L’EXPÉRIENCE DE LA MÉDECINE NATURELLE STRESS : TUEZ-LE DANS L’OEUF Près d’un qu
L’EXPÉRIENCE DE LA MÉDECINE NATURELLE STRESS : TUEZ-LE DANS L’OEUF Près d’un quart des Français se sentent « stressés tous les jours ou presque » mais ne savent pas comment évacuer cette tension. Il faut pourtant agir vite avant qu’il ne devienne chronique car il fait le lit d’une infinité de pathologies. Bien avant de recourir aux médicaments, de très nombreuses solutions thérapeu tiques naturelles s’offrent à vous pour lui régler son compte.…(p.18). M A R S 2 0 1 5 • n ° 2 2 Le prix de la civilisation Notre dossier p. 8 à 14 Maladies auto-immunes Les remèdes naturels en période d’examen (p. 06) Nathalie Lefèvre a testé la musicothérapie (p. 21) L’hypertension artérielle : discrète et trompeuse (p.22) L’EXPÉRIENCE DE LA MÉDECINE NATURELLE La version PDF du numéro 22 que vous lisez en ce moment a été finalisée le mardi 3 mars 2015. Cette version PDF ne reprend pas les articles parus dans la newsletter du jeudi. Ceux-ci ne peuvent être consultés que sur la version «en ligne» du magazine. Chaque semaine - et jusqu’à la parution du n°23 - nous mettons à jour le numéro en cours en y ajoutant deux ou trois articles. Ces textes, vidéos ou documents audio, réservés aux abonnés. vont enrichir le magazine en ligne mais ne sont par ajoutés à la version PDF. Je vous recommande donc de lire nos numéros directement en ligne et de vérifier régulièrement si de nouveaux articles ne sont pas venus enrichir le numéro en cours. Alexandre Imbert sommaire 4 actualités 6 Traitement Trac, s’en débarasser avant les examens. 7 Traitement Homéo de la réussite scolaire. 8 Dossier Maladies auto-immunes Il y a seulement une vingtaine d’années, les maladies auto-immunes étaient quasiment inconnues. On découvre progressivement qu’on peut regrouper sous cette appellation un grand nombre de pathologies et que leur liste s’allonge irrémédiablement. Face aux maladies auto-immunes, la médecine officielle est aujourd’hui totalement désarmée et la recherche dans ce domaine reste limitée du fait du petit nombre de patients concernés par chaque affection. Les maladies auto-immunes sont la conséquence de notre mode de vie moderne. Seuls les tenants de la médecine naturelle sont prêts à l’admettre. 15 En tête à tête François Couplan. L’ail des ours. 16 Rencontre Maria-Elisa Hurtado-Graciet : Il ne faut pas négliger les causes émotionnelles des maladies. 18 Traitement Le stress. L’étouffer dans l’œuf. 21 Testé pour vous Nathalie Lefèvre a testé la musicothérapie. 22 Traitement L’hypertension artérielle, discrète et trompeuse. 26 Remède Allergique au soleil ? Protégez-vous avec le Polypodium. 27 Courrier des lecteurs Édito Les obèses dans le piège de l’empoisonnement O n est trop gros... Dans les pays développés le surpoids est désormais la norme. Je ne parle pas d’obésité, mais seulement de surpoids. Selon les chiffres de l’OMS, en 2014, plus de 1,9 milliard d’adultes – personnes de 18 ans et plus – étaient en surpoids. Sur ce total, plus de 600 millions étaient obèses. Le surpoids et l’obésité concernent déjà près de 42 millions d’enfants de moins de 5 ans... Dans les foyers, notamment chez les femmes et encore plus à l’approche du printemps, c’est un peu la panique avec son cortège d’excès dangereux : on se lance dans des régimes déraisonnables, on détourne les médicaments de leur fonction initiale, on sucre à l’aspartame, on multiplie les interventions chirurgicales (liposuccion, anneau gastrique)... L’»épidémie» de kilos est ainsi devenue, depuis des années, une véritable manne pour tout un tas d’industriels, géants de l’agro-alimentaire et labos pharmaceutiques en tête. Je ne suis pas le seul à critiquer ce business des «gros» et certains pensent qu’il faut le faire en réhabilitant l’image des personnes en surpoids. On s’extasie désormais sur les rondeurs de mannequins plantureuses et on défend le droit des obèses à occuper plusieurs places dans un avion. Quelle générosité, quelle ouverture d’esprit... dira-t-on, mais, au risque de vous choquer, je vous avoue que je ne suis pas favorable à cette banalisation du surpoids. Dois-je vous faire remarquer qu’un lion n’est jamais en surpoids, alors qu’un chat domestique l’est fréquemment. Est-ce parce qu’il fait le régime Dukan ? On me répondra que le lion doit chasser, alors qu’un chat domestique n’a qu’à se rendre à la cuisine. Mais cette explication ne tient qu’à moitié parce que le lion chasse peu et que le chat domestique joue, se promène et chasse même jusqu’à ce qu’il soit trop vieux... ou trop gros pour le faire. Alors vous allez me dire que le lion ne mange pas à sa faim, ce qui est là aussi inexact, les animaux sauvages ont en général un bon équilibre nutritionnel. Non, la vraie raison du surpoids n’est pas l’abondance ou le dérèglement de l’impression de satiété, c’est l’empoisonnement généralisé des populations et l’absence de valeur nutritive des aliments que nous mangeons. Notre organisme fonctionne en effet de manière très pragmatique. Tant qu’il lui manque des nutriments, il vous les demande. Et lorsqu’un poison se présente, il tente de l’éliminer. S’il n’y parvient pas, il le stocke dans un endroit où il ne fera pas trop de mal : un gros bloc de graisse. