Laurent Glauzy Les géants et l'Atlantide Révélations de l'archéologie interdite

Laurent Glauzy Les géants et l'Atlantide Révélations de l'archéologie interdite La Maison du Salat Dans son édition de décembre 1895, le journal irlandais Strand publie un article de W G. Wood Martin intitulé Traces of the eider faiths of Ireland (Traces des anciennes croyances d'Irlande). Le journaliste commente la découverte faite dans le comté d'Antim par un orpailleur dénommé Dyer. Ce dernier, lors de fouilles, mit au jour le corps d'un géant fossilisé (photographie ci-dessus) mesurant 3,7 mètres, qui sera exposé à Londres dans le dépôt de marchandises de la London and North-Western Railway Company's Broad Street, puis à Liverpool et à Manchester. SOMMAIRE AVANT-PROPOS INTRODUCTION LA BIBLE ET LES GÉANTS COMPARAISON DES INTERPRÉTATIONS JUIVES ET CATHOLIQUES LES MÉGALITHES ET LES CONSTRUCTIONS CYCLOPÉENNES BOLIVIE : LES VESTIGES DE TIAHUANACO MACHU PICCHU : LE MIRACLE DE L'EAU LES PIERRES DU DR JAVIER CABRERA DARQUEA ET LES CÉRAMIQUES D'ACAMBARO LES GALERIES SOUTERRAINES INCAS, LIEUX DE SACRIFICES HUMAINS LE PÈRE CARLOS CRESPI, MISSIONNAIRE ITALIEN ET HOMME DE SCIENCE ÉQUATEUR : MORICZ CONFIRME LES DÉCOUVERTES DU PÈRE CRESPI LES GÉANTS ET LES INCAS LES GÉANTS D'AMÉRIQUE DU NORD LES INDIENS PAIUTES CONTRE LES GÉANTS CANNIBALES LES PYRAMIDES DE L'ILLINOIS L’« OISEAU DE SAQQARAH », L'AVION DES PHARAONS LE COFFRAGE DES PYRAMIDES D'ÉGYPTE LES PIERRES MOLLES DE L'AJJER ET DU TASSILI LE TEMPLE DE BAALBEK LES CINQ PYRAMIDES DE BOSNIE-HERZÉGOVINE L'ATLANTIDE ET LA CIVILISATION DES GÉANTS CARNAC ET STONEHENGE À TRAVERS L'ÎLE DE L’ATLANTIDE CNOSSOS ET LES GÉANTS SACRIFICATEURS ? LA GRÈCE ET LES SACRIFICES HUMAINS SARDAIGNE : LES TOMBES DES GÉANTS LE « MYSTÈRE » DE L'ÎLE DE PÂQUES LES MONOLITHES DE POLYNÉSIE LES PYRAMIDES CHINOISES LES PYRAMIDES SOUS-MARINES DU JAPON L'ORIGINE DES SITES MÉGALITHIQUES TÉMOIGNAGES ET PREUVES SCIENTIFIQUES RÉCITS DE PRÊTRES ET DE CONQUISTADORS LES GÉANTS DE CASTELNAU-LE-LEZ ET DE GLOZEL DES PHARMACIES CHINOISES AUX DÉCOUVERTES DU DR BURKHALTER DES « GÉANTS » COMME CHARLEMAGNE LE GIGANTISME ET LA SCIENCE EXPLICATION DU GIGANTISME DANS LA FAUNE ET LA FLORE LA DISPARITION DES GÉANTS LA RAISON SURNATURELLE EXPLICATIONS DU LIVRE DE BARUCH L’ « ARMAGEDDON GÉNÉTIQUE » CONCLUSION ANNEXE I - LE CRÉATIONNISME, UN VENT DE RÉVOLUTION DANS LA SCIENCE APPENDICE 1 À L'ANNEXE I - L'IMPOSTURE DU CARBONE-14 APPENDICE 2 À L'ANNEXE I - LE STÉGOSAURE DU TEMPLE D'ANGKOR APPENDICE 3 À L'ANNEXE I - CE CHAPEAU DE PIERRE QUI RIDICULISE LES ÉVOLUTIONNISTES APPENDICE 4 À L'ANNEXE I - LES CHUTES DU NIAGARA ET LES DATATIONS BIBLIQUES ANNEXE II - 4,5 MILLIARDS D'ANNÉES ? FANTASMAGORIE ÉVOLUTIONNISTE ! APPENDICE 1 À L'ANNEXE II - URANUS, UN CASSE-TÊTE POUR LES ÉVOLUTIONNISTES ANNEXE III - DIEU CRÉA LE CIEL ET LA TERRE LE DIMANCHE 23 OCTOBRE 4004 AVANT JÉSUS-CHRIST ! APPENDICE 1 À L'ANNEXE III - L'ARCHE DE NOÉ ANNEXE IV - LES DINOSAURES DU DR JAVIER CABRERA DARQUEA APPENDICE 1 À L'ANNEXE IV - L’ARCHÆORAPTOR : UN MENSONGE ÉVOLUTIONNISTE ANNEXE V - UN MINISTRE DE LA SCIENCE DÉFEND LE CRÉATIONNISME BIBLIOGRAPHIE LE GARÇON ET L'OUVERTURE DE LA MER ROUGE L'AUTEUR DU MÊME AUTEUR Pour ma femme Mariane, que je remercie pour