Sommaire Introduction Comment marche la Radiesthésie ? Une tentative d'explicat

Sommaire Introduction Comment marche la Radiesthésie ? Une tentative d'explication Les outils : le Pendule et la Baguette L'utilisation de témoin Que peut on rechercher ? Comment s'entraîner ? Les erreurs généralement commises Méthode de recherche sur le terrain Méthode de recherche sur plan Mesure de grandeurs physiques Méthode d'étude de caractère Méthode de recherche de personne Les Scientifiques et la Radiesthésie Introduction Comment suis je devenu Radiesthésiste sans le vouloir. Il est parfois surprenant de constater, qu'un élément insignifiant au prime abord, devienne à posteriori un des souvenirs les plus importants de sa vie. Il en est ainsi, avec l'histoire de ces deux pièces : assez communes et fort banales au demeurant, mais qui pour mon histoire personnelle ont conditionné fortement ma manière d'envisager le monde, le temps, ma vie, et sont fortement responsables du contenu de ce traité. De formation scientifique, et plutôt enclin à ne croire que ce qui est démontrable, ma position sur les phénomènes "anormaux" était plus exactement du genre "méfiance et charlatanisme", de ce fait rien ne me prédisposez à devenir radiesthésiste; et si quelqu'un m'avait dit un jour que je serais amené, dans l'avenir, à créer un tel site, je l'aurais regardé, je pense avec une certaine incrédulité amusée ! Bien que quelques signes précurseurs dans ma prime jeunesse, m'aient obligé à me positionner sur certains phénomènes dits "anormaux" (prémonition, télépathie ....), j'ai préféré opter par la suite pour l'étude des sciences exactes, plus satisfaisantes pour l'esprit, sans toutefois exclure l'existence de tels phénomènes dont j'avais été l'objet à mon insu, mais que j'avais classé, suite à leur non reproductibilité, comme "possibilités exotiques" du cerveau humain. Il est parfois des choses, que l’on rêve de faire tout petit, mais qui, pour diverses raisons, ne se font pas. Plus tard, à l’âge adulte, on en garde sans le savoir un regret, et souvent, un jour, à la suite d’un détail quelconque, cette envie d’enfant resurgie, nous poussant généralement à la réaliser. Avoir un détecteur à métaux était pour moi un de ces rêves d’enfant, que j’ai décidé de concrétiser un jour, suite à l’achat par hasard d’une revue sur le sujet. Je décidais de m’acheter un FISHER 1266X. Mais voilà, une fois acheté, et c’est bien là le problème des rêves d’enfant, à quoi allait donc me servir un tel engin ? je n’en avais aucune idée. Peu importe, un rêve c’est un rêve, et du moment que l’on se fait plaisir, c’est l’essentiel. Je décidais donc de mettre mon FISHER dans le coffre de ma voiture, et « de détecter » au hasard après ma journée de travail. Curieux du fonctionnement de mon FISHER, je décidais d’aller discuter avec un collègue expert en magnétisme, sur le principe utilisé pour la discrimination des métaux. Au cours de la discussion, je remarquais diverses pièces étrangères sur son bureau, et au milieu de celles-ci une ancienne pièce française de 5 francs en aluminium : Décidément les rêves d’enfant sont liés, cette pièce me rappela le souvenir de ma tirelire d'enfant contenant ces anciennes pièces, véritable trésor pour moi à l'époque. C'est avec ce souvenir que je formulais intérieurement mon désir : ce détecteur à métaux allait me permettre de retrouver des pièces anciennes. Mis à part les pièces que j'avais pu connaître étant petit, je dois bien avouer, que ma culture en pièce ancienne se limitait à cela. Mon collègue, me voyant si songeur, décida de me l'offrir. Je le remerciais, et la mis dans ma poche, sans plus y penser de la journée. En fin de journée, je décidais de partir en prospection dans une forêt proche de mon lieu de travail. N'étant jamais allé dans cette forêt, je décidais de prendre une route au hasard, et au bout de quelques kilomètres, d'arrêter la voiture, au bord de la route. Ce fût le premier comportement étrange, en effet j'aurais pu arrêter mon véhicule sur des places de parking, bien avant ou bien après ce point, je n'avais que l'embarras du choix. et pourtant l'endroit que je venais de choisir ne permettait pas de garer la voiture correctement, elle empiétait très largement sur la route et croyez-moi, c'est une chose que j'évite toujours de faire, trouvant cela dangereux. Le plus paradoxal dans cette histoire, c'est que cette fois-ci je ne me suis même pas posé de question, je l'ai fait de la manière la plus naturelle, comme si c'était mon comportement habituel ! Après réglage de mon détecteur, je décidais de prendre un petit sentier en face de la route, longeant un canal. Le