LA NEGATIVATION ELECTRIQUE : MODE D’EMPLOI Ce qui suit n’a pas été trouvé par m

LA NEGATIVATION ELECTRIQUE : MODE D’EMPLOI Ce qui suit n’a pas été trouvé par moi, je n’ai fait que copier pour essayer de faire une synthèse et ainsi avoir sur un seul document ce qui concerne la négativation électrique. 1- Tiré du livre Docteur Nature de Jean VALNET La négativation électrique est un mode particulier d'électrothérapie utilisant à doses infimes des impulsions rythmées et modulées d'électricité. On la pratique à l'aide d'un instrument appelé : « Appareil de négativation électrique », ou encore ELECTROPULSATEUR de Charles LAVILLE du nom de son inventeur dont les premiers travaux en la matière remontent aux années 1930. Ch. LAVILLE, attira l'attention sur l'existence de courants électriques dans le milieu cellulaire, ou plus exactement de déplacements de charges, tantôt centripètes, tantôt centrifuges par rapport aux noyaux cellulaires. Il montra que le fonctionnement musculaire (muscles striés ou lisses), et d'une manière générale tout le métabolisme cellulaire, semblent conditionnés par des déplacements de charges électriques endogènes, intra- et intercellulaires, dont la nature est de forme discontinue d'intensité et de tension très faibles, produites par une action électrogène du glucose (substance dynamogène principale assurant l'énergétique cellulaire et le tonus musculaire). On sait que tous les corps sont formés d'électrons, corpuscules infiniment petits de charge électrique négative, groupés diversement autour de noyaux de charge positive qui les retiennent dans leur voisinage et autour desquels ils gravitent avec la possibilité de s'en échapper. Tous les phénomènes physicochimiques s'accompagnent de transferts d'électrons. La nutrition cellulaire, l'équilibre biologique sont des phénomènes de nature électrique. Le métabolisme cellulaire, de nature électrochimique, ne représente en somme qu'un jeu très fin d'ionisations rendues possibles par la présence de l'eau qui imbibe les tissus vivants. Le métabolisme de l'individu tout entier est identique dans son essence, mais sur un plan plus compliqué. Dans l'oxydation, la charge positive d'un ion augmente, ou bien sa charge négative diminue. C'est un phénomène inverse qui régit les phénomènes de réduction. La bonne santé semble résulter d'un balancement harmonieux entre intériorisation et extériorisation d'énergie. Le métabolisme se règle par l'élimination plus ou moins accélérée des déchets produits par son activité, en même temps que par une admission plus ou moins massive d'oxygène. La nature humaine est soumise à des rythmes biologiques inéluctables : cadence du pouls, fréquence respiratoire, alternance des états de veille et de sommeil, rythmes prandiaux et menstruels ... Ces rythmes règlent notre équilibre et notre vie. Ces cadences sont de nature vibratoire. Constamment, des chocs de toute nature : physiques (mécaniques, caloriques, sonores, lumineux) ou psychiques (chocs émotionnels, soucis, stress affectifs variés ... ), viennent s'interposer, en engendrant des charges positives, dans le décours de ces rythmes « végétatifs». Le système nerveux a pour rôle d'adapter l'organisme à ces chocs, de se conduire en régulateur comme un balancier, tant que l'agression ne dépasse pas un certain seuil par rapport aux possibilités d'adaptation de l'organisme en cause. Comme la terre, l'homme en bonne santé est électrisé négativement, mais dans l'état de maladie, il s'électrise positivement en perdant ses électrons. Ainsi, Ch. LAVILLE fut-il amené à réaliser son appareil, établi pour fournir des doses physiologiques d'électricité statique à bas potentiel, tendant à reproduire aussi fidèlement que possible les caractéristiques physiques de tension, de quantité et de forme des charges électriques normales des tissus de l'organisme, de celles qui conditionnent le fonctionnement cellulaire. Les caractéristiques du courant fourni par l'Electropulsateur de Ch. LAVILLE sont les suivantes : - la tension, très basse, se situe entre 5 et 7 volts ; - l'intensité est inférieure au millionième d'ampère, alors que les quantités les plus faibles d'électricité habituellement employées sont de l'ordre du milliampère, donc mille à un million de fois plus élevées. La négativation électrique réalise donc le procédé mettant en jeu, une très faible quantité d'énergie électrique. Ces doses infinitésimales qui déterminent, par leur action pulsatoire, la vibration mettant en fonctionnement les cellules déficientes, se situent en dessous du seuil de la sensation (le patient n'accuse aucune sensation de chaleur ou de picotement), ce qui, dans les débuts, fit accuser Ch. LAVILLE de faire, non pas des traitements électriques, mais de simples traitements psychiques. Cette objection est très facile à réfuter, écrivait Ch. LAVILLE. En effet, au moyen d'un écouteur téléphonique, chacun peut constater que le patient entre en vibration à la cadence qui lui est imposée par l'appareil et que cette « mise en transes » est d'ordre général, les vibrations pouvant être perçues, non seulement au contact de l'électrode, mais en appuyant le jack sur n'importe quelle partie du corps du sujet traité. Le malade vibre, en effet, « des pieds