ses encouragements et son soutien constant apportés dans mes recherches et mes travaux d'écritures. « Tout ce qui n'est pas Dieu n'est rien et ne doit être compté pour rien. Il y a une grande différence entre la sagesse d'un homme, que la piété éclaire, et la science qu'un docteur acquiert par l'étude. La science qui vient d'en haut et que Dieu lui-même répand dans l'âme, est bien supérieure à celle où l'homme parvient laborieusement par les efforts de son esprit. » L'Imitation de Jésus-Christ, livre III, ch. 31. « La science moderne est la Bible du démon. » Padre Pio « C'est dans les allégories des Anciens qu'on trouve les éléments des sciences les plus utiles. Quoique certaines personnes n'y voient que des fables, cherchez-y des vérités, vos recherches ne seront point vaines. » Extrait du Grand livre de la Nature AVANT-PROPOS Le créationnisme s'oppose aux pseudo-dogmes de l'évolutionnisme. Son concept d'un Dieu Créateur développe des origines plus nobles que celles d'une ascendance simiesque de l'homme. Le biologiste anglais Charles Darwin (1809-1882) affirmait que toutes les espèces vivantes avaient évolué, au cours du temps, à partir d'ancêtres communs, grâce à la « sélection naturelle ». Cette croyance, qui ne doit rien à l'observation scientifique, s'est effondrée depuis plusieurs années comme un vulgaire château de cartes. Darwin, qui bénéficia des subventions généreuses de son cousin Francis Galton1, deuxième fortune d'Angleterre et fondateur de l'eugénisme, porte l'étendard d'une science obscurantiste. Jean-François Marcel, docteur en biochimie, constate : « Ne retenant que les hypothèses issues de la théorie et refusant celles tirées des faits empiriques, la nouvelle logique scientifique provoque une rupture entre science et réalité. Dans ce nouvel empirisme imposé par les darwiniens à l'ensemble de la communauté scientifique, ce sont les théories qui dictent leurs lois aux faits et non les réalités qui dirigent la science et guident ses progrès2. » Et pour cause : contrairement à toutes les idées reçues, Darwin n'était pas un scientifique. Avant de se lancer dans la théologie à Cambridge, il avait entamé des études de médecine à Édimbourg, qu'il abandonna, rebuté par la complexité des cours. Pourtant, il fut l'« homme de science » le plus décoré depuis Isaac Newton : Darwin était membre honoraire de soixante- quinze académies ou sociétés savantes étrangères. Les théories de cet imposteur manquent d'arguments. En 1859, dans son De l'origine des espèces3, il reconnaît : « Or, bien que beaucoup de points soient encore très obscurs, bien qu'ils doivent rester, sans doute, inexpliqués longtemps encore, je me vois cependant, après les études les plus approfondies, après une appréciation froide et impartiale, forcé de soutenir que l'opinion défendue jusque tout récemment par la plupart des naturalistes, opinion que je partageais moi- 1 Erasmus Darwin (1731-1802), le grand-père de Charles Darwin et de Francis Galton, était considéré comme poète de talent et grand médecin. De La découverte de fossiles d'animaux, il tira la conclusion que la vie s'était développée à partir de coquillages microscopiques. Il publia sa théorie de l'évolution en 1794 dans son livre intitulé Zoonomia, or die laws of organic life (Zoonomie ou les lois de la vie organique). 