deuxième comportement étrange, fût que soudain, après une centaine de mètres parcourus le long de ce canal, je décidais sans aucune raison de me diriger vers des fourrés, me frayant difficilement un chemin parmi la végétation, et là, à environ deux ou trois mètres du chemin, mon détecteur à métaux se mit à sonner. Sous quelques centimètres de terre je trouvais ma première pièce : Une pièce de 5francs en aluminium identique à la date prés, à la pièce que j'avais dans la poche ! Je pense que mon visage à ce moment là devait à la fois refléter : de la joie d'avoir trouvé une pièce ancienne, et de la stupeur d'avoir trouvé justement cette pièce là ! Ma formation de scientifique, fût à ce moment là soumise à rude épreuve. En effet mathématiquement, une probabilité infime existait d'effectuer une telle trouvaille, car après tout, c'était des pièces très communes et fortement répandues. Mais je jugeais cette probabilité justement beaucoup trop infime pour qu'elle puisse expliquer le phénomène. Cet également à ce moment là, que je pris conscience de mes deux comportements étranges, renforçant ainsi l'idée que la "notion de hasard" n'expliquait rien, et représentait une solution de facilité pour ne pas se poser de question. C'est ainsi que je rentrais de détection avec mes deux pièces en poche, et de fortes interrogations dans la tête. La solution arriva toute seule quelques jours après. Je tombais "par hasard" (mais je commençais très sérieusement à douter de cette notion de hasard) sur une revue parlant de chercheurs utilisant la Radiesthésie comme moyen d'investigation. Je n'avais avant de lire cet article aucune notion de cet art, mais à la lumière de l'article, il m'apparut de manière évidente que mon expérience était bel et bien une expérience Radiesthésique. J'avais naturellement déroulé la méthode utilisé par les Radiesthésistes à savoir : 1) L'orientation mentale de la recherche . Cette orientation s'est faite à mon insu lorsque voyant la première pièce, je fixais mon attention dessus, forçant ainsi mon inconscient à résoudre ce problème où trouver une pièce identique près de l'endroit où j'étais. 2) le laisser faire du conscient pour rendre l'acte radiesthésique possible. Par mon attitude de partir au hasard sans idée préconçue d'un lieu quelconque, je permettais à mon inconscient de prendre le contrôle, celui-ci avait par une manière inconnue résolu le problème posé et déterminé l'endroit exact, il m'imposa donc de me garer à un endroit, de prendre un chemin bien précis, et de le quitter à un endroit précis afin de m'amener tout droit à l'endroit de la pièce. Tout au long de cette phase mon conscient s'était mis en phase de "surveillance passive" d'abord en conduisant puis en écoutant le détecteur à métaux, sans intervenir dans la prise de décision. Mon détecteur de métaux avait joué le rôle du pendule. Mon conscient avais repris le contrôle lors de la découverte de la pièce, avec un vide d'explication qui causa mon trouble. Mes conclusions de l'histoire furent multiples : - J'avais fait un acte de Radiesthésie sans rien connaître au préalable et sans don particulier. - L'acte de Radiesthésie était donc un acte naturel chez l'homme, une sorte de capacité latente. - Il en découlait que "Tout le monde" devait posséder cette capacité naturelle. - Dans la vie de tous les jours nous n'avions pas conscience de ces actes, leur attribuant la notion commune et banale de "hasard". - Dans la vie de tous les jours, seule notre conscience et notre volonté étaient sollicitées, empêchant l'inconscient de s'exprimer. Ce dernier utilisait alors ce que l'on dénommait "hasard dans notre vie" pour se manifester lorsque c'était important pour nous. - Un acte radiesthésique ne pouvait exister sans un "lâcher prise". - L'acte de radiesthésie ne nécessitait aucun "outil", seul un état de réceptivité était nécessaire. - Toutes ces conclusions étaient certes satisfaisantes pour l'esprit, mais elles n'expliquaient en rien la constatation suivante : "Comment diable mon inconscient avait réussi à savoir qu'une pièce identique était à cet endroit là de la forêt ?" Ce dernier point m'amena à des recherches poussées sur le sujet. Une expérience un peu similaire : Je me permet de relater dans l'intégralité l'expérience similaire de Maurice LE GALL (ancien élève de l'école Polytechnique), que l'on peut trouver dans son livre "Toute la Radiesthésie en neuf leçons", elle est amusante et originale : Le 28 juin 1940, étant prisonnier de guerre à l'Oflag IV D, j'assiste à une uploads/Science et Technologie/ traite-de-radiesthesie-xam.pdf

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