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les régimes s’accompagnent souvent de maux de tête à cause des poisons qui sont remis dans le circuit. L’empoisonnement généralisé dont je parle n’est d’ailleurs pas que physique, il est également psychique : je mange parce que c’est l’heure à laquelle on doit manger ou parce que j’ai vu quelqu’un en faire autant à la télé. À l’approche du printemps, vous êtes nombreux à nous demander des conseils pour maigrir et, si vous lisez bien nos publications, vous verrez que nous n’en donnons jamais. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas d’autre conseil à vous donner que celui-ci : mangez sainement. Tâchez de ne plus consommer d’aliments raffinés, de nourriture transformée, aseptisée, sur-cuite, de fruits et légumes forcés, de viande torturée... il n’y a rien de plus simple comme conseil et pourtant, vous verrez qu’il est extrêmement compliqué de l’appliquer. Ce qui vous permettra, au moins, de réaliser à quel point nous sommes pris dans le piège de l’empoisonnement. Ce sera un premier pas.l Alexandre Imbert Actualités n° 22 l mars 2015 l ALTERNATIVE Santé L e magazine Prescrire éclaire sur les risques de sur-diagnostics de cancer du sein durant les mammographies de dépistage en apportant des chiffres éloquents qui donnent à réfléchir. Sur 1000 femmes qui participent à un dépistage du cancer du sein entre 50 et 70 ans (soit 11 contrôles par femme), environ 75 cancers du sein seront découverts grâce à ce dépistage tandis que 15 autres le seront en dehors de ce circuit. Au final quelques femmes subiront un traitement moins lourd grâce à ce dépistage et entre 0 et 6 éviteront la mort. Mais et c’est là que le bât blesse : « au moins 19 femmes sont étiquetées, malades du cancer et exposées inutilement aux effets indésirables des traitements d’un cancer (chirurgie du sein, radiothérapie, hormonothérapie, chimiothérapie), alors que leur cancer serait resté asymptomatique en l’absence de dépistage » alerte le journal. l Prescrire, février 2015 Mammographie : peser le bénéfice-risque Le tabac rétrécit le cerveau, la méditation le rajeunit ! L e tabac entrainerait un amincissement du cortex cérébral (mémoire, langage, perception…) d’après des chercheurs anglo-saxons. Si vous êtes fumeur, des études ont déjà montré qu’en vieillissant votre fonctionnement cognitif sera globalement légèrement inférieur aux non-fumeurs tout comme votre mémoire et votre flexibilité cognitive. Et aussi que le tabagisme augmente votre risque de démence. Dans cette nouvelle recherche, des IRM ont comparé des cortex de fumeurs actuels, d’anciens fumeurs et de non-fumeurs. Résultat des courses : le cortex s’amincit normalement en vieillissant mais fumer accélère ce processus. En revanche, si vous arrêtez de fumer, le cortex peut se régénérer en partie mais lentement et pas complètement. Chaque année d’arrêt serait donc synonyme d’amélioration cognitive. Il vous faudra cependant 25 ans d’abstinence pour retrouver le cerveau d’un non-fumeur ! Trop long ? Vous pourriez peut-être opter alors pour la méditation pour réparer plus vite ces années d’inconscience. Des chercheurs américains viennent en effet de montrer que la méditation peut ralentir la perte de matière grise du cerveau (le tissu qui contient les neurones) et se sont déclarés surpris par l’ampleur des résultats. Motivé mais trop difficile ? Essayez alors l’arrêt progressif du tabac. Des scientifiques danois viennent de démontrer que l’arrêt brutal chez les gros fumeurs induit une chute de la consommation d’oxygène et de flux sanguin dans le cerveau ce qui peut entraîner un quasi état de démence durant les premières heures qui suivent l’arrêt ! Ils suggèrent donc d’arrêter progressivement pour un sevrage plus doux… Voilà vous n’avez plus qu’à essayer ! l Journal of Cerebral Blood Flow & Metabolism, février 2015 - Molecular Psychiatry, février 2015 - University of California (UCLA), février 2015 4 Irène Grosjean ou la vie en abondance Pour ceux qui ne peuvent voir la vidéo dans ce PDF, cliquez sur ce lien : uploads/Sante/ alternative-sante-n-22-pdf.pdf
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- Publié le Mar 27, 2022
- Catégorie Health / Santé
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