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\ ' / S!rr.~ th LETTR. E N• 32 - 6• ANNEE - FEVRIER 19G2 DE 1 LA SANTÉ A LA PAIX 1 [E XXe IECLE ST-IL AMPAKO NORMAL SAMPAKO UE -SAMPAKO Prix : 2 NF ABONNEZ-VOUS SANS TARDER Abonnement annuel 20 Nf C E N T R E 1 N T E R N A li 0 N A L 1 G N 0 R A M U S 10 bis, rue tamartine - Paris { 9') - Tél. :TRU 74-78 C.C.P. PARI~i5998·91 1 r \ ( Ce / numero est le dernier que vous recevez g ra tu itement lllllllllllllllllllllllllllllllltllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllltllllllltllllllllllllllllllllllllllllllllllllnllllllllllllllllllllll1lll Dans notre prochain numéro, trois grands articles du P. rofesseur OHSAW A : L'ENFANT MACROBIOTIQUE LE REIN LA MENTALITE D'UNE NATION ERRATUM - Nous nous e:x;cusons aup,rès de nos lecteurs, la lettre pmte n " 30 au lieu de 31. 2 / •HOMME AUX YEUX SAMPAKO e Il est en danger de mort •, U attire les catastrophes e Il finit toujours tragiquement Lorsqu'on s'évanouit ou qu'on meurt nos yeux se tournent vers le h aut, on distingue alors trois parties de la sclérotique (le blanc de ,Iloûl), une à droite, une à gauche, l'autre en bas (voir notre cou- . yprture 2• dessin) . Si l'on observe un individu normal regardant droit devant lui on n'aperçoit que deux parties de la sclérotiqne, l'une à droite, l'autre à gauche. C'est l'œil d'un vivant (voir notre couverture 1er dessin). Il y a cependant beaucoup de personnes chez lesquelles on dis- tingue de façon permanente les « trois blancs » de l'homme évanoui ·ou. mourant. C'est l'œil « Sampako », l'œil aux « trois blancs », qui traduit un état de morbidité avancée. Beaucoup de drogués, d'al- cooliques, de malades mentaux, de gens coléreux ou qui ont absorbé des doses excessives de médicaments, d'adolescents qui abusent de boissons glacées et sucrées présentent ce signe. C'est une dilatation cellulaire mortelle, « Yin » en excès. Plus haut est votre iris, dit la médecine d'Extrême-Orient, plus proche est votre fin. Si en mourant nos yeux sont toujours révulsés, en nlJissant, au contraire, nos iris sont en bas. Tous les bébés sont « Ue-Sampako » (deux « blancs » latéraux, un « blanc » supérieur) signe très <<Yang »,grande vitalité, résistance (voir. notre couverture 3• dessin). ASSASSINS ET ASSASSINES En lisant dans le journal les crimes quotidiens, vous serez éton- nés de reconnaître l'œH << Sampako » aussi bien chez les meurtriers que chez les victimes. Autrement dit « Sampako » est facilement chien enragé ou victime. Ce signe est fatal s'il existe chez un meneur d'hommès, un chef de gouvernement Hitler était « Sampako ». Kennedy est « Sampako )>. lt"i'üpp est « Sampako ». Chez les dévoyés, les ·suicidés, la jeunesse délinquante on retrouve aussi e signe physiognomonique : l'assassin d· e Saint-Germain-d·es- Prés (« France-soir » 13-2-62) est « Sampako », etc. 3 PICASSO Picasso fut « Sampako » dans sa jeunesse, jusqu'à trente atis., plus tard ses yeux reprirent le·ur position normale. Il est intéressant d'étudier la peinture qu'il produisit à cette époque morbide. II était « Sampako », il ne l'est plus, il s'est guéri lui-même. << Sampako » n'est donc pas incurable. Celui qui s'est guéri lui- même de son << Sampako » est plus heureux. que celui qui ne l'a jamais été., CAUSE ET GUERISON DE SAMP AKO La cause du « Sampako » est biologique et physiologique. Actuel- lement les progrès de la maladie chez des peuples à civilisation avancée sont un signe de désordre qui atteint finalement le psy- chisme (peur et psychose collective). Il faut prévoir qu'à moins d'une prise de conscience de ce dérè- glement et de son vrai remède. L'homme moderne jette ou jettera dans une destruction générale une vie qu'il ne contribue plus à embellir parce qu'il lui est impossible de la contrôler. • Le dérèglement physiologique est facteur du milieu et de la nourri.ture depuis la période embryologique jusqu'à notre fin ultime. C'est cela qu'il faut contrôler parfaitement afin d'éviter des fins tragiques telles que Hitler, Lincoln, Napoléon, Marie-Antoinette, AJ Capone, Vivekananda, qui étaient tous « Sampako ». Le choix est entre nos mains. La santé est une certaine qualité de l'âme. G.O. 4 A QUELLE ÉTAPE DE LA MALADIE APPARTENEZ-VOUS ? • Les 7 étapes de ln 'tna ladie Selon notre philosophie, la maladie a 7 étapes 1) La fatigue : Physiologiquement et biologiquement peut être guérie parfois en 2 ou 3 jours. 