Le maintien et la spatialuation géographique (au-dehors) e ce qui a été projcie

Le maintien et la spatialuation géographique (au-dehors) e ce qui a été projcie primitivement sont proches da déplai L: dépbcoment est-il considéré comme un mécanisme de défave! L'énergie d'investissement portant sur une représentation se déchange et se déplace une autre repre sentation. Le premier déplacement historique se fait de la mère au fouct, substitur maternel (Anna Freud III. TRANSFERT Le phénomènes de transfert sont observables tout autant cher le patient que chez le dinicion (appelé sans ce cas le cutre-tranfert, of infra). La relation qu'jet étalul avec un autre est etion en perte de ce qu'est la situation réelle le conteste de la encontra): en partie de ce qu'il est (la structuration de personnalisé) et o: qu'il apporre de son histoire, de sanisation neatale et de samodes de relation passé on organisation mentale car dynamiquement liée à um histoires On appete mantert une telle transposition dans une relation donnée de modalités relationnelles inconscientes ef pure ment imaginaires, qui dépendent d'experiences infantiles. Dars la relation d'entretien dinique, le transfert joue un rôle tria important. Telle personne vivra le clinicien comme un perormage protecteur et tout poissant alors que rel zutre le percevra comme un rivall sets attiré par rel type de manière d'être au monde ou par rel type de personnalité, et rébuté IV. CONTRE TRANSFERT 1. Définitions Ce terne désigne Pengemble des réactions incientes Jul chalcien's legal de son interlocuteur et plus particuliè mest cu transfert de Freud (1913) voyait le contre- transfert commcde dla maladeorks sentients increscients du médecin et il pensuit que Platene va plus loin que ses propres complexes et résis tances internes ne lui permetrent». Cela a pour corollaire l nécessité pour l'analyste de se soumettre à une analyse (Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontis, 1984). Dontre-tranfert comporte deux dimensions -'une cat constituée par les réactions inconscientes de l'ana een refrence à sa problématique personnelle, c'est-à-dire que le discours du sujet peur rappeler à l'analyste quelque chose que lui-mêmea vécu lans Patre, le contrafert devient un outil anique; dans ce cas, les réactions controlerentielles Insluites par leaujer chez l'analyste vont alder ce dernier à mieux Comprendre son patient. Alpi certains patients déclenchecells des contre-transferts très spécifiques par exemple, le sentiment d'chruf et de monotonie que l'on peut ressentir avec ler patients. dit mat dew on air que le cours opératoite renvoie à des difficultés à ptir et à verbaliser les Emotions Cette absence d'émotion pro duit un discours Intaire, coparet et centré sur lexéci qui citrale un Dentinient de monocopie er d'ennui che le clinicien. Le terme contre-transfers est, essentiellement utilis pour la cure analytique comme une réponse spécifique consciente à inconsciente de l'analyste antrafert que développe ago parent. Dans la situation d'entretien clinique, certains préfe rent parler de centre attitude alors que d'autres mainition- sent une definition élargie da terme contre-irahafert. apparalt évident que, face à une personne agresive, le psy chologue nie mobilisera par la méme endpathie que ce une Personne exprimant da souffrance psychique et manifestane une demande d'alde. Il s'agit d'un mode de réponse inter personnel dépendant d'une caractéristique de personnalité alt que, le contre-transfert de l'analyse a transfert, par crcinple maternel, de tel patient correspond à son progre mde de réponse Inconscient dans ce que te dansfert vient réveiller de sa problématique. Il est important de mettre en évidence et de clarifier cer taines manifestations contre-transférentielles qui peuvent, influencer le cours de l'entretien. 2. Manifestations contre-transférentielles Anxiété Il est intportant, par exemple, que le clinicien soit calme et arcia par rapport aux problèmes d'autrui. Il peut trans- mettre son anxiet, à partir de comportements non verbaux, a patiem quia besoin au contraire d'une attitude neutre ct aurante pour résoudre son problème. La question n'est pas tant de cacher cette anxiété mais plutôt en comprendre Petiging: le patient peut évoquer un souvenir douloureux ou traumatique déjà vécu par le clinicien, il importe done que ce demier soit au clair par rapport & sa propre proble matique et qu'il air pris de la distance avec ses difficultés pas es ou présenter. Ce travail de prise de distance, d'analyt de matrice de mi est nécessaire pour le psychothérapeute qui suez généralement entreprend une formation personnelle (analyse ou autre forme de prychothérapie). •Attitude charitable ou superprotectrice Le clinicien peut aust-être anime par un fort disir de répara tian, de gufrir et de soigner rapidement ; c'est un désir tout à bir kuable basé sur une attitude bienveillante, attitude nécessaire dans le domaine de la clinique et des soins. Toutefois, il faut veiller à ce que cette bienveillance ne soit pas une attitude