LES CAHIERS S.M.T. No32 Association SANTÉ ET MÉDECINE DU TRAVAIL 8 ème COLLOQUE

LES CAHIERS S.M.T. No32 Association SANTÉ ET MÉDECINE DU TRAVAIL 8 ème COLLOQUE E‐P E‐PAIRS AIRS DU 20 MAI 2016 N O V E M B R E 2 0 1 6 I S S N 1 6 2 4 ‐ 6 7 9 9 L ES COOPÉRATIONS DU MÉDECIN DU TRAVAIL AVEC QUATRE SPÉCIALISTES MÉDICAUX GÉNÉRALISTE — CONSULTANT DE PATHOLOGIE PROFESSIONNELLE RHUMATOLOGUE — PSYCHIATRE DU POINT DE VUE DE LA SANTÉ AU TRAVAIL D’UN PATIENT 8 ème COLLOQUE E‐P E‐PAIRS AIRS DU 20 MAI 2016 EN PARTENARIAT AVEC ASS ASS. SMT . SMT ET LE SOUTIEN DU SNPST SNPST ET DES MÉDECINS DU TRAVAIL DE LA CGT CGT ACTES DU COLLOQUE secretaire@a‐smt.org//w.w.w.a‐smt.org S SOMMAIRE OMMAIRE INTRODUCTION Dr Alain GROSSETÊTE 4 MÉDECINE DU TRAVAIL / MÉDECINE GÉNÉRALE I-V VIGNETTE IGNETTE CLINIQUE CLINIQUE préparée par les Drs Annie DEVEAUX et Josiane CRÉMON, médecins du travail 6 II-Billet du référent médecine du travail — Dr Gérard LUCAS, médecin du travail — 9 1 ‐ BESOINS ET ATOUTS DE LA COOPÉRATION ENTRE MÉDECINS GÉNÉRALISTES ET MÉDECINS DU TRAVAIL 2 ‐ LES MANQUES DE COOPÉRATION, PRÉJUDICIABLES AU TRAVAILLEUR‐PATIENT 3 ‐ ATTENTES DE LA COOPÉRATION ENTRE LES DEUX MÉTIERS 4 ‐ POUR COOPÉRER, LE MÉDECIN GÉNÉRALISTE ET LE MÉDECIN DU TRAVAIL DOIVENT CONSTRUIRE LA CONFIANCE 5 ‐ COMMENT ? QUELLE FORMALISATION DE CES ÉCHANGES RESPECTIFS ? III-Médecin généraliste — Dr Patrick DUBREIL, région nantaise — 11 PREMIER TEMPS : CAS CLINIQUE SECOND TEMPS : RÉFLEXION SUR LES COOPÉRATIONS MÉDECINE DU TRAVAIL / CONSULTATION DE PATHOLOGIE PROFESSIONNELLE I- V VIGNETTE IGNETTE CLINIQUE CLINIQUE préparée par les Drs Thérèse BURET et Alain RANDON, médecins du travail 12 II- Les coopérations médicales du médecin du travail du point de vue de la santé au travail Support à l’intervention du référent médecine du travail — Dr Mireille CHEVALIER, médecin du travail — 15 1‐ LES PRÉALABLES À LA COOPÉRATION DU MÉDECIN DU TRAVAIL AVEC LE CONSULTANT DE PATHOLOGIE PROFESSIONNELLE 1.1 Quel rôle attendre du consultant pathologie professionnelle ? 1.2 Comprendre et connaitre les connaissances du consultant sur la clinique médicale du travail 1.3 La construction et la préservation de la « confiance » entre le médecin du travail et le salarié 2‐ LA PLACE CENTRALE DE L’INSTRUCTION DU TRAVAILLER INDIVIDUEL ET COLLECTIF POUR COOPÉRER AVEC UN CONSULTANT EN PATHOLOGIE PROFESSIONNELLE 2.1 Qu’est‐ce que le médecin du travail attend du consultant ? 2.2 Comment apporter la question du travail dans le recours à la consultation de pathologie professionnelle ? 2.3 Donner à voir une pratique de clinique médicale du travail pour faciliter l’approche du consultant en faveur du salarié 2.4 Le médecin du travail doit donner les éléments et les descriptions de travail pour faciliter l’apport du consul‐ tant de pathologie professionnelle dans la mise en évidence du lien santé‐travail (maladie professionnelle…) 2.5 Le médecin du travail doit participer à la recherche de solutions pour le salarié : amélioration du poste de travail, suppression du risque pathogène ou protection efficace contre ce risque 3‐ LA COOPÉRATION DU MÉDECIN DU TRAVAIL AVEC UN MÉDECIN DE PATHOLOGIE PROFESSIONNELLE ; LES RÈGLES PROFESSIONNELLES INTERROGÉES 3.1 