Carolina Spiess le 6 mai 2014 French 202U Dissertation Finale La Dissertation F

Carolina Spiess le 6 mai 2014 French 202U Dissertation Finale La Dissertation Finale Elle est «une espèce de poison que j’ai dans le corps… Je la compare souvent à un diabète – les outils de mesure en moins – car il faut vivre avec en permanence, et on se sent très mal si on n’est pas correctement équilibré avec des médicaments » (Vincent Olivier). C’est une déclaration de Laurent Davenson, une dame qui souffre de la bipolarité. « Elle », dans ce cas, représente sa maladie, la psychose maniaco-dépressif, qui Mme Davenson compare avec une espèce de poison. Du fait, c’est une maladie très rare parce qu’il n’y a qu’environ 2 à 5% des adultes dans le monde qui en pâtissent (Bipolare SHG Bochum). Alors si même, elle gagne beaucoup d’attentions dans les médias, mais souvent pour une raison fausse. A cause du manque d’exploration, les médias peuvent établir nouveaux faits qui font du mal à la maladie et aux concernés. En plus, il n’y a pas de sources suffisantes qui peuvent confondre leur dire qui n’arrêtent pas cette réputation négative. Egalement, ce sont les patients qui souffrent de leur maladie et du manque du soutien du public. Alors, cette dissertation s’agit de la maladie soi-même et explique son origine et ses conséquences. Puis, elle découvre la raison pourquoi la maladie a reçu un stigmatise si négative et dernièrement, il est important d’établir une image plus positive parce qu’il y a de nombreux traitements qui permettent les malades mentales de vivre comme tous les autres sans le stigmatisme du public. En premier lieu, le trouble bipolaire se caractérise par des épisodes de dépression et des périodes maniaques. Mme Davenson décrit les phases « Up » comme ça : « On dort trois heures par nuit, on a 15 projets dans la tête en même temps. Dans le meilleur des cas, on est hyper efficace au boulot, hyper séduisant dans la vie privée, hyper performant dans la vie quotidienne » (Vincent Olivier). Alors, cet épisode s’ébauche par une baisse du sommeil, une baisse de l’appétit et une augmentation de l’activité sexuelle. Ce sont les symptômes plus acceptables. Malheureusement, ce n’est pas tout parce que les concernés font les choses moins glorieuses aussi. Par exemple, Marie Alvery, une autre femme dans l’article de Vincent Olivier, a « envoyé ses enfants chez le voisin d’à côté, persuadée que son mari allait trucider la famille avec un piolet de montagne ». Par conséquences, ce sont les situations qui sont plus dangereux, mais telles qu’on peut manier si on connaît la maladie parce qu’on pourrait évaluer les circonstances et réduire le risque. En réalité, le public ne sait rien sur les concernés parce qu’ils ont honte d’admettre qu’ils sont troublés. Encore plus, ce sont les situations qui sont rendu public pour représenter la psychose maniaco-dépressive parce qu’elles sont plus fous et le public préfère les choses détraquées. Ainsi, ce sont les raisons qui ajoutent au stigmatisme de la bipolarité parce qu’ils sont toujours représentés sous un jour défavorable. A l’autre côté, les concernés souffrent de la période dépressive. C’est là quand les patients se sentent tristes, horribles et inférieurs. Ils sont le vrai contraire de l’épisode maniaque et leurs amis et famille sont souvent très choqués par leur sautes d’humeurs. Sans la compréhension de cette maladie, la plupart des amis s’éloignent parce qu’ils ont l’impression de perdre son ami. Le sentiment d’être seul ajoute à leur humeur dépressive et il se peut qu’ils aient même des pensées suicidaires. En réalité, une personne sur quatre essaie de se suicider et 15% y meurent (Bipolare SHG Bochum). Les conséquences de cette maladie sont les suivantes; beaucoup de concernés perdent leur travail, leurs amis et leur famille parce que l’image public est stigmatisée et généralement négative, bien qu’il y ait des bons traitements qui aident les concernés mais les médias ne les montrent pas. Cela montre que la bipolarité est plus complexe et sévère que les sautes d’humeurs des quotidiens parce que les conséquences sont vraiment plus graves qu’un changement de se sentir bien à sentir triste. En deuxième lieu, cette image négative cause plusieurs effets qui réduisent la qualité de vie des malades mentales. Le SHG Bochum a trouvé les statistiques suivantes : les troublés mentaux perçoivent pension d’invalidité à l’âge de 45 et 35% des concernés souffrent de plusieurs maladies mentaux comme les troubles anxieux ou addictif. Alors, beaucoup de fois, les malades psychiques ne trouvent pas de travail et ils sont forcés de demander la pension d’invalidité. En outre, quand les patients demandent l’aide pour leurs troubles, les médecins se concentrent sur leurs