charitable par rapport à un sujet nis ainti dans une position inférieure -d'une part, l'attitude charitable ne résout rien; bien au contraire, elle place et fige le sujet dans une situation infan lisante qui ne lui permet pas d'évoluer -d'autre part, l'attitude charitable est à l'inverse d'une dimension éthique qui doit placer le sujet comme un acteur à part entière du processus thérapeutique, le clinicien doit traiter le sujet dans une diniension respectueuse d'égal à égal. Les travaux ont montré qu'une attitude superprotectrice est préjudiciable au patient et empêchie son autonomisation, ainsi les conseils donnés au patient n'apportent-ils aucune amélioration (Paul Gérin et Alice Dazord, 1995) . Agressivite Le clinicien est bienveillam atas le sens e il est alisponible e Peconne du sujet, inilise long ses motions tendres pouz der le sujet. Toutefois, cela n'écarte pas le problème de Pagresivité il faut parter Barenivité du patient mais aus supporter sa propre agresivite les patients peuvent irriter, mettre mal à l'aise, imlure des affects de haine chea le clini cien accepter alors sa propre haine, c'est aussi aider le patient acceprce ses propres mouvements agresif, Là aussi, cela aplique chez le clinicien une analyse claine ales agressivite •Fermeté et distance Par ailleurs de catre tirapeutique n'est pas toujours bien- veillant en ce sens qu'il compute un certain nombre de meures frustrantes pour le sujet comme, par exemple, le fait de ne pas toujours répondre aux demandes dé maternage du aujer ou d'inscrire l'entretien dans une durée unitée, ce qui suppose parfois une cermine fermeté chez le clinicien. Mais, inverse, adopter line technique trop rigle qui méconnait les besnis itu sujet peut did per probleme et être ressenti capne agresit la clinique contine toujours un jute milien, nitrus lon, fi tup proche, ni trop directif, ni pas assex Pour atteindre cet équilibre, le psychologue doit prendre conscience de ses attitudes extrêmes et en analyser Porigine pour parvenir à une souplesse dans ses interven tions -Préjugés et a priori Dans le contre-trandert du chnicien, il y a également la place que peuvent prendre sex prijues, sesa priari par rapport à Jel ou patient dans certains domaines, center perivent être plus importants s'ils concernent la sphère culturelle, idéolo que au religieuse te cluncien vit dans un ham de croyances, de valeurs et de representations occulturelles: if peut lui être difficile de mettre de côté ses propres valeurs lonqu'il rencontre un patient ne partageant pas le même ban culturel Imaginans un clinicien fermierent athée avec un patient très religieux on encnce avec un patient immigré dont il necompand pas trochien les valesine culturelles, Les préjuges peuvent consirper alors une furrier à la retirion er slams lance profonde Ja je zas nieatre lo phs mimo e pas pergore parce que le clinicien aura m propre vystème de valeurs à celui du patient den ne doit pas seulementare au clair avec son Natoire pers sonneble main and aree perences inculturelles, Khologiques are religioua les préjuge eierende sent être absent dans la relatat dinse your penetre d'appréhender lejumit sa diment pas humaine Cela nécessite un travail mental propre au clinicien, travail bien souvent long, peograf et élaboratil qui devient alors irremplaçable pour entsprendre le fonctionnement du paticet. Le urandert et le contre transfert existent d'emblée dans la wencontre et introduilent une pramique, Tongine d'emo tion sede representations entrainant des artindessini, elles mêmes déclenchent chez Cautre d'autres representations et Patresalen. Bette reneriure en perfondement interac tive en ce sens que des échanges affects multiplex et réci proques se déploient; exprimant ainsi des nunifestations significativer du fonctionnement mental. V. EMPATHIE ET IDENTIFICATION 1. Empathle Le terme empathic peut être défini, ainsi que le propose le dictionnaire de Doron, comme une intuition de ce qui se russe lins Pitre, sant neblier toutefois qu'oit est sois même, cae dans ce cas agitat d'entification Pour CRogers, empathic consiste à saisir, avec autant d'exacre tude que punale les references internet er let empientes emotionnelles d'une autre penpaneer 5 les comprendre comme on était cetre autre personne. Selon D. Widischer (D. Widischer et M.-C. Hardy Bayle, 1990), l'empathic estum néologne d'origine anglite tupa g) et, à l'origine, ce remse servait à définir en esthétique laCENTRETIEN CLIQUE cacité de comprendre charge aliique d'une ims ense mettant à le place de l'objetsfgnifie parfamctipliore, luis er terme a été repris dans le vocabulaire philosophique et psycho- logique pour décrire cette capacité de comprendre l'état men tal d'autrui en s'identifiant transitoirement à lui. On retrouve deux dimensions dans lempathic une dimension tognitive, où uploads/Sante/ ce-qui-est-mobilise-dans-l-x27-entretien.pdf

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  • Publié le Mar 09, 2022
  • Catégorie Health / Santé
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