Le médecin du travail peut avoir besoin du diagnostic du consultant pour différentes raisons 3.2 Le médecin du travail sollicite également l’avis du consultant pour « affiner » ce que le premier considère comme une pathologie due au travail 3.3 Le médecin du travail a, dans certaines circonstances, besoin de l’avis écrit du consultant de pathologie professionnelle PAGE 2 | LES CAHIERS S.M.T. N°32 - NOVEMBRE 2016 4. COMMENT AMÉLIORER LA COOPÉRATION ENTRE MÉDECIN DU TRAVAIL ET LE CONSULTANT DE PATHOLOGIE PROFESSIONNELLE ? 4.1 Pouvoir échanger avec le consultant de pathologie professionnelle pour lui apporter des éléments du travail connus par le médecin du travail, dans les cas difficiles 4.2 Mettre le salarié au cœur des échanges entre praticiens 4.3 Être bien clair sur qui fait quoi dans les investigations ou les démarches 4.4 Ne pas hésiter à faire un retour avec le consultant à la fin de la prise en charge du salarié III-Dr Mireille MATRAT maître de conférences et consultante à la consultation de pathologie professionnelle du CHI de Créteil 20 IV-Médecins de consultation de pathologie professionnelle apportant des compléments au cours du débat 21 MÉDECINE DU TRAVAIL / RHUMATOLOGIE I‐V VIGNETTE IGNETTE CLINIQUE CLINIQUE préparée par les Drs Odette TENCER et Alain GROSSETÊTE, médecins du travail 22 II-Billet du référent médecine du travail — Dr Alain GROSSETÊTE, médecin du travail — 24 III-Rhumatologue — Pr Yves MAUGARS, CHU de Nantes — 24 IV-Commentaire distancié du référent médecine du travail — Dr Alain GROSSETÊTE, médecin du travail — 25 1‐ SUR LA RELATION ENTRE LE MÉDECIN DU TRAVAIL, LE SALARIÉ ET LE RHUMATOLOGUE 2‐ SUR L’APPORT AU RHUMATOLOGUE : LA PLACE CENTRALE DE L’INSTRUCTION DU TRAVAILLER INDIVIDUEL ET COLLECTIF POUR COOPÉRER AVEC UN RHUMATOLOGUE MÉDECINE DU TRAVAIL / PSYCHIATRIE I-V VIGNETTE IGNETTE CLINIQUE CLINIQUE préparée par les DrsChristian MASSARDIERet Elisabeth TRESCOL, médecins du travail 27 II‐Faciliter la coopération du médecin du travail avec le psychiatre en tenant la question du travail Support à l’intervention du référent médecine du travail — Dr Dominique HUEZ, médecin du travail — 31 1‐ RÈGLES DE MÉTIER EN MÉDECINE DU TRAVAIL, CONSTRUCTION DE LA CONFIANCE AVEC LE SALARIÉ 1.1 Permettre au psychiatre de comprendre le « métier » du médecin du travail 1.2 La construction de la « confiance » entre le médecin du travail et le salarié est essentielle pour faciliter la coopération avec le psychiatre 1.3 La place de l’écrit médical comme support à la coopération professionnelle est essentielle 1.4 La « fonction » du psychiatre doit être clairement appréhendée par le salarié 2‐ LA PLACE CENTRALE DE L’INSTRUCTION DU TRAVAILLER INDIVIDUEL ET COLLECTIF POUR COOPÉRER AVEC UN PSYCHIATRE 3‐ DIAGNOSTIQUER UNE PSYCHOPATHOLOGIE DU TRAVAIL, MÉTIER DU MÉDECIN DU TRAVAIL, APPUI DU PSYCHIATRE SI NÉCESSAIRE 4‐ LA COOPÉRATION DU MÉDECIN DU TRAVAIL AVEC UN PSYCHIATRE : LES RÈGLES PROFESSIONNELLES INTERROGÉES 5‐ LA CENTRALITÉ DU TRAVAIL, MÊME POUR LES MALADES PSYCHIATRIQUES DÉCOMPENSÉS 6‐ COMMENT AMÉLIORER LA COOPÉRATION ENTRE MÉDECIN DU TRAVAIL ET PSYCHIATRE III‐Jean‐Jacques Chavagnat Psychiatre CH Henri Laborit, Poitiers 36 DISCUSSIONS ET CONCLUSIONS — Dr Magdeleine Ruhlmann, MIRT — 38 LES CAHIERS S.M.T. N°32 - NOVEMBRE 2016 | PAGE 3 Bienvenue à ce dixième colloque ! Il accueille cette fois des spécialistes médicaux : rhumatologues, méde‐ cins généralistes, médecins de pathologie profession‐ nelle, psychiatres. Les questions portant sur le travail en lien avec la santé ont pris une place considérable dans l’es‐ pace public. Il fut un temps où ce n’était pas le cas. Les affaires de travail défrayent l’actualité. La « Loi travail » est en discussion dans le pays, avec ses re‐ mous ; les émissions et articles portant sur le travail qui malmène, sont légion, et aussi, sur un tout autre plan, les plaintes d’employeurs instruites par le conseil de l’Ordre vis‐à‐vis de médecins qui témoi‐ gnent du lien entre la santé et le travail, sont régu‐ lièrement sur la place publique. Dans nos consultations de médecine du travail, la question du travail traverse notre quotidien de professionnels et c’est probablement le cas aussi des autres spécialistes : généralistes, rhumatolo‐ gistes, médecin de pathologie professionnelle, psy‐ chiatres, pour s’en tenir à ceux qui sont présents aujourd’hui à ce colloque. Il était donc utile de proposer de mettre en discus‐ sion nos éclairages respectifs sur le travail, dans ses implications avec la santé, et de débattre de la façon dont nous pouvions coopérer à ce sujet, dans l’in‐ térêt de la meilleure prise en charge possible de la santé des salariés‐patients ou des patients‐salariés. C’est pourquoi le thème retenu du colloque de cette année porte sur les pratiques professionnelles de médecins du travail dans leur coopération avec des spécialistes médicaux, pour prendre en charge du mieux possible, leurs « patients‐salariés » ou leurs « salariés‐patients ». Comment les spécialistes médicaux et médecins du tra‐ vail, chacun avec sa clinique (clinique médicale du tra‐ vail, et clinique propre à chacune des spécialités médicales présentes ici), peuvent‐ils coopérer au main‐ tien ou au rétablissement de la santé d’une personne au travail ? Quelles sont les pratiques professionnelles connues ou à explorer pour que cette coopération puisse se déployer ? Comment le travail du salarié ou du patient est‐il pris en compte ? Comment rendre compte de son activité de travail ? Qu’en faire ? Avec quelles règles profession‐ nelles ? Quelles contributions venant du médecin du travail se‐ raient attendues par les autres spécialistes médicaux qui s’occupent du soin ? Quel éclairage, du point de vue des spécialistes médi‐ caux, et du point de vue du médecin du travail, la cli‐ nique médicale du travail (dont le champ se déploie à la fois sur l’individu et le collectif) peut‐elle apporter dans la coopération pour mieux prendre en charge un patient, tout en recevant la contribution des autres cli‐ niques médicales ? Voici donc quelques questionnements qui viennent à l’esprit, un peu « hors‐sol » pour l’instant, mais qui heu‐ reusement vont pouvoir s’appuyer sur la présentation des quatre cas uploads/Sante/ cahier-32.pdf

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  • Publié le Jul 03, 2021
  • Catégorie Health / Santé
  • Langue French
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