troubles anxieux ou addictif pendant que leur trouble bipolaire reste invisible. Par ailleurs, il n’ y a pas de simples raisons génétiques qui causent la bipolarité.. A ce jour, on ne peut pas identifier toutes les origines de cette maladie, mais il faut être une combinaison de faits génétiques, environnementales, du stress et de l’anxiété ("Myths and Realities About Bipolar Disorder"). Ça veut dire qu’il peut affecter n’importe qui. C’est pourquoi il faut faire attention à établir le stigmatisme parce que personne n’est pas protégé (Bipolare SHG Bchum). En plus, cet aspect rende la diagnose plus difficile parce que les histoires familiales ou les tests génétiques n’indiquent pas sûrement si le concerné souffre d’une dépression régulière ou de la bipolarité ou même de quelque chose d’autre. Par exemple, il y a 15 ans quand Mme Davenson et Mme Alvery sont été diagnostiqué par un psy (Vincent Olivier). Mais leur cas ne sont pas de seul cas, M. Mialet décrit dans son article qu’il y a « un délai de 8 ans entre la première crise et la diagnostic ». Dans les milieux spécialisés, la maladie est souvent sous-estimée et il manque de connaissance sur la diagnose et la thérapie moderne. Les statistiques disent que seulement 50% des concernés reçoivent une diagnose correcte (Bipolare SHG Bochum). Une sur les raisons, c’est parce que les patients ne vont pas au spécialiste. Une autre raison, c’est parce que les médecins généraux ne savent pas assez. Alors, si les médecins ne savent pas suffisants, les médias ne savent pas assez non plus et tout le public pédale dans la semoule qui permette d’établir le stigmatisme négatif. En dernier lieu, les médias ne mentionnent pas qu’il y a de traitements pour les troublés mentaux. Du fait, les méthodes sont si bons en sorte que les patients peuvent vivre une vie comme chacun d’autre. Par exemple, Dr Youngstrom explique un traitement qui se concentre sur équilibrer les augmentations et baisses dans l’humeur et l’énergie. Il y a nombreux de psychothérapies qui montrent du vrai succès comme le thérapie cognitive. Au fond, les méthodes se focalisent sur les talents et les dons des patients pour leur permettre à réguler leur maladie. En plus, il y a des médicaments qui soutiennent les traitements et qui essaient à réduire la fluctuation d’humeur. Les médicaments communs sont les antidépresseurs, les calmants, etc. Mais ci-ceux sont les médicaments sérieux qui commandent un diagnose sensitif, mais quand ingérer correctement, ils montrent du grand succès. Grégoire par exemple, un homme dans l’article d’Olivier, mentionne son succès avec lithium qui l’aide à contrôler ses sentiments et son médecin ajuste les doses après passer les tests tous les trois mois. Donc, les troublés mentaux sont capable de vivre une vie normale s’ils reçoivent un traitement sensible. En conclusion, les malades bipolaires sont les gens comme tous les autres, alors il n’a pas aucune raison pour les démontrer sous un jour défavorable dans les médias. Du fait, il est important de les soutenir parce que les concernés souffrent plus quand ils sont stigmatisés ou même ignorés. Le public apprend beaucoup des médias parce qu’il joue un rôle principal dans la vie quotidienne. Alors, ils ont la force de changer l’image de la psychose maniaco-dépressive par écrire les vraies choses sur la maladie et ses concernés. Egalement, les troublés bipolaires pourront perdre leur honte d’admettre leur maladie. Suivant, les concerné pourront recevoir du soutien et de l’aide pour diriger une vie quotidienne. Ça veut dire qu’ils peuvent parler sur maladie sans la peur de perdre leur travail, leurs amis ou leur famille. En plus, il est nécessaire qu’on avoue la bipolarité comme une maladie sérieuse qui a besoin du soutien et de l’attention. Il faut encourager les concerné d’aller au médecin pour recevoir de traitements correcte sans se sentir mal. Il faut arrêter utiliser le terme « bipolaire » dans les circonstances incorrectes, mais commençons l’utiliser dans les situations nécessaires. Par exemple, « être bipolaire » est souvent utilisé dans la langue familière quand quelqu’un se comporte indécis et capricieux, mais ça ne veut dire directement que la personne est maniaco-dépressive. Si les médias changent leur dire sur la bipolarité, l’image dans les têtes du public changera. Les Sources "Bipolare SHG Bochum "Achterbahn Der Gefühle"" Bipolare SHG Bochum "Achterbahn Der Gefühle" N.p., n.d. Web. 06 May 2014. Mialet, Jean-Paul. "Pourquoi La Bipolarité Est Tellement Mal Traitée." Atlantico.fr. N.p., n.d. uploads/Sante/ la-dissertation-finale.pdf

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  • Publié le Sep 20, 2021
  • Catégorie Health / Santé
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