à la tête » comme s'il était soumis à un véritable « massage électrique cellulaire ». Aisément constatées, les doses infinitésimales fournies sont également mesurables : - la forme des déplacements des charges électriques (il ne s'agit pas d'un courant car le circuit n'est pas fermé, qui est discontinue, le nombre des interruptions par seconde étant d'environ 72. Seul, le pôle négatif de l'appareil est, en effet, utilisé. D'où la dénomination de négativation donnée, à l'origine, à ce mode de traitement. Le hasard, en toutes choses souvent déterminant, servit ici Ch. Laville, comme i1 me l'écrivait en 1957. C'est à une erreur commise par une infirmière qu'il dut de constater la possibilité d'emploi de son appareil monopolaire, c'est-à-dire en circuit apparemment ouvert. Alors que, théoriquement, on pouvait s'attendre à la suppression de tout effet appréciable, cc mode d'emploi se révéla de beaucoup supérieur à celui que l'auteur pratiquait antérieurement en bipolaire. C est que la partie agissante n'était pas le « galvanique interrompu, mais les ondes d'accompagnement (d'environ 8 mètres), par trains successifs de périodes d'action fort brèves et de périodes de silence beaucoup plus longues - les intervalles de temps qui séparent deux décharges consécutives sont décuplés par rapport au temps de durée de chacune des décharges. Pour 72 pulsations par seconde et une modulation 1 de 1/9, chaque décharge envoyée au malade durera 1/720 de seconde et chaque repos 9/720 (Rapport entre les temps de passage effectif du courant et les temps de repos ou intervalles établis entre deux décharges successives, généralement voisin de 1/10).Dans un traitement de dix minutes, le malade ne recevra donc de l'électricité que pendant une minute. L'effet thérapeutique est, en effet, d'autant plus marqué que les interruptions sont très longues. L'Electropulsateur de Laville se présentait sous la forme d'un appareil peu volumineux, pesant quelques kilos, destiné à être branché sur le secteur, et dont le dispositif essentiel est constitué par une source de courant continu à basse tension et un interrupteur tournant et coupant n fois par seconde la communication électrique entre la source et le circuit d'utilisation. Une électrode négative (qui peut être, selon les cas à traiter, cylindrique ou en forme de plaque) est destinée à être mise en contact avec le sujet. Un système de réglage permet d'influencer la fréquence et la modulation. L'emploi d'un moteur électrique, destiné à entraîner le contact tournant de l'appareil, introduit dans le dispositif des effets d'induction non négligeables. Laville put constater que l'appareillage superposait, en réalité, des décharges statiques, de forme pulsatoire et des courants d'induction de forme sinusoïdale. Aussi a-t-i cru, dès lors, préférable de changer le nom de son Appareil de Négativation électrique pour celui d'Electropulsateur. Le mode d'emploi de l'Electropulsateur, bien que des plus simples, exige toutefois quelques précisions. La négativation comporte un champ d'application assez large mais à condition d'être employée d'une manière clinique et non standardisée comme le sont généralement les autres moyens électrothérapiques. Les applications doivent être appropriées aux affections et aux réactions éventuelles (On peut parfois observer, en début de traitement, une réaction temporaire du syndrome : recrudescence des douleurs, augmentation de volume des tumeurs superficielles, sensation de vertige... Cette constatation est généralement d'un bon pronostic), générales ou locales, du sujet. Selon les cas, on pourra se trouver amené à modifier le siège d'application, la durée et la fréquence des séances. Par ailleurs, la qualité des résultats sera d'autant plus marquée, et leur nombre plus élevé, qu'on aura su conduire l'électrothérapie en fonction de l'état humoral du malade. D'où la nécessité de connaître l'état physicochimique du sujet, le taux de certaines « constantes » biologiques, selon les cas le degré d'alcalose ou d'acidose (pH sanguin et urinaire), le chiffre de la viscosité sanguine, la numération globulaire et la formule leucocytaire, la glycémie. Parallèlement à la négativation, on traite médicalement l'étiologie, les déficiences ou déviations humorales, et on rétablit les formules perturbées par des thérapeutiques appropriées. Cette attitude, adoptée à la suite d'échecs incompréhensibles ou de résultats insuffisants jusqu'alors inexpliqués, ne saurait a posteriori étonner les médecins qui connaissent l'importance des synergies thérapeutiques, la fréquente nécessité, en pathologie, d'instituer une association de traitements divers « tirant » dans le même sens, s'épaulant, se complétant, se renforçant mutuellement. Qui plus est, tout se passe comme si la négativation, de son côté, potentialisait les médications associées. Aussi devra-t-on se montrer particulièrement prudent dans la prescription de produits toxiques chez un malade soumis à la négativation. Mode d’emploi et uploads/Sante/ la-negativation-electrique-jcd-synthese.pdf

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  • Publié le Fev 08, 2021
  • Catégorie Health / Santé
  • Langue French
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