2) La souffrance Physiologiquement et biologiquement peut être guérie -parfois en 2 ou 3 jours. La fatigue et la souffrance sont des symptômes causés par la lutte entre notre organisme et la maladie. 3) La maladie du sang : Par exemple, le cancer du sang, la leucémie, l'hémophilie, l'ané- mie, etc. 4) La vagotonie et la sympathicotonie Arthritisme, rhumatisme, etc. 5) La maladie des organes : Maladies de l'estomac, du cœur, de l'intestin, cancers des orga- nes, du foie ; maladies des reins et hypertension artérielle, etc. 6) La maladie psychologique : Troubles affeqtifs, nerv-osité, perte de mémoire, etc. Est très malade celui ~ui s· e met facilement en colère ou ref-oule sa - oolère. 7) L'arrogance : C'est la maladie la plus difficile à guenr. Les personnes qui ne peuvent accepter la moindre petite chose sont arrogantes; elles sont exclusives. Si vous êtes en bonne santé vous pouvez tout ac- cepter : « Je n'ai jamais rencontré un homme que je n'ai pas aimé » (William Rogers) . Plus la ma~adie est d'une étape élevée, pl:us elle est difficile à guérir. Jusqu'à la troisème étape vous pouvez guérir en 10 jours. A quelle étape de maladie êtes-vous ? · Vous devez être votre propre médecin, et non seulement méde- cin, mais le C'.'éateur de vous-même. Telle est la raison d'être de notre philosophie. G. O. 5 1 1 r CIVILISATION ET MENTALITÉ De tous temps les hommes se posèrent cette. question : que doit-on préférer : le collectivisme ou l'individualisme? De nos jours, le collectivisme est partout florissant dans le monde. La démocratie en est l'expression gouvernementale. Quels sont les pays, malgré parfois certaines apparences, qui n'ont pas pour idéal un gouvernement d8mocratique? Le collectivisme se présente sous deux aspects : communisme et capitalisme. Communisme et capi- talisme sont, malgré des apparences trompeuses, tout à fait identi- ques : ils vivent des mêmes intérêts, proclament la suprématie du profit et du progrès matériel et prospèrent en flattant le jugement aveugle et sensoriel des masses et grâce là l'éÇlucation qui tue dans l'individu toute pensée et pouvoir créateur. Une telle identité est sans doute la cause de ce que ces deux systèmes qui se partagent le monde sont perpétuellement en conflit et désaccord, tout comme se repoussent deux systèmes ayant la même polarité (yang exclut yang). Le capitalisme n'a aucune idéologie (le véritable christianisme, que l'on dit être du côté du camp ca~italis~e, n'a er: r~a lité rien à voir avec le capitalisme et la démocratie). C est ce qm fait la supé- riorité relative du communisme, dont l'idéologie depuis K; Marx et Lénine est solidement établie grâce à l'étude et à la prat1que de la dialectique. Mais une telle étude et une telle pratique S'Ont tout à fait relatives, inférieures et mécaniques. · En somme ces deux systèmes, vu leur nature caractéri::;ée par la cécité du j'ugement, mèneront l'humanité à la catastrophe. Fant-il donc nous rabattre sur l'individualisme'? . S'il ,s'agit .de l'individualisme tel . qu'il est généralement compns, c est-à-du:e l'égoïsme et l'exclusivisme, on ne sort pas du tout du monde ·relatif et fini ; bien au contraire. Cependant l'individualisme est . préfér~ble au co.~lecti vis_'.n.e. En effet c'est l'individu ou homme qn1 constitue la véutable 1 1 chesse, et n~n la collectivité. Mais cette 1·ichesse ne de~iPn.t réelle que lor~ que , l'homme est à l' « image de Di~u :> . ou de 1 Uni v e.~·s . Le but . e;:;t alOJ'S de développer chez l'homme. mdiVIdu~l la consc renc~. l.a com- préhension autrement dit de dév01ler son ]ugemerlt. Le .cl.evo1lemcnt du 'jugemei:tt est un trav~ il. personnel .. pas dl~ to~t .col lectif. ~ En somme, la collectivité, ou société: d~H ~ et1 ~ la co n:séq ~:ence naturelle du développement de chaque mdl vidn. lins 1~ consc1ence 011 Je jugement de chaque individu est élevé pl_us la société est har- moniense. On ponl'l'ait appeler ce ryo_uveau syseme, basé sur de tels .principes : l'inclividualisnte collectw· tst:e. . . . L'indi\'iclualisme collectiviste. n'a ~a; bes?in de re~1g10n (la .~é t'I tahle rPI igion est celle de l'Espnt). \1' r _dt>olog1e., de .mo~ a le, .cle}~ ' s. 0t, ii ln ' frn·te raison de ·soldats cle polr c1 ers ou cl es p1 '0n~ . Il Incllr < I Hl- • p ·"' ]' ·'cl à l'ét11de personnelle cl0 l'Ordre de l'Umyers Pt cl0 smt qrw mc 1' 1 u • < I" 1 · t' · v· " de Principe unique ainsi qu'à l'éttHlc <le ln o uploads/Sante/ 032-cropped.pdf