2 Jean-François MOREEL, Le darwinisme, envers d'une théorie, Paris, E-X. de Guibert, 2007, p. 10. 3 Le titre entier, rendant compte de l'idéologie raciste de Darwin, n'est jamais cité : De l'origine des espèces au moyen de la sélection naturelle, ou la préservation des races les meilleures dans la lutte pour la vie. même autrefois, c'est-à-dire que chaque espèce a été l'objet d'une création indépendante, est absolument erronée4. » Le darwinisme n'a jamais eu pour objectif d'éclairer les consciences, mais de dessiner les contours d'une pseudoscience anti-Dieu et d'instituer, dans une première étape, une révolution des mentalités et un rejet de la foi chrétienne. L'histoire illustre parfaitement cette réalité. Le darwinisme fut enseigné aux populations chinoises pour faciliter, des décennies plus tard, l'implantation du communisme. Le nom de Charles Darwin fut mentionné pour la première fois dans un quotidien de Shanghai, en 1873 ; mais il faudra attendre 1920 pour que De l'origine des espèces soit traduit en chinois. Zhang Xian'en, directeur du département de recherche fondamentale au ministère des Sciences et Technologies chinois, déclare avec perspicacité : « Il ne pouvait changer la nature, mais il changea le monde entier5. » Dans un tel contexte, les universitaires, imprégnés par un véritable lavage de cerveau évolutionniste, ne soupçonnent pas que le Moyen Âge fut, sans commune mesure avec notre temps, une incroyable période de trouvailles intelligentes et d'inventions révolutionnaires6. En 1991, dans Inventing the flat earth : Columbus and modern historiens (Invention de la Terre plate : Colomb et les historiens modernes), l'historien américain Jeffrey Burton Russel, mettant à mal les idées reçues sur les géographes du Moyen Âge européen et de l'Antiquité gréco-romaine, expose que le navigateur génois Christophe Colomb n'a jamais eu à démontrer que la Terre était ronde. Tout le monde le savait déjà, et depuis fort longtemps ! Les auteurs médiévaux affirmaient la rotondité de la Terre, comme le faisait le philosophe grec Platon (428/427-348 av. J.-C.). Russel retrace la généalogie du mythe moderne, selon lequel le Moyen Âge croyait la Terre plate. Il révèle, en fait, que les auteurs de ce mensonge - repris dans la presse et dans les manuels scolaires - sont les évolutionnistes libéraux américains7. 4 Charles DARWIN, De l'origine des espèces, Paris, Flammarion, 1992, p. 50. 5 Beijing information du 14/12/2009, in Darwin évolue toujours en Chine. 6 Le chimiste, physicien et astronome berbère musulman Abbas ibn-Firnas (810-887) réussit à planer avec une machine volante. Il se blessa mortellement à l'atterrissage. Les dessins d'ailes-battantes de Léonard de Vinci, figure de la très gnostique période de la Renaissance, étaient bien loin d'égaler le savoir d'ibn-Firnas. Dominique Tassot, docteur en philosophie et ingénieur de l'École des Mines de Paris, observe au sujet du Moyen Âge : « Il y a ici une vaste méprise. Le Moyen Âge, en réalité, fut une époque très inventive ; surtout, uploads/Science et Technologie/ les-geants-et-l-x27-atlantide-laurent-glauzy.pdf

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