaient morts aussitôt. Les sorcières s'étant avancées de son côté, le paysan dut s'éloigner quelque peu toujours en rampant; tout à coup il sentit un livre sous sa main. "C'est sans doute un livre de sorcière", pensa-t-il; et il le ramassa et le mit dans sa poche. En ayant assez vu, il sortit du bois comme il y était entré et reprit le chemin du village. Mais là, il ne put se rappeler quelle était la voisine qu'il avait vu au sabbat. Ayant cherché inutilement, il ne s'en préoccupa plus et alla montrer son livre au curé. Celui-ci l'ouvrit et n'y vit que des feuilles de papier blanc. "Ce uploads/Religion/ recettes-de-sortileges-1-1-2-doc.pdf
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- Publié le Jul 21, 2021
- Catégorie Religion
- Langue French
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